Qui Sommes-Nous ?

  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 23:04

'Rififi au Grenelle des ondes' - Le Parisien - 20/04/2010   repris par Robin des toits

 

Après l’échec de la taxe carbone, c’est au tour du Grenelle des ondes de subir des perturbations. Engagé il y a un an, ce vaste débat sur la dangerosité des antennes-relais a mis autour d’une table opérateurs téléphoniques, autorités sanitaires, politiques et associations de défense des riverains. Mais aujourd’hui, une des principales associations, Robin des toits, risque de quitter la table des négociations.

Des désaccords

« Nous consultons nos adhérents et nos sympathisants, et nous déciderons demain (NDLR : aujourd’hui) si nous partons. A priori oui, car les deux tiers des réponses le réclament », nous confiait hier Etienne Cendrier, président de Robin des toits. La raison de cette brouille : l’expérimentation prévue à l’automne dans dix-sept communes dont Courbevoie, les XIVe et XVe arrondissements de Paris, certains quartiers de Strasbourg, Cannes et Grenoble. Le but : mesurer l’impact des ondes et voir si en diminuant l’intensité jusqu’à 0,6 V/m, la qualité des communications reste correcte. Or, Robin des toits voulait également faire ses propres mesures. « Jeudi, on nous a dit qu’on pourrait les faire mais qu’il n’y aurait rien d’écrit dans le protocole, s’insurge Etienne Cendrier. Si rien n’est écrit, les opérateurs pourront contester nos chiffres. »
François Brottes, le député PS qui pilote le comité opérationnel, tente de calmer le jeu : « S’il n’y a plus l’ensemble des acteurs, ça n’a plus de sens. Je vais essayer de trouver un point de sortie. En tout cas, les mesures seront faites en toute transparence. » Il y a un an, deux autres associations avaient claqué la porte, Priartém et Agir pour l’environnement. « Puis on est retournés aux réunions », note Janine Le Calvez. La présidente de Priartém positive : « Nos efforts ont permis que l’Afsset reconnaisse qu’il y a des signaux indéniables d’effets des ondes sur nos organismes. » Mais l’avancée de ce Grenelle est également troublée par les désaccords entre Priartém et Robin des toits.

Le Parisien

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17 avril 2010 6 17 /04 /avril /2010 08:27

Villes pilotes : appel à avis aux adhérents et sympathisants de Robin des toits - 16/04/2010

 

Source :  http://antennes31.over-blog.com/ext/http://www.robindestoits.org/

 

Hier Robin des toits s'est vu contraint de suspendre sa participation au COMOP (expérimentation sur la baisse des seuils d'exposition dans les Villes Pilotes).

Nous vous consultons aujourd'hui pour savoir si nous sortons ou pas du COMOP.

Robin des toits est à l'origine de la proposition de Villes Pilotes ou serait testé l'abaissement de l'exposition aux champs électromagnétiques des antennes relais. Depuis un an, nous avons participé et négocié pour que ce processus soit valide, transparent et incontestable.

Voici les décisions prises hier par le COMOP :
Les mesures "officielles" seront toutes réalisées sous l'égide de René de Sèze de l'INERIS et avec des bureaux de contrôle qui travaillent en permanence pour les opérateurs.

Le COMOP nous avait accordé de pouvoir faire des mesures de vérifications lors de ces expérimentations. Hier, ce droit nous a été retiré : nous pourrions toujours faire des mesures mais elles n'auraient plus aucun statut et de fait, cela nous empêcherait de vérifier officiellement que tout se passe correctement.


Les négociateurs de Robin des toits ne reconnaissent plus leur "bébé" et considèrent que le processus, n'étant plus officiellement contradictoire, il n'est plus scientifique ni crédible.


Nous ne pouvons donc plus garantir les résultats et nous ne souhaitons pas, par une présence purement décorative, apporter un crédit à un système sous contrôle des opérateurs sans contre pouvoir des associations.


Question : êtes vous d'accord avec cette position?

Répondez jusqu'à Lundi 19 Avril par

 

- OUI (Robin des Toits se retire du COMOP) ou par

- NON (Robin des Toits reste au COMOP).


par E-mail : contact@robindestoits.org

Nous vous ferons part des résultats de cette consultation.

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6 avril 2010 2 06 /04 /avril /2010 19:21

LA-D-p-che-copie-1.png   Publié le 06/04/2010 15:25 | LaDepeche.fr

 

Comme dans d'autres communes de la région, les riverains craignent une antenne-relais sur le château d'eau. / Photoillustration, archivesDDM.

