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  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 12:54

leparisien-copie-1.jpg   AYMERIC RENOU | 09.09.2010, 07h00

Un établissement parisien va tester dès l’an prochain un système de surveillance électronique des enfants grâce à une puce intégrée à leurs vêtements. Shocking ?

Comment surveiller plusieurs dizaines de bambins dans une crèche sans faire appel à une multitude d’auxiliaires de puériculture? Grâce aux puces intelligentes! Pour la première fois en et en Europe, une crèche parisienne expérimentera, dans le courant du premier semestre 2011, le contrôle électronique sans fil de ses petits pensionnaires. 

Chaque enfant accueilli dans l’établissement, vraisemblablement une structure d’accueil associative, privée ou d’entreprise, mais pas municipale, sera équipé d’une puce radio sans fil reliée à un centre de contrôle vidéo.

Réactions indignées

« L’expérimentation, menée pour le compte d’une grande société d’assurances, vise à valider l’efficacité du système du point de vue de la sécurité des enfants, explique Patrick Givanovitch, PDG de l’entreprise Lyberta, conceptrice du projet. Nous installerons des sondes un peu partout dans la crèche pour établir une cartographie complète du lieu. Grâce à la puce portée par chaque enfant (NDLR : insérée dans un vêtement spécialement fourni), il sera possible de savoir instantanément si l’un d’entre eux quitte la crèche. La direction de la crèche sera immédiatement alertée, tout comme les parents, par SMS sur leurs téléphones portables. » Aussi novatrice soit-elle, l’arrivée d’un tel système se heurte déjà à de fortes oppositions.
Pour Dominique Ratia-Armengol, présidente de l’Association nationale des psychologues de la petite enfance, l’idée est « tout simplement effrayante ». « Enfermer les enfants dans une cage virtuelle, c’est créer des conditions de méfiance et d’angoisse inutile face à un danger qui n’existe pas. C’est également déresponsabilisant en coupant les liens avec les adultes à l’écoute et formés pour éduquer et établir une relation de confiance avec eux. »
Même réaction indignée de Maria Da Costa Pereira, auxiliaire de puériculture à et responsable syndicale : « C’est la porte ouverte à des économies énormes de personnel au détriment d’une relation humaine essentielle avec des adultes professionnels. D’autant qu’il n’y a pas besoin de sécuriser électroniquement des crèches qui sont déjà des lieux fermés et absolument sans risque de fugue… »

Source : http://www.leparisien.fr/societe/une-creche-va-equiper-les-bebes-de-puces-electroniques-09-09-2010-1060393.php

 

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 23:02

leparisien-copie-1.jpg   Grégory Plesse | 30.08.2010, 07h00

Inquiétude à Garges alors que les nouvelles salles de classe de la maternelle Paul-Langevin ont été construites au pied d’une antenne-relais.

a trois jours de la rentrée, les militants verts du Val de France s’inquiètent pour les enfants qui s’apprêtent à reprendre le chemin de l’école maternelle Paul-Langevin. Depuis la fin des travaux d’extension de l’établissement situé près du Vieux-Pays de Garges-lès-Gonesse, qui dispose désormais de nouvelles salles de classe, l’école touche une antenne-relais d’une dizaine de mètres de haut.

Le dispensaire de la protection médicale infantile (PMI) se trouve également à proximité immédiate de cette antenne.

« Nous manifestons notre inquiétude et notre préoccupation quant aux effets sanitaires de cette antenne, vraisemblablement très puissante, sur un lieu fréquenté par des enfants », indique Yassine Ayari, représentant des Verts à Garges. « Le maire doit organiser au plus vite une réunion d’information et de travail réunissant parents d’élèves, associations et élus afin de faire la lumière sur les caractéristiques techniques de cette antenne et éventuellement en étudier le déplacement. »

Le contrat de cette antenne installée par Orange avant 1998, est en cours de renouvellement. « Nous sommes en pleine réflexion, indique le maire UMP Maurice Lefèvre. Nous allons renégocier le contrat avec Orange pour qu’il nous apporte toutes les garanties nécessaires, notamment en matière de risques sanitaires maintenant que l’école a été agrandie et voir s’il est nécessaire de déplacer l’antenne », ajoute-t-il.

