Qui Sommes-Nous ?

  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 09:02
robin-copie-1.jpg  

Veuillez trouver ci-joint deux affiches utiles d'information concernant les installations WIFI individuelles.

Vous pouvez imprimer et coller ces affichettes dans le hall de votre immeuble.

Lire la suite sur le site de Robin des Toits.



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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 16:38
actualite-news-environnement.png   Pour une téléphonie mobile respectueuse de la santé publique à Béziers
Pour une téléphonie mobile respectueuse de la santé publique à Béziers. Un collectif d’opposition à un projet d’installation d'antenne de téléphonie mobile a été constitué à Béziers, une pétition a circulé dans un quartier où elle a retenu l’unanimité des riverains.

Le 14 août 2008, les riverains de la rue Salvador Allende, à Béziers, ont découvert avec stupéfaction l’affichage d’un projet d’installation d’une antenne de téléphonie mobile par l’opérateur SFR.

 

Un collectif d’opposition à ce projet d’installation a été constitué, une pétition a circulé dans le quartier, elle a retenu l’unanimité des riverains. Le Collectif a exigé de la Mairie de Béziers  la tenue d’une réunion d’information avec l’opérateur. Les demandes ont toutes été rejetées (sécurité et protection sanitaire, environnementale).

Monsieur le Sénateur-Maire a été interpellé en conseil municipal à ce sujet par l’élu vert Patrice Pollet, et cette demande de concertation a été refusée. Le collectif a été rejoint par le Comité de quartier des Arènes Sud 2 de Béziers puis par celui de Fonséranes, …

 

 

La coordination a été créée le 1 avril, lors de son AG constituante. Le 6 et 7 mai la coordination s’est opposée avec succès aux travaux d’implantation de l’antenne relais.

 

Le 15 mai, la Coordination avec la participation de l’OMESC et du MNLE a organisé une conférence débat : « Antenne relais Comment concilier Progrès et Santé ».

 

Le 12 septembre l’OMESC a invité la Coordination sur son stand lors de la journée des Associations, qui a intéressé vivement les biterrois.

 

Le 4 et 5 novembre 2009 SFR n’ayant pas pu passer en force au mois de mai a lancé une opération de « séduction » auprès des riverains de la salle de sport de Montimaran en essayant de les recevoir individuellement. Tous sont venus à la réunion groupés et ont réaffirmés leur opposition totale à cette installation.

 

Nous ne pouvons accorder une confiance aveugle aux opérateurs, quand ceux-ci nous refusent un certificat d’innocuité et de nous présenter une attestation d’assurance sur les ondes électromagnétiques. Nous demandons des engagements écrits respectant le seuil sanitaire de 0.6 V/mètre et la mise en place d’une commission extra-municipale posant le problème des CEM sur la ville de Béziers.

 

Afin de répondre aux inquiétudes des biterrois, la Ville de Béziers a effectué des mesures consultables sur le site de la ville, sur les principaux sites d’antennes relais.

 

Parallèlement la coordination biterroise et l’OMESC interpellés par les voisins d’antennes relais, souffrant de divers troubles (maux de tête, troubles du sommeil et de la mémoire, nausées…) ont effectué leurs mesures sur les lieux de vie.

 

Le relevé comparatif  des mesures de CEM ci-dessous met en évidence  un écart très important entre les valeurs effectuées par les services de la Mairie et les nôtres cela s’explique par le choix de l’horaire et des lieux des mesures.

 

 

Les documents européens et français concernant la compatibilité électromagnétique mentionnent que le seuil maximal légal d’exposition est en France de 3 V/m.

 

Les chiffres retenus par les services de la mairie sont des valeurs moyennes, alors que la réglementation impose des valeurs maximales.

 

De plus, les mesures relevées avant 10h00 du matin sont dénuées de signification.

La coordination biterroise a effectuée ses mesures sur les lieux de vie, là où les nuisances sont supportées par les habitants ou usagers.

 

6 sites dépassent la valeur maximale légale de 3 V /mètre selon le décret 2006-1278 du 18/10/2006 traduction en droit français de la Directive européenne 2004/108 du 15/12/2004.fixant les normes françaises NF EN 61000-6-1, NF EN 61000-6-3, NF EN 61000-4-3

Le dernier site se situe à 3 V :mètre c’est à dire 2.5 fois supérieur à la valeur enregistrée par la mairie.

