Qui Sommes-Nous ?

  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 07:38

   PUBLIÉ LE 26/10/2011 03:46 | B.M.

Des mesures ont été réalisées près de la tour TDF./Photo DDM

Des mesures ont été réalisées près de la tour TDF./Photo DDM

Nos antennes relais présentent-elles un danger ? Lors d'une réunion publique, trois représentants des bureaux d'étude Aexpertise, Apave et Veritas ont présenté les résultats des mesures des champs magnétiques à Ramonville, effectuées les 30 et 31 mai derniers. Ces bureaux d'étude ont été respectivement mandatés par les trois opérateurs de téléphone mobile : Orange, SFR et Bouygues Telecom. La mesure de ces ondes (radios, téléphone, wifi, 3G…) permet d'évaluer le niveau d'exposition des riverains et de comparer ces niveaux avec le seuil limite d'exposition imposé par la loi (qui est de 28 voltmètres pour la plupart des fréquences). Les mesures ont été effectuées sur différents sites, près des antennes relais : la tour TDF, la place Marnac, près de la route de Narbonne, le quartier des services techniques, près du métro et à Port-Sud. Comparés aux résultats de 2009, les niveaux ont peu évolué. Sans surprise, les fréquences les plus importantes sont celles du téléphone portable (GSM 900) et de la radio FM. Le niveau d'exposition est de l'ordre de 2 % par rapport au seuil limite d'exposition. Un public de Ramonvillois avertis et avisés a assisté à cette réunion publique, dont le collectif Antenne 31. Le public a pu parler avec les différents représentants des bureaux d'étude et de TDF et s'informer sur le protocole de ces mesures. De nombreuses questions ont nourri le débat quant à la fixation du seuil limite imposé par la loi. Du côté d e la municipalité, on souhaite que ce type de campagne soit réalisé régulièrement pour suivre l'évolution de ces émissions et en informer les Ramonvillois et Ramonvilloises. Pour marquer son intérêt et sa vigilance, la ville mène actuellement une réflexion avec les opérateurs afin d'établir une charte de bonne conduite. Un arrêté pourrait également voir le jour en fixant un périmètre à respecter autour des zones sensibles.

Les résultats de ces analyses détaillées sont disponibles sur le site www.cartoradio.fr

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/26/1201450-ramonville-saint-agne-antennes-relais-quel-danger.html


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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 11:43

  Mardi 18 Oct - 13:18 - Saint Luc

Le collectif contre l'installation de l'antenne relais a exposé ses arguments samedi sur le marché./ photo DDM, G. D.

Le collectif contre l'installation de l'antenne relais a exposé ses arguments samedi sur le marché./ photo DDM, G. D.

Le projet d'installation d'une antenne relais pour la téléphonie mobile sur la zone Monge-Gazan trouble la quiétude des habitants de la zone concernée. Le projet a été dévoilé le 17 juin dernier par un panneau de déclaration de travaux en bordure de la piste cyclable. Aucune réunion d'information n'ayant été tenue, les habitants du quartier ont réagi, tourmentés par l'annonce. Ce samedi sur le marché, ils étaient nombreux à exposer leurs préoccupations. C'est en se basant sur des études scientifiques suggérant un danger pour la santé humaine qu'ils ont développé leur campagne d'information.

Une pétition circule

Une représentante du collectif explique : « Nous ne sommes pas opposés à la technologie mais nous pensons à notre santé et à celle de nos enfants et nous demandons que le seuil d'émission d'ondes électromagnétiques de 0,6 voltmètre soit respecté, selon la directive européenne, comme dans la plupart des pays européens ». Selon elle « l'antenne envisagée émettrait , sur un périmètre de 7oo mètres considéré comme sensible pour la santé, c'est bien au-delà de l'acceptable alors que la couverture de Mondonville est déjà assurée ». Elle ajoute : « les maisons vont perdre de la valeur, de plus, l'antenne ne sera pas esthétique et le paysage gâché ». Une pétition circule pour demander la suppression de l'autorisation de déclaration de travaux au nom du principe de précaution. Le domaine d'Ariane, situé à proximité, accueille des enfants et des adolescents pour des séjours éducatifs. Un recours gracieux a été déposé le 16 août dernier.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/11/1189037-mondonville-le-projet-d-antenne-relais-inquiete-les-riverains.html


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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 09:00

   PUBLIÉ LE 14/10/2011 07:57 | PROPOS RECUEILLIS PAR LAËTITIA BERTONI

Trois antennes SFR émettront depuis ce mat, surplombant Figeac./

Trois antennes SFR émettront depuis ce mat, surplombant Figeac./

Des Figeacois ont assisté à l'installation d'une antenne SFR à quelques mètres de leurs maisons. Ils s'organisent pour faire entendre leur colère.