Oui, mais où? Deux autres antennes utilisées par les trois principaux opérateurs sont installées sur le toit d’un hôtel qui jouxte aussi cette même école. « La difficulté dans une ville aussi dense que Garges, c’est de trouver une place qui ne nuise à personne, reconnaît Maurice Lefèvre. Et en même temps, ce sont ces antennes qui nous permettent de communiquer », conclut-il. En parallèle, la mairie a effectué une demande de subventions auprès du conseil général pour mettre en place un Agenda 21 sur la ville. « Lorsque ce sera fait, nous créerons une commission de travail avec les associations pour réfléchir au problème sur l’ensemble de la commune », promet le maire.

En février, les locataires d’un quartier de Beaumont-sur-Oise ont réussi à obtenir le démontage d’une dizaine d’antennes-relais fixées sur le toit de leur plus grande barre d’immeubles. Cela ne surprend pas Yassine Ayari : « Quand les tribunaux sont saisis sur ce genre d’affaire, ils appliquent systématiquement le principe de précaution. »

Source : http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/l-ombre-de-l-antenne-relais-plane-sur-l-ecole-30-08-2010-1047549.php

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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 20:54

LEPOINT-copie-1.jpg   Publié le 03/08/2010 à 14:15  Par Pauline de Saint Remy

Deux variétés d'OGM discrètement autorisées à entrer sur le marché

La commercialisation du MON 810, un OGM de maïs produit par la multinationale Monsanto, est désormais officiellement autorisée en France © SIPA

Le ministère français de l'Agriculture a discrètement inscrit, courant juillet, les maïs OGM, MON 810 et T25, au catalogue officiel des semences autorisées à la commercialisation en France par un décret du Journal officiel daté du 20 juillet. Un assouplissement de la loi qui aura des conséquences différentes pour chacun de ces deux maïs.

Les 36 variétés de MON 810 autorisées à la vente sont sous le coup d'un moratoire, du fait de la clause de sauvegarde européenne en vigueur depuis début 2008. Leur culture est donc toujours interdite en France. C'est donc la seule commercialisation du fameux MON 810 qui est désormais autorisée, ce qui relève de la "pure hypocrisie", dénonce Arnaud Apoteker, expert OGM Greenpeace, au micro de France Info. "Cette autorisation est, de toute façon, mauvais signe", explique-t-il. "Pourquoi exporter des produits que l'on considère comme nocifs ? On se demande forcément si le gouvernement n'a pas l'intention de lever la clause de sauvegarde..." À ses yeux, "c'est une démonstration de force du lobby agro-industriel : les entreprises françaises vont ainsi pouvoir vendre ailleurs une semence dont on considère, avec la clause de sauvegarde, qu'elle est trop dangereuse pour être cultivée en France".

"Ne pas sous-estimer le poids des lobbies" (Greenpeace)

En ce qui concerne le T25, le ministère de l'Agriculture a expliqué que, là encore, cette autorisation ne concernait que "la commercialisation et non la mise en culture". "Ce n'est qu'une autorisation de commercialisation pour dix ans, pas de culture. En aucun cas cette variété ne pourra être cultivée en France", a insisté un porte-parole. Sauf que, selon la Confédération paysanne, la culture du T25 n'est pas interdite en France. "En fait, elle n'est ni interdite ni autorisée, car la demande n'a pas été faite", explique Michel David, son secrétaire national. L'explication est simple : les agriculteurs n'ont aujourd'hui pas besoin du T25, car son intérêt est qu'il résiste à un certain herbicide, un herbicide "total" appelé glufosinate d'ammonium, "très toxique" selon Greenpeace. Or cet herbicide n'est, lui, pas utilisé en France, pour l'instant. Il fait même partie des 22 substances que l'Europe a décidé d'interdire à partir de 2017, selon Arnaud Apoteker. Mais, à ses yeux, cette interdiction annoncée n'est plus très crédible : "Il ne faut pas sous-estimer le poids des lobbies. Il est très possible que l'interdiction progressive de l'Europe soit au moins retardée, si ce n'est annulée. D'ailleurs, le gouvernement n'avait pas besoin d'inscrire le T25 au catalogue officiel pour en autoriser la commercialisation. Cela montre bien que l'objectif est d'autoriser la mise en culture. On pourrait en voir apparaître dès 2011", affirme-t-il.