 

Dans l’Hérault, Béziers comme Montpellier et Aigues-Mortes sont de véritables fournaises

Mardi 12 janvier la télévision montpelliéraine visible sur la TNT et sur le net a reçu  Me Raphaële Hiault-Spitzer, avocate et membre de l’Organisation de Médiation en Santé, Environnement et Consommation OMESC ainsi que M. Wasyl Lapszynfki conseiller technique et scientifique de la Coordination biterroise, membre de l’Association Robin des Toits dans le cadre du dossier « Bouge ta ville ». Cette émission est visible sur le net : http://www.7ltv.fr/emissions/bouge-ta-ville/

 

La Coordination des Collectifs ou Comités Biterrois est Membre des associations nationales : Robin des toits http://www.robindestoits.org/ et PRIARTEM  www.priartem.fr

Source : 

http://www.actualites-news-environnement.com/22628-telephonie-mobile-respectueuse-sante-publique-beziers.html

 

 


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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 23:20
Avec explications de Next-up sur la FSR (Fondation Santé et Radiofréquences.

Voir la vidéo.

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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 08:11
Next-up organisation

 "Nous faisons un pari sur l'avenir, à travers un projet dont l'ambition est sans équivalent en France", a déclaré Didier Guillaume président du Conseil Général de la Drôme en présence de Jean-Jack Queyranne président de la région Rhône-Alpes le 11 juin lors du premier soudage (raccordement) d’une tête du réseau ADN (Ardèche Drôme Numérique) à haut et très haut débit. Le président du Conseil général de l’Ardèche Pascal Terrasse concluant : "Nos collectivités ne peuvent laisser l'aménagement numérique du territoire aux seules mains des opérateurs et faire confiance à la seule dynamique du marché. Ne rien faire reviendrait à concentrer les services innovants en zones denses, à laisser des zones du territoire sous-équipées et avec des niveaux de service moindres" Le Syndicat mixte ADN qui est un établissement public créé à part
Didier Guillaume prt CG de la Drôme
égale par les Conseils généraux de l’Ardèche et de la Drôme et la Région Rhône-Alpes porte le projet ambitieux d’aménagement en cours. Il bénéficie du soutien de l’Union Européenne. La société ADTIM, filiale du groupement Axione / Eiffage / ETDE / ETDE Investissement, s’est vue confier par le Syndicat mixte ADN l’établissement et l’exploitation du réseau ADN dans le cadre d’une délégation de service public avec un contrat de concession signé pour une durée de 25 ans. Le coût total du projet s’élève à 123M€, dont 73 M€ à la charge d’ADTIM, la participation publique est portée par le Conseil Général de l’Ardèche et le Conseil Général de la Drôme (10 M€ chacun), par la Région Rhône-Alpes (20 M€) et par l’Union Européenne via le FEDER (10 M€).
La fibre optique permet du Très Haut Débit (100 Mbps) sans affaiblissement du à la distance. Objectif : A l’échéance juillet 2010, la fibre optique ADN permettra d’atteindre par les réseaux téléphoniques classiques 360 000 foyers dégroupés à partir des 213 centraux téléphoniques fibrés soit 96 % de la population disposera de l’offre "triple play" Haut ou Très Haut Débit (Internet, téléphonie et télévision). Pour les foyers particulièrement isolés il est prévu au cas par cas une desserte satellitaire, mais aussi malheureusement coté négatif, des connexions WiFi pour 12 000 foyers non éligibles à l’ADSL. Le réseau Ardèche Drôme Numérique en chiffres : - "Un squelette" de plus de 2000 km de réseau de fibre optique à construire ou a déployer sur des structures existantes, 1100 km de génie civil (micro-tranchées mécanisées) sont en cours de réalisation pour poser les fourreaux (gaines en PVC ou PE), 708 communes couvertes en Haut ou Très haut débit sur plus de 12 000 km², 212 zones d’activités et quartiers d’affaires desservis, 213 centraux téléphoniques dégroupés (NRA : Noeud de raccordement abonné), 500 sites publics raccordés (enseignement, santé, collectivités...), 2000 bâtiments d’entreprises en FTTB, 11 000 logements desservis en prises FTTH (Fiber To The Home – raccordement direct de chaque usager)
Voir uniquement la vidéo

Voir tout le dossier sur le site de Next-up.

