Qui Sommes-Nous ?

  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
  • Contact

PREMIERE VISITE ?

Recherche

SIGNER LA PETITION

Pour signer la pétition cliquer ici :

Archives

29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 08:47
Logo VOnews toute l'actualité du Val d'oise   Publié le 28/01/2010 à 23:00

A Beaumont-sur-Oise (Val-d'Oise), des habitants ont obtenu le démontage d'une dizaine d'antennes de téléphonies mobiles qui fleurissaient sur le toit d'un immeuble de leur quartier. Certains locataires se plaignaient de maux de têtes, de nausées ou encore de douleurs provoqués, selon eux, par les ondes émises par ces antennes-relais. Une victoire pour ces riverains et un casse-tête pour la municipalité qui reste sollicitée par les opérateurs de téléphonies mobiles. Regarder le reportage.


Repost0
25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 22:21
logo_ouestfrancefr.png  
Ouest-France / Bretagne / Morlaix / Santec / Archives du samedi 23-01-2010

Bernard le Pors, maire, a été contacté par le chargé de relations patrimoniales de la société de téléphonie SFR, Philippe Houdin, qui l'a informé que SFR souhaite sécuriser ses implantations d'antennes relais.

Et pour cela, elle souhaite ne plus être locataire, mais devenir propriétaire du site d'implantation de l'antenne, implantée rue de Theven-Coz, à Keradennec. Philippe Houdin est venu exposer aux élus les raisons de sa demande : « Ce qui se passe, c'est notre souhait de marier le réseau fixe et le réseau mobile, car la communication et les échanges de données passent aussi, et de plus en plus, par Internet. La société SFR entend relier l'ensemble des réseaux en fibres optiques, pour favoriser les applications présentes et à venir, et pouvoir surfer sur Internet en situation de mobilité ».

Concrètement, SFR souhaite acquérir la surface d'implantation de l'antenne relais existante, soit 154 m², et une partie (67 m²) d'une parcelle attenante. Actuellement, le terrain concerné, propriété communale, est loué à SFR pour 1 964 € par an.

Philippe Houdin considère que SFR, en partenariat avec le réseau Orange, a besoin de devenir propriétaire du site, se justifiant ainsi : « On investira d'autant plus et d'autant mieux que l'on serait propriétaire du site ». Solution de rechange : « Si la commune décidait de ne pas vendre, SFR envisagerait une autre solution, celle d'acquérir un terrain, ailleurs, pour y implanter son antenne ».

Mise en débat, la proposition soulève bien des questions et des interrogations, notamment celle des nuisances générées par les antennes relais dans le domaine sensible de la santé. Bernard le Pors est autorisé, à l'unanimité, par le conseil, à conduire les négociations. Mais leur aboutissement sera subordonné à l'attitude de la communauté de communes du pays Léonard. Des informations supplémentaires seront nécessaires avant la rédaction de tout compromis de cession.

 

Source : http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Antenne-relais-SFR-souhaite-acquerir-le-foncier-_29273-avd-20100123-57536412_actuLocale.Htm

Repost0
18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 20:34
NEXT-UP     diario de Sevilla

BRENES : INSTALLATIONS DANGEREUSES DANS L’ÉCOLE



Une riveraine mère d’un élève du collège Manuel de Falla face au pylône
des antennes relais de téléphonie mobile