Réveillés un matin par le bruit des travaux, ils ont vu se dresser à quelques mètres de leurs habitations une antenne de téléphonie mobile. Un mat de 12 m, implanté à Bel Air (près d'Emmaüs), qui va permettre à l'opérateur SFR de mieux couvrir le centre ville de Figeac. Ces Figeacois ont confié leur colère et leur inquiétude à La Dépêche du Midi.

Comment réagissez-vous ?

Nous sommes inquiets. Il n'y a pas de position unanime sur la nocivité de ces antennes sur la santé. Nous n'en voulons pas ici. En plus, alors que ces antennes font débat, qu'on en enlève ici et là par précaution pour les enfants, à Figeac, ce relais de téléphonie a été installé en catimini.

N'avez-vous pas été prévenus ?

Il y a 15 jours, nous avons été réveillés par le bruit d'engins. Ils barraient l'accès à notre maison, pour décharger les éléments de la structure et ils se trouvaient sur notre propriété, sans autorisation. Des voisins sont formels, l'affichage public a été mis en place quelques jours avant leur intervention, et non deux mois, comme les y oblige la loi. La mairie, qui avait les dossiers, aurait au moins pu avoir la délicatesse de nous prévenir. C'est un sujet sensible, sur lequel la précaution doit s'imposer.

Comment allez-vous vous défendre ?

Nous avons épluché le dossier de déclaration préalable de travaux, récupéré en mairie, ces jours-ci. Nous essayons de comprendre les termes techniques et de nous documenter en parallèle. Nous avons également sollicité un rendez-vous auprès du maire de Figeac (voir encadré). Une pétition circule qui a déjà recueilli 60 signatures en 4 jours. Nous allons prévenir les quartiers les plus proches et constituer un collectif. Nous voulons que des mesures soient réalisées avant l'entrée en service de l'antenne et après. Nous irons au tribunal s'il le faut. Nous ne voulons pas de cette antenne au-dessus de nos têtes.


"Pas de solution"

Pour André Mellinger, adjoint au maire chargé de l'urbanisme et du développement durable : « La préfecture a été alertée, mais a priori, l'entreprise SFR est dans son droit et nous n'avons pas de solution. Nous regardons si un recours juridique est possible. SFR a installé son antenne sur le domaine de Réseau ferré de France, à des fins de sécurisation des communications avec les trains et leurs personnels. Une première demande de l'opérateur de téléphonie mobile avait été faite sur un immeuble du centre ville historique, il y a 2 ans, elle avait été refusée par les Bâtiments de France ».


Mesurer l'exposition électromagnétique

Philippe Cometti, responsable Environnement chez SFR Sud-Ouest. « Nous avons choisi d'implanter une 2e antenne à Figeac (l'autre étant au Cingle-Haut), pour couvrir le centre ville, une zone mal desservie. La difficulté que nous rencontrons est de trouver des terrains publics ou privés pour les installer. À Figeac, le problème s'est posé. Contrairement aux idées reçues, ces antennes relais ont une faible puissance et donc une faible portée : 800 m en moyenne. À Toulouse, chaque opérateur de téléphonie en a 150 environs. Nous respectons les normes et les procédures. D'ailleurs, les Figeacois peuvent tout à fait nous solliciter directement ou en passant par la mairie, pour qu'un cabinet indépendant et spécialisé vienne mesurer les champs électromagnétiques, avant et après la mise en service de l'antenne. Nous prenons à notre charge tous les frais, comme le prévoit la convention passée avec l'Association des Maires de France. »

 

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/14/1192471-figeac-telephonie-fronde-contre-les-antennes.html

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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 09:47

   Samedi 01 Oct - 11:46 - Sainte Thérèse

L'antenne-relais édifiée derrière l'ancien bâtiment de la RAGT. /Photo DDM. P.B.