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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 08:03
Avis du collectif Antennes 31, ou en sommes nous ?

Antennes 31 qui fédère les comités de quartier de Toulouse et plus largement les Toulousains et les habitants de la Haute-Garonne préoccupés par leur environnement électromagnétique a effectivement participé aux réunions - organisées par le Maire de Toulouse- de préparation d'une éventuelle  charte de bonne conduite et discutée avec les opérateurs de téléphonie mobile.
Antennes 31 défend la revendication  d'une exposition à un seuil maximum d'exposition de 0.6 V/m qui ,pour le moment, est la valeur recommandée par les organismes indépendants ; nous sommes tout à fait conscients que cette valeur ne pourra être atteinte que si les opérateurs montrent un peu de bonne volonté, si la mairie de Toulouse nous appuie dans notre démarche et si les habitants se mobilisent car il s'agit bien d'un rapport de force à installer.
Nous savons pertinemment que pour atteindre ce seuil de 0.6 V/m il sera nécessaire de franchir des paliers. Le but de nos réunions a porté sur la méthode à mettre en oeuvre pour franchir ces étapes et atteindre ce fameux seuil de 0.6V/m ;  nous préconisons le système ALARA ( défendu entre autres par la sénatrice Mireille Schurch) qui signifie : "As Low  As Reasonnably Achievable", soit en Français, "Aussi basse que raisonnablement possible".

Au moment où nous apprenons que Toulouse ne sera pas retenue comme ville expérimentale nous sommes toujours partie prenante de l'expérimentation visant à abaisser les seuils d'exposition dans Toulouse ; les opérateurs ont proposé que nous repérions 30 lieux très au dessus des 0.6 V/m (10 sites par opérateur) et se chargeraient d'étudier l'abaissement des seuils sur ces sites. Le protocole  pour conduire cette expérimentation est en discussion, notre collectif ne s'engagera que si cette expérience est réalisable dans un délai raisonnable avec des objectifs clairs et une réelle volonté d'aboutir. Nous assurerons un suivi  et les mesures seront réalisées par des organismes agréés.

Où en sommes nous ?

Pour le moment il est difficile de repérer les points à évaluer sauf quand des personnes nous ont signalé des implantations près desquelles  des troubles de santé étaient ressentis immédiatement (vertiges, troubles de la vue, migraines, palpitations, insomnies etc..). Nous avons besoin de tous pour nous aider à repérer ces points, nous avons aussi besoin de fonds pour financer du matériel de contrôle qui nous garantirait des mesures indicatives effectuées avant et après l'intervention des opérateurs, ceci pour éviter que, comme à Paris des seuils , qui avaient été traités par les opérateurs dans le cadre d'une charte ne durent qu'un temps et remontent au niveau dénoncé.

Comment nous aider?

Si vous êtes riverain d'une antenne relais de téléphonie mobile et que vous souffrez de maux de tête, de vertiges, de perte de sommeil et autres qui disparaissent quand vous quittez votre logement, vous êtes peut-être électro-sensible, contactez nous.
Actuellement l'information liée aux risques des antennes de téléphonie mobile commence à être connue de nos concitoyens et chaque nouvelle annonce d'installation provoque la création d'un collectif qui informe les riverains et lutte pour le respect du principe de précaution inscrit dans notre constitution , pour notre droit à la santé et contre la dévaluation du patrimoine.

En attendant que nos représentants votent une loi qui oblige les opérateurs à changer de normes,  la France étant « championne »  en matière d'exposition (41, 58 et 61 V/m), sachant que la commission européenne a alerté en  septembre 2008 sur leur inadaptation, seule votre mobilisation pourra ralentir ou enrayer ce processus, nos élus étant électo-sensibles.
Adhérez au collectif Antennes 31, en cotisant à notre association vous nous aiderez a acheter du matériel de contrôle qui nous permettra de vérifier votre environnement afin de savoir si subissez une nuisance électromagnétique.  Visitez notre blog à l’adresse : http://antennes31.over-blog.com et contactez nous : antennes31@free.fr


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4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 08:02








     3 décembre 2009 - par Priartem et Agir pour l’Environnement

Communiqué de presse d’Agir pour l’Environnement et Priartem

Paris, le 03 décembre 2009 : Les associations Agir pour l’Environnement et Priartém viennent de mettre en ligne une CARTE répertoriant les points chauds électromagnétiques en France. Les données constituant cette première cartographie sont issues du site de l’Agence nationale des fréquences.

