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  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 07:37

   LEMONDE.FR avec Reuters | 30.09.09 | 10h47  •  Mis à jour le 30.09.09 | 11h38


Dans les zones urbaines, aux heures de pointe, le développement des clés 3G et des smartphones, qui permettent d'accéder à Internet en utilisant le réseau de téléphonie mobile, crée des problèmes de saturation qui pourraient devenir importants.

La généralisation des smartphones et des ordinateurs portables équipés d'une clé 3G constitue une nouvelle manne de revenus pour les opérateurs, mais ces réseaux, d'abord conçus pour transmettre la voix et les SMS, se révèlent peu adaptés et nécessiteront d'importants investissements pour pouvoir faire face à l'afflux de données. "Les opérateurs courent le risque d'avoir des pannes qui pourraient faire la une des journaux", explique Ahmed Guetari, directeur technique zone Europe de l'équipementier réseaux Juniper Networks.
Pour SFR, par exemple, le trafic de données a été multiplié par dix en 2008, et devrait à nouveau être multiplié par dix d'ici à 2012. L'entreprise affirme avoir déjà largement entrepris la transformation de son réseau pour éviter des tensions. Mais l'investissement dans ces réseaux n'est pas rentable à court terme : la création d'antennes relais supplémentaires, qui permettent de décongestionner le réseau, n'engendre en effet pas directement de revenus supplémentaires. Les opérateurs rechignent donc à investir massivement dans des extensions de leurs capacités. En France en 2008, le montant total des revenus du transport de données était de 3,1 milliards d'euros (+27 %) sur le segment mobile, selon l'Arcep. C'est l'équivalent des seuls investissements de France Télécom.

Pour plusieurs experts, c'est le modèle même des forfaits d'accès au Web qui devrait être repensé. La quasi-totalité des forfaits actuels permet, pour un prix fixe, d'utiliser de grandes quantités de données. En réaction à l'explosion du trafic, plusieurs opérateurs ont choisi de fixer un plafond de téléchargement à leurs clients, au-delà duquel la qualité de service est dégradée. Une autre piste, explorée notamment par SFR en France ou Telstra en Australie, consiste à réorienter le flux de données mobiles vers les réseaux fixes.

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 07:31


AFP
07/09/2009 | Mise à jour : 18:01
 

La Suède et la Norvège se classent en tête des pays européens en terme de pénétration, dans les foyers, de la fibre optique, une technologie qui permet l'internet à très haut débit, selon une étude de l'Idate publiée aujourd'hui.

En juin, 10,9% des foyers suédois et 10,2% des norvégiens étaient abonnés à la fibre, d'après cette enquête réalisée pour le FTTH Council Europe, une organisation qui promeut le développement de cette technologie. Arrivent ensuite la Slovénie (8,9%), l'Andorre (6,6%), le Danemark (5,7%) et l'Islande (5,6%).

Aucun grand pays européen (France, Allemagne, Royaume-Uni, Espagne ou encore Italie) ne se classe dans le top 10: première de ces pays, l'Italie n'arrive ainsi qu'en 11e position, avec un taux de pénétration de quelque 1,5%. La France, avec 252.900 abonnés, affiche un taux de moins de 1%.

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 14:43


source :  FRANCE 2



Dans le XIII ème arrondissement de Paris, ce matin, des riverains ont bloqué physiquement l'arrivé d'une grue, empêchant l'opérateur téléphonique d'accéder au bâtiment.
L'association Robin des Toits demande un abaissement des puissances en deçà du seuil de précaution de 0,6V/m.
Cela est possible et a été mis en place en Toscane, en Italie, à Salzbourg, en Autriche et à Valence, en Espagne.
Aujourd'hui en France, une soixantaine de villes sont prêtes à tester ce seuil de 0,6V/m...

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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 12:12
Source : Le progrés

Sandine Wittmann est chercheur en cancérologie à lyon, au centre Léon-bérard. Pour cette chasselande dont les enfants sont scolarisés à l'école primaire Louis Pradel, l'installation par l'opérateur téléphonique Orange d'une antenne relais serait, selon ses propres termes, <<une véritable catastrophe en terme de santé publique >>.

Lire la suite de l'article sur le site de Next-up.


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6 septembre 2009 7 06 /09 /septembre /2009 08:19
Le collectif d'opposants a annoncé qu'il allait porter l'affaire devant les tribunaux. Photo Hervé Pronost

Lesneven. Deux cents manifestants contre une antenne-relais.
Le collectif d'opposants a annoncé qu'il allait porter l'affaire devant les tribunaux. Photo Hervé Pronost

H
ier, à Lesneven(29), une manifestation a réuni quelque deux cents opposants à l'implantation d'une antenne-relais de téléphonie mobile par l'opérateur Orange. Composé de professionnels de la zone d'activités dans laquelle est installé l'équipement (qui n'est pas encore en service) et de riverains du site, le collectif « Antennes Lesneven » a annoncé son intention de porter l'affaire devant les tribunaux. « Au nom du principe de précaution (...), le dossier devrait être déposé en fin de semaine prochaine ».

source : http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/lesneven-deux-cents-manifestants-contre-une-antenne-relais-06-09-2009-538301.php
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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 20:40



Une nouvelle étude d’un collectif international sur les champs électromagnétiques conclut que les téléphones sans fil peuvent causer des tumeurs cérébrales. Remettant en question les conclusions de l’étude Interphone lancée en 1999, l’objectif de cette nouvelle étude, soutenue par un grand nombre d’experts médicaux, est de solliciter une nouvelle revue de la littérature scientifique sur les dangers de l’exposition aux ondes électromagnétiques et de prendre des mesures qui relèvent du principe de précaution.

