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  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 11:30

   Publié le 23/06/2009 09:17 | Aline Raynal

Téléphonie mobile. Les «Robin des toits» exigent que le principe de précaution soit appliqué.


Il faut prendre un peu de distance pour apercevoir les antennes de téléphonie mobile installées sur le château d'eau. Photo DDM.
Il faut prendre un peu de distance pour apercevoir les antennes de téléphonie mobile installées sur le château d'eau. Photo DDM.

Des riverains du quartier de l'Aérogare ont constitué un collectif afin de faire respecter le principe de précautions concernant les antennes de téléphonie mobile.

« Tout ça a commencé il y a six semaines, indique Caroline Cambon qui habite à quelques mètres du château d'eau. Une voisine est venue me voir. Elle souffre d'insomnies, de maux de tête, de problèmes de peau. Les examens médicaux ne donnent rien et les symptômes disparaissent quand elle quitte son domicile. A bout d'arguments, elle a fini par penser aux antennes sur le château d'eau ».

Une pétition signée par 543 personnes

Selon l'agence nationale des fréquences, il y a là quatre stations de téléphonie mobile pour un total de 15 antennes. « Du sol, on ne les voit pas, poursuit la jeune femme. Beaucoup de riverains ignorent leur présence. La première a été installée en 1996, la dernière en 2007. Nous avons parlé entre voisins. Certains ont les mêmes symptômes ou d'autres, plus importants. Chacun cherche une explication de son côté. Ici, on est en zone résidentielle. A 100 mètres, il y a l'école de l'Aérogare. Nous avons contacté enseignants et parents d'élèves. Des enfants se plaignent souvent de maux de tête ».

Le Collectif créé mi-mai adhère à l'association « Robin des Toits », s'informe. Les mesures déjà faites d'émission d'ondes électromagnétiques ne concordent pas. Devant l'entrée de l'école une mesure donne 0,42V/m, une autre 2V/m.

Marie Xavière Superbié, habite dans la résidence sous le château d'eau « Dans certains appartements, assure-t-elle, les mesures ont donné 5,7 V/m ». Une pétition circule, récolte 543 signatures. Les élus blagnacais ont reçu le collectif le 12 juin dernier (voir ci-contre).

« Le principe de précaution doit être appliqué, insiste Caroline Cambon. Nous ne pourrons pas dire à nos enfants dans 10 ans, on avait un doute mais on n'a rien fait. Nous envisageons aussi d'entamer une procédure. Nous nous sommes rapprochés d'un autre collectif créé il y a 6 mois avenue du Parc qui s'intéresse aux antennes relais situées au n° 3 de l'avenue ».

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 11:22

    Publié le 23/06/2009 04:34 | LaDepeche.fr

Plus de 600 personnes, des parents de l'école Marie-Curie et des habitants du quartier ont signé une pétition contre les relais d'Orange.

Interventions du collectif et de parents élus au conseil d'école, échanges, musique et pique-nique, ont rassemblé une cinquantaine de riverains de La Capélanié dimanche soir. DDM.
Interventions du collectif et de parents élus au conseil d'école, échanges, musique et pique-nique, ont rassemblé une cinquantaine de riverains de La Capélanié dimanche soir. DDM.
Interventions du collectif et de parents élus au conseil d'école, échanges, musique et pique-nique, ont rassemblé une cinquantaine de riverains de La Capélanié dimanche soir. DDM.

Partie de parents d'enfants scolarisés au sein de l'école maternelle Marie-Curie, la mobilisation contre l'implantation dans le secteur de la Capélanié d'une antenne destinée à supporter des relais de l'opérateur de téléphonie Orange, s'étend désormais dans tout le quartier. Voire même au-delà. Une pétition aurait d'ores et déjà recueilli près de 700 signatures. « Certains signataires ne sont pas riverains de l'implantation projetée, précise volontiers Claude Latger. En effet, des personnes résidant sur d'autres secteurs de la ville se sont senties concernées également en découvrant qu'elles vivaient déjà non loin de mats supportant des relais. »

Claude Latger s'affiche désormais comme le porte-parole d'un collectif de riverains opposés à l'installation de l'antenne Orange aux abords du stade de la Capélanié, et donc, à proximité d'une école maternelle, d'une église protestante, et d'un secteur pavillonnaire. « Je suis inquiet à double titre, nous confie Claude. Je vis non loin de là, et mes deux petites filles fréquentent cette école ».