Agir pour l’environnement et Priartem ont analysé les 500 dernières mesures réalisées en septembre et octobre 2009 et publiées sur le site de l’ANFr. Elles ont découvert des résultats tout à fait préoccupants.

Sur ces 500 mesures, 59 sites font apparaître des niveaux de champs électromagnétiques forts, voire très forts, soit 11,8% des mesures effectuées. Sur ces 59 sites, une vingtaine dépasse les 5 V/m dont 6 sites dépassent les 10 V/m (Corbeil-Essonnes, Paris 6è, Aigues Mortes, Courbevoie, Troyes, Montpellier). Il s’agit, dans tous les cas de zones urbaines, la plupart du temps fortement urbanisées.

A la lecture des données disponibles sur le site de l’ANFr, il est à noter que la téléphonie mobile est le contributeur principal dans plus de 95% des cas mesurés. La télévision, la radio et les autres sources (pompiers, gendarmerie, armée...) ne représentant qu’une part infime du champ global.

Ces résultats montrent l’urgence de prises de mesure de réduction des expositions recommandées au gouvernement par son agence d’expertise, l’Afsset. L’Afsset vient, dans un récent avis de préconiser une réduction des valeurs d’exposition du public, prônant l’application à la téléphonie mobile du principe ALARA. La proposition de l’Afsset vise à repérer les points dits « chauds » ou « atypiques », définis par l’Agence comme ceux qui dépassent la valeur moyenne d’exposition. Celle-ci, selon les récentes données de l’ANFr se situerait aux environs de 1 ou 1,5 V/m.

Les situations d’exposition que révèlent les associations dans cette première carte des points chauds, sont totalement inacceptables. Toute inaction de la part tant des pouvoirs publics que des opérateurs serait non seulement irresponsable mais totalement condamnable.

Les associations insistent, par ailleurs, sur la nécessité de la plus grande transparence sur la réalité des expositions que subissent les populations riveraines des stations de base. La profusion des informations nuisant souvent à leur lisibilité, les associations Agir pour l’Environnement et Priartem ont décidé de mettre désormais à jour chaque mois une cartographie des points chauds électromagnétiques afin que le droit et l’accès à une information validée ne soit plus un vain mot et afin que personne ne puisse plus dire « on ne savait pas ».

 

Lire l'article sur le site de Priartem

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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 00:07
 

Claire-Jeanne Moraschetti, présidente de l'association Robin des Toits-Tarn

En conclusion de son rapport, remis jeudi 15 octobre, l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) estime qu'"aucune preuve convaincante d'un effet biologique" des radiofréquences n'est démontrée. Ce diagnostic vous paraît-il juste ?

Avec ces conclusions, nous sommes dans la négation d'un risque largement prouvé. On ne peut pas dire que les radiofréquences n'ont pas de conséquences sanitaires. D'autres chercheurs démontrent le contraire. L'étude Interphone, dont le but est d'évaluer les liens entre l'utilisation des téléphones portables et le cancer du cerveau, devait sortir en 2006, et n'est toujours pas rendue publique, malgré les demandes pressantes du Parlement européen. En 2008, un laboratoire de Clermont-Ferrand a démontré que les ondes des terminaux mobiles provoquaient des effets biologiques pour les tomates exposées.

Les pouvoirs publics protègent les opérateurs pour gagner du temps. Ces derniers multiplient les études pour contredire les études indépendantes. Et pas une seule réalisée par un opérateur estime qu'il y a un risque.

Le rapport estime qu'en ce qui concerne la téléphonie, le principal facteur de risque est le téléphone lui-même, et non les antennes-relais. Qu'en pensez-vous ?