 

Les groupes ayant participé à l’étude comprennent 5 associations spécialisées sur ce type de risques sanitaires, aux États-Unis. Ces associations non gouvernementales ont reçu le soutien, pour cette étude, de chercheurs internationaux dont Ronald B. Herberman, MD, directeur d'Emeritus, University of Pittsburgh Cancer Institute, David Carpenter, MD, directeur de l’Institute for Health and the Environment, University at Albany, Martin Blank, PhD, professeur agrégé de physiologie et de biophysique cellulaire, Columbia University, professeur Yury Grigoriev, président du Comité national russe sur la protection contre les rayonnements non ionisants, et de nombreux autres, précise le communiqué.

 

L’étude conclue que

•L’usage du téléphone sans fil entraîne un risque de tumeur cérébrale.

•Les études financées par l’industrie des télécoms sous-estiment le risque de tumeur cérébrale.

•Le risque de tumeur cérébrale est plus important chez l’enfant que chez l’adulte.

 

Cette étude vient d’être adressée aux gouvernements et aux médias. Elle détaille onze vices de forme sur l’étude Interphone, lancée en 1999 et menée dans 13 pays avec le financement des industriels des télécoms.

 

Rappel sur l’étude Interphone : Lancée en 1999 et coordonnée par le Centre International de Recherche sur les Cancers (CIRC), l'étude épidémiologique Interphone est la plus vaste enquête effectuée sur les effets de l'utilisation du mobile sur la santé. L'étude Interphone a recensé les cas de tumeurs au cerveau sur 13 pays participants (Allemagne, Australie, Canada, Danemark, Finlande, France, Israël, Italie, Japon, Norvège, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni et Suède).  Les conclusions indiquent un risque surtout chez les personnes utilisant un mobile depuis plus de dix ans.

 

Les 5 principales recommandations de l’étude «Téléphonie sans fil et tumeurs cérébrales : 15 motifs d’inquiétude » :

  • Revoir l’ensemble de la littérature scientifique sur les limites d’exposition et les effets,
  • Préserver certains lieux publics de toute radiation, comme les écoles, les crèches ou structures d’accueil,
  • Déclencher une campagne de communication et de prévention destinée aux adolescents et aux enfants
  • Amplifier la communication grand public sur les risques potentiels des dispositifs sans fil
  • Instaurer une surveillance et un rapport annuel sur l’exposition aux ondes électromagnétiques en présentant des conclusions en termes d’actions de prévention.

 

Lloyd Morgan, auteur principal de l’étude déclare : « L’exposition au rayonnement du téléphone sans fil est la plus grande expérimentation de santé humaine jamais entreprise sans consentement éclairé, avec quelque 4 milliards de participants enrôlés. La science montre que l’usage du téléphone sans fil accroît le risque de tumeur cérébrale, ainsi que de carcinome oculaire, de tumeur des glandes salivaires, de cancer testiculaire, de lymphome non hodgkinien et de leucémie. Le public doit être informé. »

 

 

Source : Business Wire (visuel), mise en ligne Yann-Mickaël Dadot, Santé log, le 25 août 2009


 
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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 05:56

    Par Catherine Gouëset, publié le 27/08/2009 12:00

'Les opposants aux antennes relais de plus en plus écoutés' - L'Express - 27/08/2009

Au début des années 2000, une série de rapports officiels excluait tout risque sanitaire lié aux antennes relais. Des études plus récentes ont encouragé ceux qui soutiennent le contraire, soutenus désormais par des décisions judiciaires, comme à Paris cette semaine. Rappel des principaux jalons de cette bataille.

 

Janvier 2001: le rapport Zmirou, rédigé par un groupe d'experts, innocente les antennes relais, mais recommande, en vertu du principe de précaution, que les bâtiments "sensibles" (hôpitaux, crèches et écoles) situés à moins de 100 mètres d'une station de base (là où est installée l'antenne relais), ne soient pas atteints directement par le faisceau de l'antenne.

Mai  2002: rapport de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques concernant le risque accru de cancer par les téléphones mobiles. Il conclut que huit études n'ont pas eu de résultats significatifs, et que certaines études qui ont eu un résultat positif sont sujettes à controverse de par leur méthodologie.

 

Novembre 2002: un rapport de l'Autorité de régulation des télécommunications (ART) pour l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris) invalide l'hypothèse de risque sanitaire pour les riverains des antennes relais.