Selon le ministère, qui dément toute volonté d'agir au creux de l'été, c'est "le Conseil d'État, saisi en 2004 par les entreprises commercialisantes, qui a imposé en octobre 2009 cette réinscription du maïs T25, arguant que le ministère n'avait pas motivé son refus" précédemment.

Source : http://www.lepoint.fr/societe/deux-varietes-d-ogm-discretement-autorisees-a-entrer-sur-le-marche-03-08-2010-1221605_23.php

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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 21:37

AgoraVox le média citoyen 

Avis à la population : l’option "Internet plus" d’Orange est activée par défaut !

Voir la suite sur sur AGORAVOX : http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/service-internet-plus-d-orange-79685

 



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12 août 2010 4 12 /08 /août /2010 07:41

Paru dans Slate.fr | Publié dans Social - 9 août 2010

Le débat sur la sécurité du BlackBerry, (lancé récemment dans certains pays qui ne supportent pas qu’il leur soit impossible de briser les codes de transmission des messages) et plusieurs articles dans la presse spécialisée américaine (Clive Thomson,  The death of the phone call, Wired) posent la question de l’avenir du téléphone mobile.

On a longtemps cru, et écrit, que son développement, faisant suite à celui du cinéma et de la télévision, allait entraîner la fin du courrier, du livre et de l’écrit en général. L’apparition d’internet et du SMS a tempéré cette prédiction. Et voici maintenant qu’apparaît une prédiction radicalement inverse: et si c’était la conversation téléphonique qui était appelée à disparaître?

Ceux qui défendent cette thèse en veulent pour preuve que, aux Etats-Unis, selon l’institut Nielsen, le nombre d’appels téléphoniques  décroît tous les ans depuis 2007, qui aura été l’année d’un record. De plus, ces appels sont de plus en plus brefs: s’ils étaient en moyenne de 3 minutes en 2005, ils ont maintenant perdu près de la moitié de leur durée. A cela s’ajoute que, partout dans le monde, les opérateurs gagnent beaucoup plus d’argent par le transfert de données que par la voix, qui n’est plus qu’une dimension annexe de l’ARPU. Enfin, il est exact que de nombreux jeunes n’utilisent  presque plus leur Smartphone comme téléphone, mais essentiellement comme un moyen d’échanger des messages  par SMS, email, BBM, ou sur Facebook ou Twitter.

Pourquoi? D’abord parce que la voix transmet un message beaucoup plus subjectif et moins fiable que l’écrit. Ensuite –et surtout–  parce que, dans un monde où chacun est de plus en plus en relation avec un très grand nombre de gens, on est de plus en plus soucieux de protéger son intimité. Aussi, chacun accepte-t-il  de moins en moins l’agression que représente un appel téléphonique. La vieille question apparue à la fin du 19e siècle, au moment même de l’émergence du téléphone («pourquoi répondre quand on vous sonne?») revient d’actualité. Beaucoup de gens désormais ne répondent pas quand on les sonne. Aussi, on ne décroche pas quand des inconnus appellent; et même, avec des amis,  prend-on de plus en plus rendez-vous  par SMS pour se parler par téléphone; et on écoute même de moins en moins les messages téléphoniques laissés sur les boîtes vocales.