Cette conclusion participe aussi à la confusion. Les opérateurs de téléphonie sont prêts à reconnaître l'effet d'échauffement dans le cerveau. Mais il n'y a pas d'étude sur les conséquences d'une exposition chronique aux ondes. De la même manière qu'une exposition constante aux produits chimiques, la proximité aux antennes-relais doit avoir des effets biologiques.

Ce rapport change-t-il quelque chose pour votre action ? Que prévoyez-vous ?

Nous allons poursuivre nos analyses, notamment avec les scientifiques du Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem). Nous comptons également oeuvrer au niveau de l'Etat, des tribunaux et de l'Union européenne.

Des alternatives au maillage actuel d'antennes-relais existent : en multipliant les antennes de plus faible puissance, les riverains seront moins pollués.

Propos recueillis par Laurent Checola

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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 20:08

  

Etienne Cendrier, porte-parole de Robin des Toits, démontre que les dangers potentiels de la téléphonie mobile (téléphones portables, antennes-relais, wifi, wimax, bluetooth, etc ...) sont connus de l'industrie depuis des années...



Le livre d'Etienne Cendrier est en librairie depuis le 22/05/2008

"Et si la téléphonie mobile devenait un scandale sanitaire ?"

Aux Editions du Rocher
Prix conseillé : 9,90 Euros

Préface de Franck Laval, Président d'Ecologie sans Frontière.

-- Les droits d'auteur sont intégralement versés au fonctionnement de l'Association Nationale Robin des Toits. --

'Et si la TELEPHONIE MOBILE devenait un SCANDALE SANITAIRE ?' (ed. du Rocher) - Sortie du livre d'Etienne Cendrier
Achetez-le à tous les maires de votre entourage, aux députés, sénateurs, aux conseillers généraux et régionaux, aux ministres de votre connaissance.

A ceux d'entre vous qui constateraient que le livre n'est pas facilement accessible dans vos librairies, merci de faire remonter l'information à l'association afin de permettre à l'éditeur d'agir en conséquence.

Résumé : Dès son lancement, la technologie mobile a fait l’objet d’une alerte sanitaire par les scientifiques qui avaient étudié l’impact des émissions radars sur les personnels militaires et avaient constaté le caractère nocif des ondes pulsées précisément dans les fréquences utilisées par la téléphonie mobile.

Les industriels se sont donc mis à financer des recherches qui avaient pour objet de rassurer le marché et les décideurs politiques, et, comme dans les affaires de l’amiante et du tabac, la stratégie a payé : le « débat » était lancé.

Mais, comme pour l’amiante, les principales compagnies d’assurance et de réassurance mondiales, jugeant le risque trop grand, ont rapidement cessé de couvrir les industriels en responsabilité civile pour tous les risques pour la santé liés aux émissions de champs électromagnétiques.

Aujourd’hui, grâce aux chercheurs indépendants, les preuves scientifiques sont là, qui montrent que, dans ses conditions techniques actuelles, la téléphonie mobile est dangereuse pour la santé.
La solution : une réglementation réelle incluant le respect de la santé publique.

Lien vers le site de Robin des toits.



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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 22:38






    


Après le Pr Belpomme, Etienne Cendrier censuré à son tour.


La Mairie de Paris a décidé d’interdire la présence d’Etienne Cendrier, membre du Comité de Suivi du Grenelle des Ondes et de la commission des mesures d’exposition, sous l’égide des Ministères de la Santé, de l’Ecologie et de l’Economie Numérique, au Comité Hygiène et Sécurité (CHS) de la Direction des Affaires Culturelles prévu le 23 octobre 2009.

Parmi les points mis à l’ordre du jour de cette instance figurent les mesures et installations des bornes Wi-fi dans les bibliothèques et musées parisiens.

La présence d’Etienne Cendrier avait été demandée par le syndicat Supap-FSU et soutenue par les élus CHS de la CGT, FO et UNSA.

Au début de l’année, le Maire de Paris avait également interdit la présence au CHS de la DAC du Pr. Dominique Belpomme qui devait informer les membres de ce comité sur les symptômes de l’intolérance aux champs électromagnétiques. Dans la foulée toutes les questions sur les effets des ondes electromagnetiques avaient été assujetties à la tenue d’une conférence de citoyens et à ses recommandations.