 

Mars 2003: Paris signe une charte de bonne conduite avec les opérateurs de téléphonie mobile exigeant que les habitants ne soient pas exposés à plus de 2 volts/mètre en moyenne sur 24h, un seuil très inférieur à la norme européenne de 41 V/m.

 

Avril 2003: un rapport de l'Agence Française de sécurité sanitaire snvironnementale (Afsse) sur les effets de la téléphonie mobile sur la santé établit que "le risque n'est pas quantifiable".

 

2004
Janvier: un rapport du Groupe consultatif sur les radiations non ionisantes britannique qui a passé en revue les études menées dans le monde depuis 2000 conclut à l'innocuité des téléphones portables et des antennes relais.

 

Avril: l'Association des maires de France et l'Association française des opérateurs mobiles (Afom) élaborent un guide des bonnes pratiques entre maires et opérateurs pour une plus grande transparence dans l'implantation des antennes relais.

Octobre: une étude scientifique suédoise établit qu'une exposition de plus de dix ans aux téléphones portables de la première génération double le risque de développer une tumeur bénigne.

 

2005 
Janvier: la recrudescence de cancers pédiatriques observée à Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines) durant les années 90 résulte d'une simple "variation liée au hasard" selon le rapport des experts dépêchés par le ministère de la Santé

 

Mai: une étude suédoise établit que les utilisateurs de portable dans les régions rurales auraient plus de risques de développer une tumeur au cerveau que les citadins, les portables fonctionnant avec une puissance d'émission plus élevée qu'en ville, pour compenser l'éloignement des antennes relais.

 

Juin: l'Afsse recommande de systématiser la délivrance de kits mains libres, et d'afficher du taux d'émission (DAS) sur les téléphones et les lieux de vente. Elle préconise de renoncer provisoirement à la fabrication et à la distribution d'appareils destinés aux enfants.

 

Etienne Cendrier de l'association Robin des toits est condamné par le Tribunal de grande instance de Paris à verser 5000 euros de dommages intérêts à Bouygues Télécom pour des propos diffamatoires. La décision est confirmée en avril 2007.

 

Août: les résultats préliminaires du programme international de recherches Interphone, lancé en 2000, indiquent qu'il n'y a pas de risque substantiel de tumeur durant les 10 premières années mais qu'un risque accru ne peut être exclu à plus long terme.

 

2006 
Mai: poursuivi pour diffamation par Orange et SFR, Etienne Cendrier, porte-parole de Robin des toits, est relaxé par le tribunal correctionnel de Paris.

 

Septembre : un rapport mis en ligne sur le site du ministère de l'Écologie pointe le manque de rigueur et d'indépendance des experts de l'Afsset.

 

2007 
Janvier: les résultats des recherches sur l'effet biologique des téléphones portables sont biaisés par leurs financements, selon une équipe de chercheurs suisses de l'université de Berne.
Septembre : les résultats français de l'enquête Interphone, menée dans 13 pays, pointent le risque cancéreux pour les gros utilisateurs de téléphone mobile.

 

Octobre: une étude suédoise indique qu'au-delà de dix ans d'utilisation d'un cellulaire, le risque de développer une tumeur cérébrale maligne serait multiplié par deux.

 

Novembre: le comité hygiène et sécurité de la Ville de Paris vote le principe d'un moratoire sur le Wi-Fi dans les bibliothèques municipales parisiennes. Elles seront remises en service un an plus tard.

 

2008 
Juin: 20 cancérologues lancent un appel pour alerter les Français sur les dangers du portable. L'Académie de médecine s'insurge contre cet appel jugé dramatisant.

 


Catherine Gouëset

 

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24 août 2009 1 24 /08 /août /2009 21:49
                                     

   - JT TF1 (20h) - 21/08/2009

Près de Valence dans la Drôme, un camping garanti "sans ondes électromagnétiques" où aucun portable ne passe. Un refuge tenu secret où des malades à bout de force tentent de se ressourcer.
En ville, ils vivent l'enfer, calfeutrés chez eux : migraines, douleurs, vertiges, maux de ventre (..)

Voir la vidéo et lire la suite sur le site de Robin des toits.

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27 juillet 2009 1 27 /07 /juillet /2009 21:34

LEMONDE.FR avec AFP | 16.07.09 | 10h42  •  Mis à jour le 16.07.09 | 14h37

La très forte augmentation du nombre de cancers des glandes salivaires en Israël constatée ces dernières années pourrait être liée à l'utilisation de téléphones portables, selon une étude réalisée par des chercheurs israéliens. Cette étude, réalisée entre 1970 et 2006 par l'Association dentaire israélienne et citée jeudi par le quotidien Haaretz, fait apparaître une hausse très importante de tumeurs malignes affectant les glandes parotides situées sous l'oreille, près de l'endroit utilisé pour téléphoner. "Entre 1980 et 2002, le nombre de cancers de la parotide est resté stables à 25 par an, alors que ce chiffre est passé à 75 durant les cinq années suivantes", a indiqué Avi Zini, de l'école dentaire Hadassah. En revanche, les cancers des glandes situées dans la bouche inférieure sont restés stables.

Lire la suite de l'article


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24 juillet 2009 5 24 /07 /juillet /2009 16:13
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