Tout cela renvoie à quelque chose de profond, parfaitement prévisible: notre idéologie de la liberté individuelle conduit chacun à ne s’intéresser de plus en plus qu’à lui-même, à ne vouloir en faire qu’à sa tête,  et même, plus encore, à l’autisme, au narcissisme, au plaisir de soi. Et donc à refuser toute intrusion d’autrui non sollicitée dans la bulle de son égo. On aime donc recevoir des SMS, des mails ou des BBM, parce qu’on les lit quand et si on veut. Mais on n’aime pas prendre un appel téléphonique qui vous force à obéir à l’injonction d’autrui, de parler, ici et maintenant. Une fois de plus, la musique annonçait cette mutation, par le développement de l’écoute solitaire.

De fait, un objet nouveau sert d’abord à ce à quoi servait l’objet précédent. Et il est normal que le mobile ait été d’abord un téléphone. Désormais, il va trouver son véritable usage. Les mobiles seront donc de plus en plus des instruments pour se mettre à disposition de l’autre, qui décidera s’il veut de nous.  Et si la voix n’y est plus importante, on peut en changer radicalement la forme, pour faciliter l’échange d’écrits d’abord. Mais aussi, au-delà de l’écrit, par l’échange d’images, fixes ou mobiles, de photos ou de vidéos.

Un peu plus tard, l’extension des capacités de conversation en vidéo changera beaucoup de choses. Chacun pourra se proposer  à la vue de l’autre, qui pourra décider à sa guise s’il veut le voir et s’il veut lui renvoyer son image.

On pourra en particulier  communiquer avec le corps, sans l’usage de la voix; par exemple par des signes: la vidéo conduisant à une possible universalisation du langage des sourds muets.

Chacun sera donc en situation de voir les autres, sans être vu, s’il ne le souhaite pas; en tout cas, s’il peut le refuser, car il y a des cas où on ne peut refuser d’être vu d’un autre: on peut imaginer des mères imposant à leurs enfants d’être sans cesse visibles; des amoureux l’exigeant de leurs partenaires; des patrons l’exigeant de leurs cadres; des juges y obligeant des condamnés.

Là sera d’ailleurs la vraie mesure de la liberté: est libre celui qui n’est pas obligé de répondre au téléphone, et qui n’est pas tenu d’être vu par les autres.

Source : http://www.attali.com/ecrits/articles/social/la-fin-du-telephone-mobile

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23 juillet 2010 5 23 /07 /juillet /2010 13:41

L-union.png  Publié le vendredi 08 janvier 2010 à 01H00

 

Mystérieuse explosion d'un relais SFR


Les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place, toutefois ils n'ont pas eu grand-chose à faire du fait que cette explosion n'a entraîné aucun début d'incendie.

Les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place, toutefois ils n'ont pas eu grand-chose à faire du fait que cette explosion n'a entraîné aucun début d'incendie.

Angel Garcia - l'Union de Reims

 

LES deux techniciens de la société SPIE, spécialisée dans les montages de câblage, ne pensaient sans doute pas qu'ils exerçaient un métier à risque. Depuis hier, ils ont de quoi se poser des questions.

Michel Thouvenin se trouvait à l'intérieur du local technique, situé au pied du relais SFR de la rue Jules-Fuzelier, et son collègue, Julien Rambaux, en haut du pylône : « J'étais en train de changer un FH (NDLR : une sorte de parabole destinée à la réception des ondes), lorsque j'ai entendu comme un coup de canon, qui a secoué tout le pylône » explique ce dernier.

L'explosion venait de se produire dans une armoire, appelée dans le jargon technique « armoire B radio », située au pied du relais. Pour une raison que les techniciens sur place avaient bien du mal à s'expliquer, l'armoire a soudainement explosé, projetant des débris métalliques à plus de 20 mètres. Le capot avant d'un véhicule Renault Scenic, stationné sur le parking du centre de contrôle technique, a été littéralement traversé par un morceau de l'armoire électrique. On n'ose imaginer ce qui se serait passé si un piéton s'était trouvé au même endroit à ce moment précis.

La base du pylône a également été déformée par la déflagration et la grille de protection du site a été carrément éventrée.

Surchauffe des batteries ?

