1 février 2010
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France 5 -
29/01/2010
A propos du discrédit public de l'OMS : France 5 revient sur le scandale de l'article du Lancet établissant que les faits scientifiques à l’origine des recommandations de l'OMS sont fréquemment absents.
France 3 évoque les liens entre les scientifiques auditionnés pour la grippe A et les fabricants de vaccin...
Souvenez-vous, en 2007 le magazine scientifique The Lancet avait publié une étude signée par les Dr OXMAN/Dr FRETHEIM/Dr LAVIS au sujet de l'expertise de l'OMS.
Sujet global : les faits scientifiques à l’origine d’une recommandation OMS sont fréquemment absents.
Autrement dit, il est fréquent que l’OMS navigue au sentiment. Confirmé par le Dr PANG de l’OMS.
Le Dr HORTON, rédacteur en chef du LANCET, qualifie l’étude de séisme et déclare que si l’OMS perd sa crédibilité internationale, son existence même doit être remise en question.
- Au cours d’une audition parlementaire, Mike REPACHOLI (département Champs électromagnétiques à l'OMS) dit :
« Dans le domaine des micro-ondes, le niveau a fini par être négocié. Cela n’a pas été basé sur la science. Mais négocié avec les industriels ».
A propos du discrédit public de l'OMS : France 5 revient sur le scandale de l'article du Lancet établissant que les faits scientifiques à l’origine des recommandations de l'OMS sont fréquemment absents.
France 3 évoque les liens entre les scientifiques auditionnés pour la grippe A et les fabricants de vaccin...
Souvenez-vous, en 2007 le magazine scientifique The Lancet avait publié une étude signée par les Dr OXMAN/Dr FRETHEIM/Dr LAVIS au sujet de l'expertise de l'OMS.
Sujet global : les faits scientifiques à l’origine d’une recommandation OMS sont fréquemment absents.
Autrement dit, il est fréquent que l’OMS navigue au sentiment. Confirmé par le Dr PANG de l’OMS.
Le Dr HORTON, rédacteur en chef du LANCET, qualifie l’étude de séisme et déclare que si l’OMS perd sa crédibilité internationale, son existence même doit être remise en question.
- Au cours d’une audition parlementaire, Mike REPACHOLI (département Champs électromagnétiques à l'OMS) dit :
« Dans le domaine des micro-ondes, le niveau a fini par être négocié. Cela n’a pas été basé sur la science. Mais négocié avec les industriels ».