Les antennes relais de téléphonie mobile installées dans l’école, pourraient être responsables de plus de 100 cancers dont souffrent les élèves et les enseignants. FERNANDO PEREZ AVILA | 18/01/2010
La peur !. Peur pour le cancer, la mort et tous les jours, la peur qu'un autre cas ne soit détecté chez les enfants. Tous les matins, la peur de la maladie qui peut toucher son voisin à cause des antennes relais qui n’ont toujours pas été retirées ... Deux enfants malades, un mort et plus d'une centaine de personnes atteintes de tous types de cancers en seulement peu de temps, avec un tel taux le constat est accablant. Tant et si bien que même les médecins du centre hospitalier de Séville en sont surpris et demandent à chaque nouveau patient s’ils sont des riverains de l’antenne relais de Brenes.
Face aux antennes relais de téléphonie mobile, Maria Isabel Gomez, une ancienne élève de l'école qui s’est battue contre un cáncer est entourée du personnel et des parents d’élèves,
Tous ceux qui sont touchés accusent les antennes relais de téléphonie mobile qui sont installées à l'intérieur de la cour de l'école Manuel de Falla dans la ville de Vega del Guadalquivir. Dans l’établissement il y a deux étudiants qui vivent avec le cancer, l'un de l'oeil et l'autre de la thyroïde, un autre enfant est décédé de mort subite et personne n'a donné une explication à la famille. Une jeune femme qui a réalisé un stage dans l'école vient juste d’avoir un cancer du système lymphatique. On recense globalement plus d’une centaine de cas parmi les élèves, le personnel, les enseignants et les riverains.
"Ce qui se passe ici n'est pas normal. Nous ne comprenons pas pourquoi nous avons un pylône d’antennes relais dans la cour de l’école. Nous voulons simplement le faire supprimer et surtout ne pas le remettre nulle part ailleurs. Nous ne sommes pas contre les téléphones mobiles ou tout ce que vous voulez, mais nous ne voulons pas que cela tue nos enfants" déclare Carida Magro, mère d'un des enfants qui sont touchés par le cancer. Elle a envoyé des lettres au Médiateur, aux services sociaux, aux membres du conseil municipal, à l’Assemblée Nationale, aux directeurs des journaux et à qui veut l'écouter. Mais pour l'instant tout ce qu'elle a réussi c’est de faire connaître et de sensibiliser au problème. Pire, ils disent tous qu’il n’y a pas qu’un site d’antennes relais, mais trois (ndlr : 3 opérateurs). En effet deux autres sites d’antennes relais sont situés dans une zone d'environ 200 mètres autour de l'école. "C'est un triangle maudit", déclare Juan Gómez, un riverain dont la famille a eu plusieurs cas de cancers. Dans le quartier il est difficile de trouver une seule famille dans laquelle tous les membres sont en bonne santé. "Mon père est mort il y a quatre mois", "dans ma maison sur cinq trois sont malades", "dans ce bloc il y a trois personnes malades", se sont les réponses immuables que l'on obtient lorsqu'on interroge les riverains sur cette affaire. Outre les cancers, est liée une prolifération de maladies thyroïdiennes. "A l'hôpital de Macarena on nous demande à chaque fois si nous venons de Brenes. Ce n'est pas normal, nous sommes en train de mourir ici et personne ne fait rien pour mettre fin à cela", explique une autre jeune femme dont la famille à trois personnes touchées. Une riveraine mère d’un élève du collège Manuel de Falla face au pylône des antennes relais de téléphonie mobile
Maria Isabel Gomez, 18 ans, est une jeune fille qui a vaincu la maladie. Un cancer lymphatique qui lui a été diagnostiqué à 16 ans. "C'est un âge ou l’on est très sensible. J'ai eu la chimio, j'ai perdu tous mes cheveux et je ne pouvais sortir avec des amis, je restais à la maison toute la journée, j'ai perdu une année de cours ..." dit-elle. Sa mère se souvient qu'elle avait beaucoup d'espoir de vie. "Voir votre fille vomir sur le sol et tomber en décrépitude est consternant et douloureux." Un étudiant a perdu la vision d’un l'oeil après la détection d’un rétinoblastome (ndlr : +sarcome ostéogénique radio-induit ?). Cinq autres, ont dû subir une intervention chirurgicale pour une thyroïdectomie et des tumeurs aux ganglions dans diverses parties du corps. Un troisième étudiant est décédé plus tôt cette année. La cause officielle de sa mort subite n’a pas été élucidée malgré une enquête et un procès par devant le tribunal. Parmi les enseignants du collège il y a des cas de cancers du sein, des leucémies et des maladies dégénératives. Ce pylône d’antennes relais a été installé dans la cour de l’école en 2001. Jusqu'à encore récemment, les enfants pouvaient y accéder, le toucher et même grimper dessus ! Depuis peu il a été protégé par un mur. La Mairie a élaboré une ordonnance en 2002 (ndlr : décret municipal), interdisant maintenant l'installation de ces installations d’antennes relais près des zones résidentielles, mais ne pouvaient rien faire à l'époque. Pour les installations de sites d’antennes relais postérieurs à cette date il est difficile de les faire retirer rapidement. L'affaire est actuellement dans les tribunaux, mais face à la réalité c’est huit années de lutte et beaucoup trop de morts dans le quartier. "Les tribunaux doivent en principe rendre des jugements qui doivent arrêter bientôt le fonctionnement de ces antennes relais qui disposent en plus de 20 Répéteurs Hertziens" a déclaré Carida Magro. "La Mairie nous soutient et a ouvert deux procédures par devant la Première Cour d’Instruction de Lora et une autre devant la Septième de Séville. Toutefois le Conseil Municipal ne répond pas. Nous avons abordé le problème avec le délégué de l'Education Nationale, mais pareillement nous attendons toujours une réponse." Les habitants de ce quartier de Brenes sont maintenant désespérés, ils évoquent la possibilité d’autres actions comme camper indéfiniment devant le siège de l’opérateur de téléphonie mobile Telefónica à Madrid. "Nous ne pouvons tolérer que nos enfants qui passent plus de cinq heures et cinq jours par semaine à l’école soient exposés aux rayonnements (ndlr : artificiels Hautes Fréquences micro-ondes) de ces antennes relais. Ce n'est pas juste."