« Depuis que je fais ce métier, je n'ai jamais vu ça » confiait Sylvain Vieval, technicien chez Télécom, prestataire chargé de la maintenance de l'installation. « Pour l'instant, il est difficile de dire ce qui s'est passé. On pourrait a priori penser à une surchauffe des batteries. Il est possible que l'évacuation des vapeurs d'acide ne se soit pas faite correctement. Peut-être qu'une étincelle a suffi pour provoquer l'explosion ».

Les sapeurs-pompiers se sont rendus sur place, toutefois ils n'ont pas eu grand-chose à faire du fait que cette explosion n'a entraîné aucun début d'incendie.

Bizarrement, l'armoire réduite en miettes n'était même pas noircie : « Ça a pété et aussitôt il y a eu un dégagement de fumée blanche assez irritante, mais cela n'a pas duré très longtemps » raconte Luc Nicolas, responsable du Centre de contrôle technique.

Les abonnés SFR n'ont cependant pas pâti de cet « incident », car deux autres armoires abritant les systèmes GSM et 3G permettent d'assurer les communications sur le secteur. Une intervention avait eu lieu le matin même sur ce relais, en l'occurrence le changement d'un redresseur, mais il n'est pas du tout établi que cette réparation ait un lien de cause à effet. Affaire à suivre, et surtout à élucider…
O.R.

Source : http://www.lunion.presse.fr/article/a-la-une/mysterieuse-explosion-dun-relais-sfr

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20 juillet 2010 2 20 /07 /juillet /2010 07:39

Le Progrès de Lyon   publié le 20.07.2010 04h00

Le maire d'Écully (69) a alerté l'Association des maires de France (AMF), du bras de fer qu'il a engagé avec SFR après la décision rendue en faveur de l'opérateur de téléphonie mobile par le tribunal administratif. Fin mars, Yves-Marie Uhlrich prend un arrêté d'opposition à la déclaration de travaux que vient de déposer l'opérateur SFR pour l'implantation d'une nouvelle antenne relais sur un immeuble de bureaux. Le maire dénonce « le non-respect des engagements qui fondent le guide des relations entre opérateurs et communes signé par tous les opérateurs en 2007 ». Il pointe l'absence d'une information et celle du schéma de déploiement prévisionnel, normalement faite au maire dans les trois mois qui précèdent la demande. L'appel aux siens par le maire d'Écully est une première en France selon le représentant Rhône-Alpes, Jean Rinaldi, de l'association Les Robins des Toits.

Source : http://www.leprogres.fr/fr/region/l-ain/ain/article/3514833/Antenne-relais-un-maire-du-Rhone-engage-un-bras-de-fer-avec-SFR.html

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18 juillet 2010 7 18 /07 /juillet /2010 22:12

lefigaro.fr.gif   Par Marielle Court  le 16/07/2010 | Mise à jour : 12:12

 

Les professionnels s'engagent à organiser une filière de recyclage de ces vieux bois toxiques. 

Les vieilles traverses de chemin de fer tout comme les poteaux de France Télécom et d'ERDF (Électricité réseau distribution France) ne devraient plus finir leur vie en bordure de potager, comme barrière de jardin, en décoration autour des piscines ou encore en plancher de cuisine… Jeudi, les professionnels ont signé une charte avec Chantal Jouanno, la secrétaire d'État à l'Écologie, dans laquelle ils s'engagent à proscrire la réutilisation de ces vieux bois toxiques par les particuliers, à organiser leur traçabilité et enfin, à mettre en place une filière de collecte et d'élimination.

Il était temps. Toutes ces poutres pseudo-écolos sont traitées à la créosote et parfois avec des sels de cuivre-chrome-arsenic. Des produits (créosote et arsenic) classés cancérigènes, respectivement de classe 2 et 1, et qui perdurent indéfiniment dans le bois. «Pour traiter une traverse en chêne ou en hêtre, il faut entre douze et quinze litres de créosote. Cinquante ans plus tard, le bois est toujours imbibé avec six ou sept litres », rappelle Jacky Bonnemains, le responsable de l'association Robin des bois, à l'origine de l'alerte et signataire de la charte.