C'est aujourd'hui 6 avril que le conseil municipal doit décider de l'implantation ou du rejet des antennes relais sur le château d'eau. Un collectif de parents d'élèves et de citoyens s'y oppose. Leur porte- parole répond à nos questions.

Ou en êtes vous de votre mobilisation contre les antennes?

Nous restons mobilisés par la distribution de tracts Nous sommes contre le lieu d'installation mais pas contre les antennes en général. Nous avons d'ailleurs proposé à la mairie et au représentant Orange des sites alternatifs lors de la réunion publique du 12 février. Nous sommes pour une installation avec un minimum de bon sens (antennes à plus de 300m de toute habitation, écoles et future crêche). Nous avons demandé au maire de cesser de nous opposer aux personnes connaissant des problèmes de couverture avec Orange (le village est couvert en partie par Orange et totalement par SFR et Bouygues).»

Qu'attendez vous des élus municipaux ?

«Que le conseil municipal prenne à cœur ses responsabilités et prenne en compte les inquiétudes légitimes des administrés. Nous attendons de leur part un minimum de prudence pour le futur car un oui à ce projet engagera tout le monde pour plusieurs années d'expositions inévitables et ouvrira la porte à de nouvelles installations des autres opérateurs sur le même site.

Les élus de Sainte-Foy ont la chance d'avoir le pouvoir de décision, ce qui est rare dans ce genre de dossier. Le syndicat des eaux (propriétaire du château d'eau) s'est engagé, par la voix de son président, à suivre cette décision dans la poursuite ou non de ses négociations commerciales avec Orange.

Dans ce projet le but premier d'Orange n'est pas de couvrir Sainte-Foy mais de profiter du point haut existant afin «d'arroser» à moindre coût la plaine du Sud-Ouest Toulousain. Orange n'étudiera pas de solutions alternatives (proposées lors de la réunion publique du 12/02/2010) tant que les élus n'auront pas rejeté ce projet sur le château d'eau.

Nous attendons des élus qu'ils rattrapent le manque de transparence depuis le début de ce projet .

Si la décision vous est défavorable que comptez vous faire?

Premièrement , nous avons déposé une procédure au tribunal administratif pour contester la validité de l'arrêté de non opposition délivré par la mairie le 3 septembre 2009. Deuxièmement, nous renforcerons notre mobilisation dans le village et au-delà avec l'aide d'association comme antenne31 et Priartem.


deux mois de débats

Lors de la réunion publique du 12 février, chacun a pu exprimer son point de vue, son expérience et illustrer par des exemples ses propos. Les échanges ont été divers, nombreux et parfois houleux. «Ils ont permis de démontrer toute la difficulté pour traiter ce type de projet» avait souliigné, à l'époque François Vives, le maire. Jean Ayçaguer a vait affirmé qu'il ne signerait aucune convention tant que le conseil municipal n'aurait pas délibéré. Ce qui devrait être fait ce jour.

 

Source :   http://www.ladepeche.fr/article/2010/04/06/811517-Sainte-Foy-de-Peyrolieres-Antennes-relais-decision-aujourd-hui.html

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 19:27

Collectif de Sainte Foy de Peyrolières

 

OUI au principe de précaution et à la prudence pour nos enfants!

NON aux antennes au coeur du village, près des écoles et habitations!

 

Le conseil municipal doit se prononcer le 6 avril sur le projet d’antennes de téléphonie mobile sur le château d’eau. Le syndicat des eaux, propriétaire du lieu, s’est engagé à suivre cette décision.


Lors de la réunion publique du 12 février, M. Oberhausen, physicien, a confirmé que les émissions des antennes-relais n’étaient pas sans risques sur le long terme, surtout pour les enfants (stress, insomnies, migraines, tumeurs, leucémies, …).
L’opérateur s’abrite derrière les textes officiels indiquant l’absence de danger en l’état actuel des connaissances. L’agence officielle AFSSET recommande pourtant de limiter l’exposition du public !
Rappelez-vous, les textes officiels niaient le danger de l’amiante ou bien affirmaient que le nuage de Tchernobyl s’était arrêté aux frontières…


- La simulation de couverture présentée par l’opérateur montre qu’une partie du Parayré et certains hameaux ne seront toujours pas couverts ! Le but premier d’Orange n’est pas de couvrir Ste Foy mais de profiter du point haut existant pour «arroser » à moindre coût la plaine du sud-ouest Toulousain. Où est l’intérêt de la commune ?


- Des solutions alternatives plus prudentes peuvent exister mais l’opérateur ne les étudiera que si ce projet sur le château d’eau est refusé.