Source:http://www.next-up.org/pdf/Le_Quotidien_de_Seville_le_college_maudit_18_01_2009.pdf
Source origine : http://www.diariodesevilla.es/article/provincia/609574/colegio/maldito.html
Repost0
12 janvier 2010 2 12 /01 /janvier /2010 07:20
dddurable.png Écrit par Yves Heuillard     Le 11 janvier 2010

Le site Internet du journal Le Monde rapporte, dans son édition du 8 janvier, que des travaux de scientifiques mettent en évidence des effets bénéfiques des ondes de téléphonie mobile sur la maladie d' Alzheimer chez les souris. Une actualité qu'il faut cependant remettre en perspective : d'autres études avaient auparavant montré, qu'à l'inverse, les ondes pouvaient contribuer au déclenchement de la maladie.

L'étude citée par Le Monde a été menée par une équipe de chercheurs de l'université de Floride du Sud (Etats-Unis), de l'université médicale de Saitama (Japon) et de l'université médicale de Dalian (Chine) et a été publiée le 6 janvier dans le Journal of Alzheimer's Disease. Le Monde indique que selon le rapport des chercheurs, une exposition à long terme des souris à un champ électromagnétique similaire à celui d'un téléphone mobile (918 MHz ; 0,25 W/kg) entraîne un bénéfice préventif et même curatif sur la maladie d'Alzheimer. Les auteurs sont très prudents quant à toute extrapolation des résultats aux humains.

Une étude moins récente (2003) conduite par des chercheurs suédois, et rapportée cette fois par la BBC, faisait état de dommages créés, par les champs électromagnétiques des mobiles sur les régions du cerveau des rats liées à la mémoire, à l'apprentissage, et au mouvement. Les chercheurs, le Professeur Leif Salford et ses collègues de la Lund University à Malmö (Suède) sugggèrent, également avec prudence, une influence possible sur l'apparition des premiers symptômes de la maladie D'Alzheimer, mais précise que : "nous avons de bonnes raisons de croire que ce qui apparaît dans le cerveau des rats peut apparaître dans le cerveau humain".

De ces études, parmi d'autres (1), il ressort, mais ce n'est pas nouveau, que l'influence des rayonnements électromagnétiques sur le cerveau et de manière générale sur les tissus vivants, est avérée. Maintenant, les deux études citées ici ne sont pas nécessairement en contradiction. Notre lecteur sait que la radioactivité est à la fois à l'origine de cancers, et utilisée en radiothérapie ; qu'un peu de rayonnement ultra-violet est nécessaire à la vie, mais que trop l'éliminerait ; que les mortels rayons X sont, à dose convenable, un outil formidable de la médecine. On pourrait citer des dizaines d'exemple de ce type. Tout est question de dose, de forme d'onde, de durée, de durée d'exposition, de durée d'observation, de protocole. Le problème, c'est que l'espace public n'est pas un laboratoire.

(1) Voir le rapport Bioinitiative (synthèse en français). Voir également l'ouvrage d'Etienne Cendrier, Téléphonie mobile, vers un scandale sanitaire  ?  

 

Source :  http://www.ddmagazine.com/201001091649/Actualites-du-developpement-durable/Telephonie-mobile-et-Alzheimer-deux-sons-de-cloches.html

Repost0
9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 21:50
rue89_logo-copie-1.gif   Par Sophie Verney-Caillat | Rue89 | 08/01/2010 | 20H17

L'air de rien, les industriels vont pouvoir, tout à fait légalement, introduire de la radioactivité dans des objets de la vie courante.

C'est ce que permet un discret arrêté signé par trois ministères en mai dernier, et attaqué devant le Conseil d'Etat.

 

Depuis 2002 et « après une longue bataille », se souvient la directrice de la Criirad (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité) Corinne Castagnier, le code de la Santé publique s'était doté d'articles protégeant le grand public contre la présence de radionucléides [éléments qui émettent des rayonnements ionisants] dans les aliments, les biens de consommation et les matériaux de construction.

Des dérogations étaient bien prévues dans un autre article, mais sans l'arrêté définissant leurs modalités, elles étaient inapplicables. La Criirad avait obtenu l'engagement que l'arrêté ne paraîtrait jamais… ce qui est néanmoins arrivé en mai dernier.

Pour la Criirad, l'arrêté est « laxiste ». Il ne fait que « préciser ce qui était déjà possible et mettre des verrous », plaide au contraire le ministère de l'Environnement.