Dès sa constitution, le collectif a adressé une correspondance au maire, Pascal Bugis, pour solliciter une entrevue. « Pas de réponse à ce jour… », signale Claude. Après quelques semaines de patience, les parents de l'école, eux, ont obtenu la rencontre qu'ils souhaitaient avoir avec le premier magistrat. Elle se tient ce soir dans les locaux de la maternelle à partir de 18 h 30. Par l'entremise de la directrice de l'établissement scolaire, le maire a invité tous les parents à y participer. Dans son courrier il précise : « le projet d'implantation d'une antenne a suscité un certain nombre d'interrogations voire de rumeurs… ». Sans aucun doute un effet de style pour affirmer qu'il compte bien répondre à toutes les questions, notamment celles auxquelles n'avaient pas pu répondre ni son adjointe à l'enseignement, Michèle Galissard (lors d'une rencontre avec les représentants élus des parents), ni Xavier Borie (adjoint à l'urbanisme et délégué de la ville aux derniers conseils de l'école).

À propos de conseils d'école, le tout dernier s'est tenu vendredi dernier. Une motion « anti antenne » devait y être soumise. Il n'en fut finalement rien. Les délégués de parents préférant, d'une part, attendre le débat prévu ce mardi avec Pascal Bugis, et d'autre part laisser désormais les initiatives au collectif de riverains. Ainsi, ont-ils, dès dimanche soir, partagés la paternité et l'organisation d'une soirée de « protestation festive » devant l'école. À l'occasion de la Fête de la musique, le groupe Glass and the dog, où joue un parent d'élève, a proposé une partie de son répertoire pendant que des habitants de la Capélanié échangeaient points de vue et informations sur le projet d'antenne, comme sur le problème des émissions d'ondes en général. « Depuis avril, nous avons appris plein d'infos, notamment juridiques, sur nos droits », souligne une élue au conseil d'école.

« Sur Castres, il y aurait déjà 23 mats et antennes, dont certaines en secteurs très urbanisés, ajoute un riverain. Cela mérite réflexion… Et quoi qu'il en soit, les concernés par toute nouvelle implantation méritent un minimum de respect et d'information en amont ». La suite des débats, ce soir ! Serge Boulbès

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19 juin 2009 5 19 /06 /juin /2009 10:50

    Publié le 19/06/2009 04:42 | LaDepeche.fr




























Lors du dernier conseil municipal, le public venu en nombre n'a pas manqué de réagir au moment des questions diverses. Car une délibération sur la pose d'une deuxième antenne, un relais Orange sur le clocher de l'église les a fait bondir. Même si Patrick Lasseube, conseiller municipal de l'opposition, a réussi à faire reporter le vote à ce sujet-là «car le diocèse n'a pas encore donné son avis sur la question», l'inquiétude était palpable. Un lycéen a dit « je ne comprends pas...on est bien desservi ici à Saint-Lys en matière de télécommunications d'autant qu'à Fonsorbes, une nouvelle antenne vient d'être installée à côté du lycée de Fonsorbes. Je vous demande Monsieur le Maire de soumettre au vote des saint-lysiens la pose d'une 2ème antenne sur le clocher de l'église, je vous demande même de retirer à l'avenir cette délibération. Car c'est une question de santé publique». Des citoyens ont exprimé aussi ouvertement leur inquiétude aux élus : « vous refusez une antenne sur le château d'eau mais en fait elle sera sur l'église alors qu'il y en a déjà une! L'école de l'annexe du Petit Prince n'est pas loin! ». Jacques Tène donne son point de vue : « la somme que nous allons percevoir de l'opérateur nous servira pour la restauration des 5 piliers de l'église. Et puis le problème des ondes est à replacer sur un autre plan: celui de l'éducation des enfants par rapport au portable. Et de toute façon, si nous votons la pose de cette 2ème antenne sur le toit de l'église, nous founirons chaque trimestre à la population par voie d'affichage un rapport détaillé sur les ondes ». A suivre...


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19 juin 2009 5 19 /06 /juin /2009 05:48



Vendredi 19 Juin 2009

ANTENNES RELAIS. Les anti ne se satisfont pas de la table ronde organisée par la mairie

Les opposants aux antennes relais dédiées à la téléphonie mobile ne désarment pas. La table ronde organisée par la mairie il y a quelques jours n'a pas atténué leurs inquiétudes, ni entamé leur détermination. Des représentants des trois opérateurs de téléphonie mobile (Orange, SFR, Bouygues) étaient pourtant présents. « Ils n'ont rien lâché ou presque », regrette Jean-Pierre Descorps, porte-parole du collectif montois (1). « Concrètement, nous avons obtenu la mise sur pied d'une commission municipale chargée d'étudier en détail la question. Des mesures seront effectuées par les opérateurs sur tous les sites à proximité des établissements scolaires. Que peut-on attendre de ça ? Les opérateurs sont à la fois juge et partie. Nous avons fini par obtenir que des contre-mesures soient effectuées par un organisme indépendant. »

Voilà pour le fond. Sur la forme, le collectif n'est pas très satisfait non plus. « Le maire et l'adjoint compétent (Thierry Socodiabéhère) leur ont donné raison tout du long. »

Du neuf mardi ?