L'antenne-relais édifiée derrière l'ancien bâtiment de la RAGT. /Photo DDM. P.B.

Durant l'été, sur l'ancien site de la RAGT, racheté par la commune, a été édifiée une antenne-relais pour la téléphonie mobile. Une antenne-relais (ou station de base) de téléphonie mobile est un émetteur-récepteur de signaux électriques de communication mobile qui convertit des signaux électriques en ondes électromagnétiques (et réciproquement). Le résultat esthétique n'est pas des plus heureux et la discrétion laisse à désirer. Mais, le plus important ne se situe pas là. L'installation des antennes-relais est un sujet particulièrement discuté. Évoquant le principe de précaution, des associations s'opposent à l'implantation de certaines antennes-relais, notamment près des écoles.

De même, depuis quelques années déjà, de nombreux scientifiques, se basant sur des études réalisées, ont interpellé les pouvoirs publics sur les dangers éventuels que font courir à la population l'émission des ondes électromagnétiques. Il est vrai aussi que les institutions officielles internationales telles que l'OMS, ou en France l'Académie de Médecine, ne voient pas de raison pour prendre des précautions plus particulières par rapport à certains lieux, étant donné que le danger de celles-ci est, d'après ces mêmes instances, inexistant. Bernard Vergnaud, adjoint au maire, chargé du cadre de vie et de la voirie, en dit un peu plus : « Nous souhaitions la sortir du château d'eau afin que seul le Syndicat des Eaux de la Montagne Noire intervienne sur le site. Nous ne faisons que déplacer le problème si problème il y a, j'en conviens. Pour des raisons de couverture, Bouygues ne souhaitait pas l'édifier loin du centre ville. Si nous refusions son implantation sur un terrain communal, il y avait le danger qu'elle soit installée sur le terrain d'un particulier où nous ne maîtrisions rien. Bouygues paie un loyer de 3250€ annuel à la commune. L'antenne entrera en fonction à la fin de l'année. Des tests de mesure des ondes électromagnétiques seront effectués dès la mise en service ».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/10/01/1181047-saint-sulpice-l-antenne-relais-fait-polemique.html

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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 23:02

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20110905 TOU-5

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25 août 2011 4 25 /08 /août /2011 20:29

   PUBLIÉ LE 24/08/2011 08:32 | B. DV.

Les nouvelles antennes FM surplomberont la ville depuis la colline de Pech David./Photo DDM archives

Les nouvelles antennes FM surplomberont la ville depuis la colline de Pech David./Photo DDM archives


Fin juillet, les acteurs du dossier de radio et de télédiffusion de l'agglomération toulousaine ont validé le principe d'un transfert des émetteurs FM de Bonhoure vers la colline de Pech-David

Il aura finalement fallu attendre l'arrivée de la TNT pour venir à bout du trop célèbre pylône de Bonhoure. Car pour faire de la place à ce nouveau venu dans le paysage électromagnétique toulousain, opérateurs, mairie, préfecture, mais également associations de riverains et membres du GIP France télé numérique chargé de la mise en œuvre technique de la TNT ont été contraints de s'asseoir autour de la même table pour imaginer une nouvelle répartition des émetteurs de radio et de télédiffusion sur l'agglomération. Ce jeu de chaises musicales, dont les règles sont pour le moment toujours en discussion, pourrait aboutir à l'organisation suivante : conformément à l'annonce du CSA (conseil supérieur de l'audiovisuel), les émetteurs de télévision hertzienne disparaîtront du pylône de Bonhoure les 27 et 28 septembre prochains, et les émissions de la TNT s'effectueront depuis le pylône France Télécom de Lafilaire-Duroux. Restera ensuite à trouver un nouveau site pour accueillir les émetteurs FM de Bonhoure. Fin juillet, les différents acteurs du dossier se sont mis d'accord sur un projet qui consisterait à créer, deux nouveaux pylônes dans un secteur à la fois non habité de la colline de Pech-David, et éloigné des installations hospitalières, pour y transférer le bouquet d'antennes radio de Bonhoure. Pour éviter une concentration des émissions sur ce secteur, les services de l'État ont de leur côté admis la nécessité de rapatrier les émetteurs de faible intensité utilisés par les services d'urgence et de sécurité actuellement implantés à Pech-David vers le pylône de Lafilaire Duroux. Selon le Capitole, si le protocole d'accord entre les différents partenaires est comme prévu signé au cours de la première quinzaine de septembre, il faudrait prévoir quatre à cinq mois de travaux pour réaliser les pylônes de Pech-David. La fin définitive du pylône de Bonhoure pourrait, quant à elle intervenir au cours du printemps 2012. A terme, la mairie souhaite également en finir avec l'ensemble des émetteurs radio du secteur de Jolimont. Mais les discussions avec les différentes radios FM privées qui émettent depuis les rues de Moscou et d'Assalit n'ont toutefois pas encore commencé.