- Où est la cohérence avec les projets d’aménagement du village : crèche, agrandissement école et maison de retraite, commerces, … ??


- La proximité d’antennes-relais entraîne des nuisances et une crainte justifiée et ainsi une dévaluation du patrimoine immobilier (20 à 30% ; exemple de la décision du 20/09/2005 de la cour d’appel de Bordeaux) !

 

NON! la mission de nos élus n'est pas de satisfaire les intérêts des actionnaires d'Orange mais de défendre ceux de leurs administrés!

Nous comptons sur leur bon sens et leur prudence!

RDV le 6 avril pour assister à la décision.

 

Voir le tract au format PDF :  //http://www.fichier-pdf.fr/2010/04/01/7hokdv3/TRACT_27032010.pdf

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 21:16

'Les ondes sont-elles dangereuses pour la santé ?' - Radio Notre Dame - 25/03/2010

Les ondes sont elles dangereuses pour la santé ?

* Etienne Cendrier, Association Robin des Toits
* Maitre Richard Forget, avocat, auteur de "Portable et antennes, les mauvaises ondes" (Ed Sang de la terre)

Par téléphone :

* André Cicolella, Scientifique, chercheur français en santé environnementale
* Alain Gest, député UMP de la Somme et Président des Voies Navigables de France

 

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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 07:23
accueil midilibre.com   Édition du vendredi 5 mars 2010

Les Robin des Toits de plus en plus écoutés
Photo A. BETHUNE
La coordination Robin des Toits Cévennes s'oppose à l'installation des antennes-relais au nom du principe de précaution, conforté de plus en plus par des décisions judiciaires ; elle se défend pourtant d'être anti-technologique. C'est même le contraire que ses représentants ont plaidé hier matin lors d'une table ronde à Montpellier.
A l'heure où France Télécom déploie Internet haut débit en Languedoc-Roussillon, Nathalie Ouzoulias, porte-parole de la coordination, déplore que le Pays des Cévennes, tout comme la communauté d'agglomération de Nîmes, ne se soient pas engagés, dès son origine, en 2007, dans ce dispositif régional privilégiant la technologie avancée du filaire. « Plutôt qu'une technologie obsolète, dangereuse en Cévennes exclusivement hertzienne, tout cela pour une couverture seulement partielle. » Dire oui à la wi-fi, selon l'association, c'est s'exposer à « une fracture numérique encore plus grande pour demain ». Ces arguments, relayés aujourd'hui par une quinzaine de collectifs des Robin des Toits, ont convaincu Saint-Christol-lez-Alès et Saint-Etienne-de-l'Olm, qui se sont opposés à l'installation d'antennes-relais sur leurs communes ; d'autres, comme Monteils et Saint-Julien-des-Points, s'interrogent. L'intérêt général, affirme la coordination, est de mettre sur la même longueur d'ondes d'autres maires, et en sourdine les fréquences d'émissions, « A Alès, on est déjà à O,8 volt par mètre, au-dessus de la norme européenne fixée à 0,6 le seuil limite. » « Ailleurs, ajoute Nathalie Ouzoulias, Drôme, Ardèche, Paca, Bourgogne, on est revenu au filaire. En nous imposant le système hertzien, l'opérateur Meshnet et le Pays des Cévennes nous conduisent à abandonner de fait le réseau historique du téléphone, l'égalité des tarifs et l'accès aux moyens de communication pour tous. » Elections obligent, les Robin des Toits Cévennes ont été « écoutés » par les services de la Région. Un nouveau rendez-vous en avril prochain dira s'ils ont été entendus. En attendant, ils font remarquer que trois plaintes contre X, dont une à Alès, suivent leur cours.
René DIEZ

Source :  http://www.midilibre.com/articles/2010/03/05/ALES-Les-Robin-des-Toits-de-plus-en-plus-ecoutes-1135357.php5

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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 08:49
Midilibre.gif   Édition du dimanche 21 février 2010