Chaque année, ce sont près de 80.000 tonnes de bois traités usagés qui sont retirés des réseaux d'infrastructures de ces opérateurs. France Télécom a pris les devants dès 2000 en développant une filière industrielle, notamment avec une cimenterie, ce qui suppose en amont une unité de broyage et en aval des installations pour récupérer les fumées toxiques. Pour RFF (Réseau ferré de France) l'enjeu reste entier. À lui seul, ce sont plus de 800 000 traverses qu'il va devoir recycler chaque année. «On évalue à six euros le coût de recyclage d'une traverse», explique Hubert du Mesnil, le président de RFF. Une question d'autant plus importante que la créosote est toujours utilisée faute de disposer d'un produit de substitution aussi efficace. «Pour cela il faudra encore attendre au moins dix ans», reconnaît-on dans l'entreprise.

Quant aux particuliers qui ont par le passé choisi d'investir dans ce genre de décoration, il est recommandé d'éviter les contacts cutanés répétés et surtout de brûler ce bois en raison de la grande toxicité des fumées.

Source : http://www.lefigaro.fr/environnement/2010/07/15/01029-20100715ARTFIG00597-decoration-gare-aux-traverses-de-chemin-de-fer.php

 

En savoir plus :  http://www.lelotenaction.org/rubrique,lot-pollution-a-la-creosote,491342.html

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 07:49

lavoixdunord.gif   eudi 08.07.2010, 05:12 - La Voix du Nord

LES VISAGES DE L'ACTUALITÉ |

« Ils sont arrivés en catimini. Heureusement, une voisine a vu le camion sur place en ouvrant ses persiennes ! » Hier, la mobilisation d'une vingtaine de riverains de la rue de l'Yser leur a permis d'empêcher l'installation d'une antenne relais par l'opérateur Orange. Récit d'une matinée de tension, avec épilogue heureux pour les protestataires... « Mais il faut continuer le combat ! »

PAR BRUNO DERAM

tourcoing@lavoixdunord.fr PHOTOS « LA VOIX »

Yves Clément est le président de l'association « Risquons Tout pour l'environnement », mobilisée contre l'installation de cette antenne, rue de l'Yser, près de la Belgique, face à la petite rue du Gallodrome. Ce mercredi matin, avec deux bonnes dizaines de riverains aussi sympathiques que résolus, il est bien déterminé à faire obstacle à cette implantation... « C'est la santé de nos enfants et la nôtre que nous défendons par rapport aux ondes électromagnétiques, s'indigne-t-il. Regardez, vous avez un groupe scolaire (Camille-Claudel à Neuville) à moins de 100 m. Et l'hôpital pas loin, de même qu'une structure de l'EPSM. Sans oublier les habitants... » C'est sur un terrain privé accueillant des garages que l'entreprise missionnée par Orange s'apprête à installer le mât de 14 m de haut. Yves Clément revient sur le combat de son association. « Il y a presque deux ans, déjà, ils avaient prévu d'installer cette antenne sans en informer les riverains. Et voilà qu'ils recommencent. Ils agissent sans même avoir d'autorisation de voirie pour installer le camion-grue sur le trottoir, le temps de la manoeuvre ». À l'origine, la mobilisation des habitants avait trouvé plus qu'un écho favorable auprès de la municipalité tourquennoise. Un conseil était programmé le soir-même de leur action, le 19 novembre 2008. Comme un seul homme, les élus y adoptaient un moratoire, décidant de surseoir à toute installation d'antenne de radiotéléphonie mobile pour une durée d'un an. Mais le tribunal administratif avait ensuite annulé ce moratoire, en novembre 2009. Dès lors, l'opérateur, avec l'autorisation de travaux obtenue en 2008, pouvait décider à nouveau d'installer l'antenne. Toujours sans concertation avec les riverains... « Alors, surpris ? Nous aussi ! », a lancé Bernard Despierre adjoint au maire, lors de son arrivée (à vélo, ça va de soi !) sur les lieux du litige, hier matin. L'élu Vert a aussitôt contacté le responsable régional développement d'Orange. « J'ai argué du fait que nous avons vécu la même situation, il y a presque deux ans, avec l'absence de concertation et d'information des riverains sur l'installation du mât.