Cinq cents foyers devront réorienter leur antenne

Le 27 septembre, lorsque le pylône de Lafilaire prendra le relais de celui de Bonhoure, environ 500 foyers domiciliés dans les quartiers du Château de l'Hers, Saint-Michel et autour de la Halle au grain et de la cathédrale Saint-Étienne pourraient être contraints de faire réorienter leur antenne pour capter correctement la TNT.

Il leur en coûtera de 70 € à 90 € si l'antenniste se contente de simplement déplacer leur ancienne antenne en direction du nouveau pylône, et de 150 € à 350 € si celle-ci doit en plus être changée.

 

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/24/1152386-destination-pech-david-pour-les-antennes-de-bonhoure.html


   PUBLIÉ LE 25/08/2011 09:06 | PROPOS RECUEILLIS PAR B. DAVODEAU

Bonhoure : les Verts satisfaits

 

Élisabeth Belaubre, Régis Godec et les candidats EELV devant le pylône de Bonhoure lors de la campagne des Européennes 2009./ DDM

Élisabeth Belaubre, Régis Godec et les candidats EELV devant le pylône de Bonhoure lors de la campagne des Européennes 2009./ DDM


Dans un communiqué de presse Élisabeth Belaubre, adjointe Europe écologie les verts (EELV) à la mairie de Toulouse, fait part de sa « grande satisfaction » à la suite de l'annonce du transfert des émetteurs FM du pylône de Bonhoure vers la colline de Pech-David. Également adjoint au maire et président du groupe EELV au Capitole, Régis Godec répond à nos questions.

Pourquoi a-t-il fallu trois ans pour arriver à cette solution ?

C'est un dossier très lourd car le pylône de Bonhoure est au cœur du site le plus sensible de France en terme de pollution électromagnétique. C'est donc une question qui ne pouvait être réglée à la va-vite. D'autant plus qu'il a fallu attendre le jugement du tribunal administratif pour que la mairie puisse demander à TDF (Télédiffusion de France) de déménager. Mais même après avoir gagné ce procès, la mairie ne pouvait pas exiger que TDF parte au pied levé sans lui proposer de solution de repli pour que les usagers puissent continuer à capter la radio et la télévision dans des conditions optimales.

Quel est le principe de cette réorganisation du paysage électromagnétique ?

Il s'agit d'une redistribution des émissions sur plusieurs sites pour mettre un terme à la concentration des ondes sur un seul secteur de Toulouse. C'est un grand soulagement pour les riverains.

Ne craignez-vous pas une réaction négative des habitants de Pech-David ?

Il faudra que nous parlions avec eux et que nous leur expliquions avec des chiffres précis ce que le transfert des émetteurs FM dans cette zone de Pech-David isolée des habitations représente précisément en terme d'émissions. La question du pylône de Bonhoure dont nous avons hérité a été assez compliquée à résoudre. Il est hors de question de déplacer le problème à un autre endroit de la ville.

 

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/25/1152755-bonhoure-les-verts-satisfaits.html

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 07:50

    Le dimanche 21 août 2011 à 06h00 par Arnaud Andreu | Mis à jour à 11h19

 Seule la route menant à Saint-Jean sépare la crèche des antennes-relais implantées tout autour du château d\'eau.

Seule la route menant à Saint-Jean sépare la crèche des antennes-relais implantées tout autour du château d'eau.  © Photo A. A.