Les opposants attendent désormais avec impatience le Conseil municipal de mardi, celui où souhaitent s'inviter les forains qui eux a priori n'ont rien contre les antennes.

« À défaut de prise de décisions rapide dans le sens que nous souhaitons, tout le monde étant désormais mis face à ses responsabilités, nous saisirons la justice », menace Jean-Pierre Descorps. « Notre dossier est prêt. Nous n'entrerons pas dans des discussions qui prendraient des mois ou des années comme cela se passe dans certaines villes. »

Le collectif demande que toutes les antennes relais situées à proximité des cinq groupes scolaires montois (Saint-Médard, Le Carboué, l'Argenté, le Péglé et Saint-Jean d'Août) soient déménagées avant la rentrée prochaine et qu'un périmètre de sécurité de 300 mètres soit instauré autour des bâtiments scolaires, maisons de retraite, stades et autres lieux sensibles.

Il exige également un moratoire sur les installations de nouvelles antennes et l'arrêt immédiat du fonctionnement de l'antenne d'Orange de la gare de Mont-de-Marsan « installée sans explication - il n'y a pas de zone blanche - ni concertation avec la mairie ou avec les riverains, et en contradiction totale avec le guide des relations entre opérateurs et communes ».

Dernière revendication : l'abaissement du niveau d'irradiation des antennes-relais à un seuil maximal de 0,6 v/m.

« Face à la manipulation de fausses incertitudes scientifiques, aux atermoiements gouvernementaux et aux attitudes bornées des opérateurs, nous restons intransigeants sur les revendications formulées », conclut le collectif. On n'est pas sortis de l'auberge.

(1) Dans ce collectif membre de l'association nationale Robin des toits, on retrouve les associations Déménagez les antennes, 25 mètres de trop, Vague verte, ainsi que des parents d'élèves FCPE et autonomes.

Auteur : J.-F. R.
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 21:39



Publié le 28/05/2009 09:36 | B.dv.

Téléphonie. Le site des allées de Barcelone à Toulouse a doublé de puissance et a été camouflé dans de fausses cheminées en 2007 avec l'aval du Capitole.

Dix étages de façade jaune surmontés par des cheminées de ciment plantées à trois des quatre coins du toit terrasse. Plutôt banal, l'immeuble situé 72 allées de Barcelone, passe totalement inaperçu. Mais depuis le début 2007, quelques habitants du quartier savent que les trois cheminées ne sont pas des cheminées, mais des caissons destinés à camoufler des antennes relais de téléphonie mobile appartenant à Bouygues Telecom. L'opérateur affiche la couleur : le site a été créé en octobre 1998 avec trois antennes d'une puissance de 1800 mega hertz. En 2007, trois antennes UMTS d'une puissance comprise entre 10 et 40 watts ont été rajoutées. Le tout a été caché dans de fausses cheminées conformément aux exigences de l'architecte des bâtiments de France, explique en substance la responsable de communication spécialement chargée du dossier des antennes relais. Discret , Jean-Claude Vergne, le syndic de la copropriété qui a négocié le montant versé par Bouygues Télécom pour installer ses antennes sur le toit refuse catégoriquement de s'exprimer. Reste que le site privé a obtenu, sans difficulté en 1997, l'aval de Michèle Claux l'élue de l'équipe Moudenc, chargée de l'urbanisme en dépit de la présence de l'école Falguières au pied de l'immeuble. A l'aplomb des six antennes, 240 élèves apprennent en effet chaque jour à lire, à compter, et à écrire, à l'ombre des trois fausses cheminées.

Le 27 février 2007, l'installation et le camouflage des nouvelles antennes était inscrits à l'ordre du jour du conseil d'école. Mais lors du conseil suivant, les résultats de la rencontre entre l'actuelle présidente des parents d'élèves et les services de l'urbanisme de la ville étaient plutôt maigres. «On m'a fourni quelques documents et on m'a dit que la puissance des nouvelles antennes tournait autour de 8 watts» se souvient Claire d'Heeger. L'entretien s'est clôturé sur cette information: « Seul le maire peut s'opposer à l'installation d'une antenne relais.» Aujourd'hui , la responsable des parents d'élèves se propose de revenir vers le Capitole pour obtenir des informations complémentaires (lire encadré) et de nouvelles mesures du niveau des émissions au dessus de l'école.

Un seul refus suffit

«J'invite les parents d'élèves à venir me demander d'effectuer de nouvelles mesures sur le toit de l'immeuble. C'est la première chose que nous faisons lorsqu'il est question d'un site sensible comme une école.» Depuis sa prise de fonction en avril 2008, Elisabeth Belaubre, l'adjointe chargée du dossier des antennes relais reçoit régulièrement en mairie des patrents d'élèves inquiets. L'élue précise que la loi a évolué depuis un an et que désormais «il suffit qu'un seul des copropriétaires refuse de donner son accord pour que le contrat passé avec un opérateur pour l'installation d'antennes sur un immeuble ne soit pas renouvelé.»