Depuis un an, Ana lutte contre les antennes

Petit clin d'oeil, hier midi, l'association A Nous d'Agir (Ana) fêtait son anniversaire avec une quarantaine de personnes, réunies autour d'un apéritif convivial, à deux pas du chantier d'une antenne de téléphonie mobile, dans le quartier du Polygone. Un chantier suspendu, depuis qu'il y a un an Ana entamait son combat contre cette antenne.
Née dans l'émotion, l'association s'est structurée et étoffée, puisqu'elle compte aujourd'hui une centaine d'adhérents, autour de son président Philippe Coisne. Elle multiplie les actions d'information sur les dangers des ondes électromagnétiques et s'est équipée d'une sonde pour effectuer des relevés.
Hier, le cardiologue Pierre Souvet, président de l'association Santé Environnement France (2 500 adhérents), est venu, par sa présence, soutenir l'action d'Ana. « Je fais partie des médecins qui ont signé l'appel des vingt scientifiques sur les dangers du portable, rappelle-t-il. On a suffisamment de signaux sur la toxicité des ondes électromagnétiques pour appliquer le principe de précaution. Nous militons pour faire baisser la puissance des antennes à 0,6 v / m et pour les implanter au moins à 100 mètres des habitations. » Un combat qu'Ana porte à Villeneuve et au-delà, en sensibilisant les politiques et les citoyens. « Nous avons été sollicités pour effectuer des mesures à Marseille et dans un village du Vaucluse, se félicite Philippe Coisne, ravi de l'impact de l'association. Seules les mesures citoyennes sont crédibles, car les opérateurs de téléphonie ont les moyens de déjouer les contrôles officiels en baissant les puissances de leurs antennes pour ne pas être épinglés », affirme-t-il.
Prochaines étapes pour Ana : exiger, dans le cadre de la prochaine commission extra-municipale sur les antennes-relais, dont elle a suscité la création, la communication des azimuts de toutes les antennes de la commune. Continuer ses actions d'informations dans les écoles. Et, le 4 mars prochain, participer au conseil régional, à une coordination d'associations qui travailleront sur le plan numérique régional.

K. HANIN

Accéder au site de l'association : http://anousdagir.over-blog.com/

Source :   http://www.midilibre.com/articles/2010/02/21/VILLAGES-Depuis-un-an-Ana-lutte-contre-les-antennes-1120662.php5

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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 16:40

PRIARTEM-copie-1.jpg   28 janvier 2010 - par Collectif

Actions menées par le collectif des riverains de Sainte Foy de Peyrolières relatives à ses déboires avec Orange

Annonce du débat public du 12 février 2010

Une centaine de personnes accompagnées de leurs enfants ont brandit leurs pancartes « Non aux antennes relais au cœur du village » à la mairie de Sainte -Foy de- Peyrolières lors de la réunion avec le maire « L’inquiétude et le mécontentement grondent dans la foule, ce qui engendre « un dialogue de sourd », et va même jusqu’au clash. En effet des gens quittent la salle… raconte un porte parole du collectif.

Le débat a été recentré : il ne s’agit pas de s’opposer a l’antenne relais mais à son emplacement au milieu du centre du village sur le château d’eau et à 200 mètres des écoles. L’ensemble des personnes présentes ont insisté sur la nécessité d’informer la population et surtout les élus peu nombreux à cette réunion. » poursuit le collectif qui a remis au maire des dossiers à l’attention de l’ensemble des élus, afin de pouvoir les informer et les alerter sur les risques de santé publique.

Finalement une date de réunion publique spécifique a été établie le 12 février sur le sujet de l’antenne. « Nous espérons par cette forte mobilisation engagée, pouvoir reprendre des négociations.

En effet des propositions ont été émises de la part des participants et ils souhaitent trouver ensemble des solutions mais toujours dans le respect de la population » conclut le collectif.

Nous sommes toujours en contact avec notre députée et avons convié les maires des communes voisines ainsi que tous les collectifs. Daniel Oberhausen, physicien de Priartem, nous a assuré de sa présence.

Le point de vue du maire

François Vives le maire précise : « en réponses aux interrogations des riverains, le maire est revenu sur les courriers obtenus auprès de la DASS ainsi que de l’Agence Technique Départementale. Ces réponses ont été transmises au collectif et aux délégués de parents d’élèves. Les documents sont aussi consultables à la mairie. Depuis le gel du projet demandé par le maire auprès du propriétaire du château d’eau (Syndicat Intercommunal des Eaux des Coteaux du Touch), plusieurs réunions ont eu lieu dans le but de fournir à la population comme aux élus toutes les informations concernant ce type de projet. Pour finir de renseigner la population, il a été décidé de tenir une réunion publique le 12 février. Une fois les dernières informations obtenues, le conseil municipal se prononcera sur le devenir de ce projet . »

Les membres du collectif face à François Vives.

 

Source :  http://www.priartem.fr/Sainte-Foy-de-Peyrolieres-des.html


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11 février 2010 4 11 /02 /février /2010 21:04
robin-copie-1.jpg  

L’Association Nationale Robin des Toits a été invitée par la Ville de STRASBOURG à une réunion consacrée à la mise en oeuvre de l’abaissement des expositions électromagnétiques. Robin des Toits remercie la Ville de son invitation.