En mai dernier, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) décidait de classer les champs électromagnétiques comme "peut-être cancérogènes pour l'homme" (groupe 2B). C'est en apprenant la nouvelle que le maire du village, André Bordaneil, a choisi de reconsidérer sa position sur les antennes-relais. Deux des principaux opposants locaux à ces dernières, Jean-Pierre Ribas et Jacques Favre, saluent d'ailleurs ce revirement soudain. "Il est vrai que ces derniers temps, il a pris conscience de la situation et entamé des démarches vis-à-vis des opérateurs", reconnaissent-ils. Dans un récent courrier, l'édile a informé Jean-Pierre Ribas que le propriétaire du terrain accueillant l'antenne SFR qui surplombe son quartier, rue de la Côte-des-frères, avait décidé de ne pas renouveler le bail de location. L'antenne devrait donc avoir quitté les lieux dès l'an prochain. "Mais j'attends tout de même de la voir enlevée. Il faut rester prudent", estime le riverain, chez qui les médecins ont diagnostiqué en février 2009 un neurinome de l'acoustique. "C'est sûr que pour l'instant on ne peut rien prouver, poursuit Jean-Pierre Ribas. Mais les scientifiques de l'OMS considèrent qu'il n'est pas impossible que l'exposition aux rayonnements électromagnétiques puisse entraîner ce genre de tumeur".

Un bail qui court jusqu'en mars 2018 

Si le déplacement de l'antenne jouxtant la rue de la Côte-des-frères semble en bonne voie, il n'en va pas de même pour ses quatre homologues implantées en 2004 par Bouygues tout autour du château d'eau. Situées, selon le maire, "à moins de trente mètres" de la crèche communale, celles-ci engendreraient, si l'on en croit les mesures effectuées le mois dernier par la Coordination Antennes 66, un taux de radiation de l'ordre de 2 volts par mètres. Problème : le bail de location les concernant court jusqu'en mars 2018. Et, pour l'heure, l'entreprise refuse catégoriquement de les déplacer (voir encadrés).

 

Ici comme ailleurs, les riverains réclament que les opérateurs installent leurs antennes à plus de 500 mètres des habitations et respectent le seuil de radiation de 0,6 volt par mètre recommandé par le conseil de l'Europe aux états membres. "Nous avons aussi proposé de regrouper les antennes au mas de la Prade, non loin du col de Mirailles, renchérit Jacques Favre. Nous savons pertinemment que ce site est adéquat, puisque c'est là-bas que nous mettions nos relais pour faire de la Cibi !".

Une implantation qui permettrait par ailleurs, toujours selon Jacques Favre, de desservir enfin Las Illas et Riunoguès, où le réseau semble pour l'heure inexistant.

SOURCE : http://lindependantsdv.actunet.com/2011/08/21/quatre-antennes-relais-a-moins-de-30-metres-d-une-creche,53241.php

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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 14:36

   PUBLIÉ LE 13/07/2011 10:28 | CYRIL DOUMERGUE

Carine Alghisi, Caroline Cambon et Dora Pinel, représentantes de collectifs anti-antennes, restent vigilantes par rapport à l'annonce de la mairie./Photo DDM, C.Do.

Carine Alghisi, Caroline Cambon et Dora Pinel, représentantes de collectifs anti-antennes, restent vigilantes par rapport à l'annonce de la mairie./Photo DDM, C.Do.


Les antennes de téléphonie mobile placées sur le château d'eau du quartier sud de Blagnac doivent être retirées avant le 31 décembre 2011. L'ultimatum a été posé par la mairie auprès des opérateurs Bouygues et Orange, qui exploitent une dizaine d'antennes au total sur le site.

Les antennes auraient même dû être démontées le 30 juin dernier. Mais la mairie a accordé un délai supplémentaire de six mois aux opérateurs. Ces derniers ont demandé ce délai, car ils n'ont pas obtenu l'autorisation de s'implanter ailleurs.

Filtres sur les vitres

Les collectifs de riverains mobilisés depuis plusieurs années contre les antennes de téléphonie mobile à Blagnac saluent la qualité des échanges avec les responsables de la mairie. Mais elles se disent inquiètes quant au respect de ce nouveau délai. « Depuis deux ans, on nous dit de ne pas nous inquiéter, que les antennes vont être retirées. Or là, on repart au moins pour une année scolaire. Je ne crois pas au démontage des antennes au 31 décembre », souffle Caroline Cambon, maman d'élève de l'école de l'aérogare et membre du collectif de l'aérogare.