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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 10:22


Publié le 13/05/2009 10:26 | Jean-Michel Lamotte    






























Construit en plein milieu de Fonsorbes, le château d'eau supporte une quinzaine d'antennes relais. Sans avoir parlé de lui. Pourtant, c'est l'antenne édifiée prés du lycée qui entraîne des réactions, alors que <<le grenelle des ondes>> bat son plein au ministère de la santé. Photo DDM  J-M L.

Polèmique . Les parents d'élèves critiquent un nouveau mât près du lycée, au stade.

En plein «Grenelle des ondes», les antennes-relais font encore parler d'elles. Cette fois-ci entre Fonsorbes et Saint-Lys. «Il n'est pas question de mettre une antenne relais sur le futur château d'eau du syndicat intercommunal des eaux du Touch qui doit être construit à Saint-Lys près du Moulin de la Jalousie » a dit récemment le président Jean Aycaguer en répondant l'autre jour aux opposants du projet, ceux du collectif animé par l'ancien maire, Patrick Lasseube.

Oui mais voilà, à quelques centaines de mètres de là, sur la commune de Fonsorbes, une antenne (Orange) vient d'être installée sur un des pylônes d'éclairage du nouveau stade, construit juste derrière le lycée.

Branle-bas de combat des chez les riverains et les parents d'élèves qui voient d'un mauvais œil cette nouvelle installation, dans une période où beaucoup de communes font démonter les antennes en appliquant le principe de précaution.

Géraldine, mère d'un futur lycéen, habitant Saint-Lys a alerté tous les parents par mail. « Une antenne vient d'être installée, là même où nos enfants vont passer une bonne partie de la journée. Si comme moi, vous êtes persuadés que ces ondes ne sont pas bonnes pour notre santé, faites passer l'info autour de vous ». Thierry Martin Vauzelle, président d e la FCPE de Fonsorbes a contacté immédiatement la mairie et le SIVOM, maître d'œuvre de l'éclairage du stade. « L'antenne a été montée rapidement ,à quelques jours du Grenelle sur les antennes relais. Le président du Sivom m'a assuré qu'il n'y avait pas de problèmes. Je suis sceptique. C'est vrai qu'il est aussi premier adjoint au maire et que la pose des antennes rapporte de l'argent aux collectivités concernées. J'aimerais qu'une réunion d'information soit organisée ».

Hélène Ibos, la proviseure du lycée reste pour sa part très prudente, en avançant son droit de réserve : « Je n'ai pas d'état d'âme. Il ne faut pas s'agiter sans savoir. Mais je comprends que les parents s'émeuvent. Les élèves comme le personnel peuvent être concernés. Mais vous savez, je n'ai pas à me plaindre des services de la mairie de Fonsorbes… ».

De son côté, Jacques Rouquet, l'élu concerné, ne comprend pas l'inquiétude des parents et riverains : «Le rayonnement des portables est bien plus puissant et nocif que celui des antennes. Et on a mis l'antenne loin du lycée. Et pratiquement dans le même temps, on a installé une autre antenne dans la zone de Moundran. personne n'a rien dit. Même silence au sujet du château d'eau du centre ville qui supporte une quinzaine d'antennes, près des appartements et des écoles ? ».


Des conflits un peu partout

Dans la région toulousaine, la justice n' a pas encore décidé le démontage ou l'interdiction d'installation d'antennes, comme cela a été le cas trois fois en France. Aucun maire n'a fermé une école, par principe de précaution, comme celui de Château-Thierry. Mais depuis un an, le débat fait rage. A Toulouse, la ville a décrété un moratoire sur les autorisations depuis un an et prépare une charte avec les opérateurs. La mobilisation des riverains de la cité de l'Hers, en septembre 2008, a incité SFR a suspendre l'érection d'une antenne. A Colomiers, en décembre, le même opérateur, malgré l'interdiction du maire et la fronde du quartier des Marots, a poursuivi son œuvre, jalonnée par plusieurs décisions de justice contradictoires. A Cugnaux, en mai 2008, le maire a refusé l'installation d'une antenne Orange, près d'une école. Enfin, à Léguevin, un collectif vient de se créer dans le quartier de Culas, contre deux antennes de Bouygues et SFR, au bord d'un terrain de sports.

 







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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 23:17

Montauban. Douze antennes relais suscitent toujours l'inquiétude

Alors que la justice a récemment condamné un opérateur, ces installations font de plus en plus peur aux riverains.

Lire l'article de la dépêche du 10/02/2009
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