 » Bernard Despierre reconnaît n'avoir guère de latitude, le tribunal administratif ayant rejeté le moratoire de la Ville. « Nous avons, regrette-t-il, assez peu de moyens d'empêcher l'implantation. Mais on se dirige, d'ici la fin de la matinée, sur une suspension.

 » Quels ont été les termes de la négociation téléphonique avec Orange ? On ne le saura pas, mais en fin de matinée, l'adjoint, resté toujours très calme, a pu annoncer que l'opérateur avait décidé de surseoir à l'installation. Fin août, les deux parties reprendront contact pour une « mise à plat de ce dossier », avec les riverains et l'association « Risquons Tout pour l'environnement ». D'ici là, son président va préparer une action judiciaire au civil, avec l'association Robin des Toits... •

Source :  http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Tourcoing/actualite/Secteur_Tourcoing/2010/07/08/article_pose-d-une-antenne-relais-rue-de-l-yser.shtml

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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 13:07

Le Figaro.fr   Par Marie-Cécile Renault le 07/01/2010 | Mise à jour : 17:53 

Bolloré Télécom rachète à Altitude deux licences WiMax, l'une en Alsace, l'autre en Bourgogne.

INFO FIGARO - Alors que le trafic data explose sur les mobiles, Bolloré Télécom, chantre du WiMax, croit plus que jamais à l'avenir de l'Internet haut débit sans fil. Selon nos informations, l'entreprise, filiale du groupe Bolloré, vient de racheter à l'opérateur Altitude les licences WiMax des régions Alsace et Bourgogne. Grâce à cet investissement, Bolloré Télécom, présidée par Dominique Roux et dirigée par Marc Taïeb, détient désormais des licences WiMax sur l'ensemble du territoire national.

En 2006, l'entreprise avait déjà remporté 12 licences régionales pour 78 millions d'euros au terme d'un vaste appel d'offres. Puis, en juin 2008, elle avait racheté à TDF ses licences WiMax sur 8 régions. Avec les deux licences qu'il vient de racheter à Altitude, Bolloré Télécom réalise le grand chelem : il est désormais le seul opérateur, avec Free, à avoir une couverture nationale.

En 2006, le régulateur des télécoms (Arcep) avait attribué deux licences WiMax par région. A côté de Bolloré Télécom, SFR détient également des licences WiMax dans deux grandes régions : l'Île de France et Paca, Altitude en a toujours une dizaine, et plusieurs conseils régionaux ont la leur comme en Bourgogne, Corse, Bretagne ou Poitou Charente.

Le déploiement du Wimax a pris du retard, comme c'est souvent le cas avec les nouvelles technologies dans les télécoms. Mais de nombreux opérateurs restent convaincus de son utilité. Tout d'abord pour couvrir des zones où on ne peut pas mettre de la fibre optique. Le WiMax permet d'apporter le signal haut débit sans fil à des institutions (gares, aéroports, ports de plaisance, universités…). Il permet déjà le nomadisme et peut être plus tard la mobilité. Cette technologie servira aussi certainement comme complément des bandes de fréquences mobiles classiques (3G, 4G…) qui, compte tenu de l'explosion du trafic data, arrivent presque a saturation dans certains villes. Enfin, cette technologie de l'Internet sans fil est extrêmement utile dans les pays émergents : alors que ces derniers ne possèdent pas ou peu de réseau filaire, le WiMax s'affirme être le meilleur moyen pour y apporter Internet.

Par Marie-Cécile Renault

Source : http://www.lefigaro.fr/medias/2010/01/08/04002-20100108ARTFIG00001-wimax-bollore-telecom-remporte-le-grand-chelem-.php

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