Pascal Boureau, adjoint au maire délégué à l'environnement et au cadre de vie, répond que « le délai sera respecté ». Il ajoute que la mairie a imposé aux opérateurs de changer l'orientation des antennes situées sur le château d'eau. « Ce changement d'orientation devra faire baisser le niveau du champ électromagnétique. Nous avons commandé à un organisme indépendant des mesures, qui sont prévues mi-septembre », ajoute Pascal Boureau.

Le niveau actuel des émissions électromagnétiques n'est pas jugé « dangereux » au regard des normes et lois en vigueur. Ce qui permet aux opérateurs de continuer à implanter des antennes. Mais les collectifs blagnacais s'appuient sur un rapport du Criirem (Centre de recherche et d'informations indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques). Il expliquait en avril 2010 qu'à Blagnac, « la valeur limite de 1V/m qui garantit l'innocuité sanitaire, pour les effets à long terme et pour les effets promoteurs de cancers est souvent dépassée ».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/13/1127093-telephonie-la-mairie-pose-un-ultimatum.html

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11 juillet 2011 1 11 /07 /juillet /2011 08:35

   La voix du midi du 7 juillet 2011

 

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11 juillet 2011 1 11 /07 /juillet /2011 06:32

   PUBLIÉ LE 08/07/2011 10:32 | B. DV.

Les opposants au projet d'antenne sont mobilisés depuis septembre 2010./Photo DDM archives

Les opposants au projet d'antenne sont mobilisés depuis septembre 2010./Photo DDM archives

Ce n'est pas encore une victoire, mais c'est un début encourageant, pour l'association Bien vivre à Brax qui se bat depuis septembre 2010 contre l'implantation d'une troisième antenne relais de téléphonie mobile sur le territoire de la commune. Le 18 mai dernier, Bouygues Télécom a informé par courrier le propriétaire du terrain où devait être implanté le pylône de sa décision de résilier à l'amiable le bail de location signé quelque temps auparavant. « Car le bailleur n'a plus souhaité nous louer son terrain », précisait hier l'opérateur via son service de presse. Mais Bouygues Télécom n'en a pas pour autant officiellement renoncé à ses ambitions braxoises. Car s'il reconnaît avoir calé sur ce premier projet, l'opérateur refuse d'abandonner la place : « avec le concours de la mairie, nous sommes à la recherche d'un autre terrain », affirme-t-on au siège parisien de l'entreprise. A la mairie de Brax, cette collaboration revendiquée avec les élus fait doucement sourire : « C'est un peu facile de la part de Bouygues de laisser entendre que l'ensemble du conseil municipal serait d'accord. Car c'est loin d'être le cas », se défend Cathy Taborski, l'élue en charge de la communication municipale. Pour couper court à tout nouveau risque de contestation après la procédure intentée par dix-sept membres de l'association Bien vivre à Brax contre Bouygues Télécom. « Une commission extra-municipale composée d'élus et d'habitants a été créée à l'initiative de la mairie. Et désormais tout nouveau projet d'implantation d'antenne sera soumis à cette commission », poursuit l'élue.

Public ou privé ?

Exit donc les tractations directes entre opérateurs et mairie dénoncée en leur temps dans les plaquettes de Bien vivre à Brax. Reste que ce retrait de Bouygues Télécom ne clôt pas encore l'action en justice intentée contre l'opérateur par les membres de Bien Vivre à Brax. Renvoyés en première instance devant le tribunal administratif l'association et son avocate Me Judith Amalric Zemati contestent désormais devant la cour d'appel de Toulouse la mission de service public dont se prévaut l'opérateur pour justifier son droit à s'installer où bon lui semblerait sur le territoire national au nom « de l'obligation de licence qui nous oblige à couvrir 99 % de la population et à assurer la transmission des appels d'urgence ». Outre cet argument de droit repris par l'ensemble des opérateurs lorsqu'ils sont en conflit avec des habitants, la cour d'appel devra statuer sur la dangerosité de cette antenne qui devait culminer à 25 mètres au-dessus des têtes de 17 enfants en bas âge confiés à cinq assistantes maternelles, des patients de la clinique Néphrologique Saint-Exupéry, et d'une jeune femme de 26 ans attente d'une leucémie.

Source :  http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/08/1124230-brax-le-projet-d-antenne-s-eloigne.html

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