Les représentants de la Ville, en l’absence du Maire, exposent leur projet. Il consiste en des réunions. Avec un objectif double :

- informer la population.

Rappelons que le déploiement commercial de la téléphonie mobile date de plus de 10 ans.

- parvenir à un consensus entre les participants. Ce ne sera pas simple. Du fait que les positions de la population et des opérateurs sont intégralement opposées. Du fait que la population a précédé l’initiative de la Ville dans l’accès à l’information réelle.

Après cet exposé, Robin des Toits rappelle qu’il est à l’origine de la proposition d’organiser des tests d’abaissement des expositions électromagnétiques. Puis, du fait de sa participation à toutes les réunions du Comité Opérationnel sur le sujet, il informe les présents de l’état des décisions au niveau national. Sous la Présidence de Monsieur BROTTES, Député PS de l’Isère, le Comité Opérationnel, dont Robin des Toits est membre, exerce la fonction de décideur politique dans le cadre du Grenelle des Ondes. Il définit les modalités de mise en oeuvre de l’expérimentation. De façon complète et détaillée.

Sans attendre le début de l’expérimentation, la Ville a la possibilité de rendre claire l’importance qu’elle attache à la Santé Publique par la prise de quelques décisions :

1- Informer publiquement la population que la Ville dispose de textes précisant l’état présent des connaissances sur l’ElectroHyperSensibilité. Notamment par le document qui lui a été remis le 04/02/2010 par Robin des Toits. Signaler qu’elle est également informée du fait que divers Etats ont procédé à la reconnaissance officielle. Informer qu’en conséquence la Ville ouvre un Service destiné à l’accueil des personnes qui se déclarent électrosensibles. Afin de pouvoir organiser un suivi médical pendant la durée des tests.

2- Procéder au niveau de la Communauté Urbaine à un recensement des zones d’intensité faible et prévoir d’y organiser des résidences avec dispositifs de protection.

3- Informer publiquement la population que la Ville dispose de documents concernant les émissions WIFI et WIMAX et qui établissent les faits suivants :

• elles sont très inférieures techniquement aux connexions filaires.
• ceux mêmes qui les installent confirment qu’elles seront abandonnées au plus tard en 2012, après quoi seule la fibre optique sera opérationnelle. Y investir est donc un gaspillage de l’argent public.
• les enquêtes sanitaires de proximité confirment qu’elles attaquent la Santé. Signaler que la Ville prendra contact avec les responsables politiques qui ont déjà procédé à des suppressions massives de WIFI. Notamment la commune de COURBEVOIE, et celle d’HEROUVILLE-SAINT-CLAIR.

4-Appliquer les recommandations officielles en interdisant la vente de portables aux mineurs de moins de 14 ans.

De tels actes exprimeraient la volonté de la clarté ainsi que le souci de la protection. La Ville confirmerait ainsi la nécessité de la compétence et de la responsabilité.


strasbourg_2010_02_11.pdf STRASBOURG_2010_02_11.pdf  (120.2 Ko)

Source : http://www.robindestoits.org/Strasbourg,-ville-pilote-pour-l-abaissement-des-seuils-d-exposition-11-02-2010_a1061.html

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 14:15
robin-copie-1.jpg    France 5 - 29/01/2010

A propos du discrédit public de l'OMS : France 5 revient sur le scandale de l'article du Lancet établissant que les faits scientifiques à l’origine des recommandations de l'OMS sont fréquemment absents.
France 3 évoque les liens entre les scientifiques auditionnés pour la grippe A et les fabricants de vaccin...


Souvenez-vous, en 2007 le magazine scientifique The Lancet avait publié une étude signée par les Dr OXMAN/Dr FRETHEIM/Dr LAVIS au sujet de l'expertise de l'OMS.

Sujet global : les faits scientifiques à l’origine d’une recommandation OMS sont fréquemment absents.
Autrement dit, il est fréquent que l’OMS navigue au sentiment. Confirmé par le Dr PANG de l’OMS.
Le Dr HORTON, rédacteur en chef du LANCET, qualifie l’étude de séisme et déclare que si l’OMS perd sa crédibilité internationale, son existence même doit être remise en question.

- Au cours d’une audition parlementaire, Mike REPACHOLI (département Champs électromagnétiques à l'OMS) dit :
« Dans le domaine des micro-ondes, le niveau a fini par être négocié. Cela n’a pas été basé sur la science. Mais négocié avec les industriels ».

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