Cette Conférence Citoyenne a depuis rendu un avis très sévère sur la question des ondes électromagnétiques sur la santé, préconisant notamment le remplacement du Wi-fi dans les bâtiments municipaux lorsque des installations filaires étaient possibles.

Malgré le grenelle des ondes ou les récents travaux redus par l’AFSSET, qui prennent très sérieusement en compte l’effet des ondes électromagnétiques sur la santé, la Ville de Paris, ses élus et l’administration refusent d’aborder cette question par peur de remettre en cause leur idéologie sur les technologies sans fils.

Il est vrai que sur les questions de santé, la Ville de Paris a un gros problème avec la loi puisqu’elle ne respecte pas même les textes réglementaires notamment en matière d’amiante.

Le secteur privé semble avoir plus d’audace que le Maire de Paris, puisque Etienne Cendrier (par ailleurs porte parole de l’association Robin des toits), et des membres du Supap-FSU ont été auditionnés dans des CHSCT qui osent débattre de ce problème de santé dans le cadre du travail..

Ajoutons que la technologie Wi-fi est déjà obsolète et que seul le Très Haut Débit offre une alternative (c’est la fibre optique qui est nécessaire). A ce rythme Paris va devenir « Ville numérique archaïque »

Le syndicat Supap-FSU, à l’instar des parisiens, demande au Maire de Paris, le remplacement du Wi-fi par des connexions filaires dans tous les bâtiments publics et de réellement prendre en compte les questions de santé de ses agents.

Contact presse :

Agnès Dutrevis 01 44 70 12 82

Bertrand Pieri 01 44 70 12 80

Marie Claude Sémel 06 63 56 11 33

Lire l'article sur le site de Robin des toits
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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 09:26

   16 octobre 2009 - par Priartem et Agir pour l’Environnement

Avis de l’Afsset sur la téléphonie mobile

RADIOFREQUENCES : Les associations recommandent de réduire les expositions

Madame la Ministre, Madame la Secrétaire d’Etat,

Le 16 octobre 2009 sera sans doute une date importante dans la controverse relative à la téléphonie mobile. Longtemps attendu, l’avis de l’Afsset a le mérite de reconnaître officiellement une certaine incertitude en matière de téléphonie mobile. Mieux, l’Afsset préconise une baisse généralisée des expositions liées aux ondes électromagnétiques, portables, wifi, wimax et antennes relais compris.

Le risque émergeant que constitue désormais la téléphonie mobile doit connaître une traduction réglementaire. Associés au suivi de cette nouvelle expertise en tant qu’observateur et membre du comité de suivi du Grenelle des ondes, nous allons tenter de jouer le rôle de « chainon manquant » entre expertise scientifique et décisions politiques que nous appelons de nos vœux.

Parce que l’Afsset a pris ses responsabilités en reconnaissant enfin la téléphonie mobile comme un risque émergeant, nous n’imaginons pas vous passiez par pertes et profits cet avis qui fera, n’en doutons pas, date.

Nous attendons donc de votre part une réaction forte et vous appelons à la responsabilité et au courage politique. Les résultats du Grenelle des ondes n’ont, pour l’heure, pas été à la hauteur des enjeux, justifiant l’inaction en matière d’antennes relais par l’absence de données scientifiques. L’avis courageux de l’Afsset change en profondeur la donne et rendrait toutes mesures dilatoires particulièrement inacceptables.

La réunion du comité de suivi du Grenelle des ondes vous donne l’occasion d’agir en annonçant une baisse des seuils d’exposition, selon le principe Alara, comme le propose l’Afsset. Au regard des niveaux d’exposition mesurés par l’AnFr, l’application du principe Alara (aussi faiblement que techniquement possible) aboutirait à adopter un seuil d’exposition aux antennes relais très voisin de celui proposé par les associations, à savoir le 0,6 volt/mètre, ceci étant, semble-t-il, techniquement possible selon l’Afsset.

Dans l’attente d’une action forte et rapide de votre part, nous vous prions d’agréer, Madame la Ministre, Madame la Secrétaire d’Etat, l’expression de nos salutations les plus respectueuses.

Janine Le Calvez, Présidente de Priartém

Stéphen Kerckhove, Délégué général d’Agir pour l’Environnement

 

source :http://www.priartem.fr/Lettre-ouverte-a-la-Ministre-de-la.html

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