Photo : radioactivitéLa Criirad a déposé en juillet un recours devant le Conseil d'Etat pour le faire annuler. Un premier rendez-vous entre l'association et les services de Jean-Louis Borloo doit avoir lieu lundi prochain.

Avis défavorable de l'Autorité de sûreté

L'arrêté ouvre la possibilité d'introduire des substances radioactives dans tout, sauf les aliments, les cosmétiques, les bijoux et les produits en contact avec les aliments.

Certes, comme le reconnaît Corinne Castagnier, des substances radioactives étaient déjà disséminées dans le domaine public :

« Il y a du radium 226 dans les paratonnerres, de l'américium 241 dans des millions de détecteurs de fumée âgés ; et chez les particuliers on trouve du radium ou de l'uranium, dans des réveils, des montres, des carreaux en céramique… »

Mais désormais, le plomb et les gravats issus du démantèlement de centrales nucléaires pourraient aussi être réutilisés dans des matériaux de construction, à grande échelle, craint la Criirad.

L'association n'est pas opposée à des dérogations :

« A condition qu'elles soient très restrictives et justifiées par des motifs de sécurité. Par exemple les pacemakers : il faut des sources radioactives, mais c'est mieux que des piles, donc ça se justifie, et c'est traçable… »

L'arrêté précise certes que « l'exposition aux rayonnements ionisants sera maintenue au niveau le plus faible qu'il est raisonnablement possible d'atteindre ».

Mais l'assouplissement des règles de sécurité a de quoi étonner. D'autant plus que cet arrêté a reçu un avis défavorable de l'Autorité de sûreté ucléaire (ASN), instance qui n'est que consultative et qui avait justifié son avis, notamment, par :

  • « la position de la France en matière de gestion des déchets nucléaires, fondée sur un principe d'absence de seuils de libération des radionucléides »
  • « l'application du principe de justification (…) qui doit inciter, autant que possible, les industriels à rechercher des méthodes de substitution et de nouvelles technologies permettant de réduire le recours aux rayonnements ionisants »

Les industriels du ciment, très intéressés

Aucune dérogation n'a été accordée pour l'instant, et « l'idée n'est pas de pousser les dérogations », jure le ministère de l'Environnement.

N'empêche, l'Autorité de sûreté nucléaire, chargée d'accorder les dérogations, sait que les industriels sont demandeurs.

David Landier, directeur des activités industrielles et du transport à l'ASN :

« On a eu es contacts officieux, par exemple en vue de faire du ciment bombardé par des neutrons, car la radioactivité permet un dosage très fin du ciment, ou pour le déminage ou la détection de bagages. Il est probable que des demandes officielles nous parviendront prochainement. »

L'Autorité de sûreté jure qu'elle évitera la banalisation des dérogations et dira toujours qu'« il vaut mieux préférer une méthode n'utilisant pas de rayonnements ionisants si elle existe pour produire ce bien. »

Et les déchets nucléaires, seront-ils « valorisables » ?

Pour Corinne Castagnier de la Criirad, le pire est à craindre avec le démantèlement à venir des centrales nucléaires, dont nombre de matériaux pourraient être jugés « valorisables », donc pas considérés comme des déchets au sens de la loi de 2006 sur les déchets radioactifs :

« Normalement, c'est l'Andra (Agence nationale de gestion des déchets radioactifs) qui s'occupe du devenir des déchets, y compris ceux qui sont dits faiblement radioactifs, comme les gravats, les métaux…

Nous craignons que ce qui est valorisable ne soit plus considéré comme déchet au sens de la loi de 2006, et que cela ouvre la porte à l'exposition d'un grand nombre de personnes à une radioactivité non naturelle. A faibles doses, le risque est faible mais pas nul. »

L'Autorité jure qu'elle sera « transparente » et s'opposera à l'introduction de déchets nucléaires dans des objets de consommation ou de construction. La Criirad juge au contraire que :

« Lorsqu'une centrale sera démantelée, des tonnes de plomb légèrement radioactif ou des gravats pourront être utilisés sur le domaine public, parce que valorisable. »

Une pétition contre le recyclage de déchets nucléaires dans le domaine public devrait bientôt être mise en ligne… sauf si, lundi, les ministères reculent ou que le Conseil d'Etat retoque l'arrêté.

 

Source :   

 

http://www.rue89.com/planete89/2010/01/08/bientot-de-la-radioactivite-dans-nos-objets-de-consommation-132571


---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Mais au fait que s'était-il passé en 1999 ?  Saint Gobain n'avait-il pas rajouté des déchets radioactifs dans la laine de verre ?.

 

Quelques liens sur cette information:

 

http://www.medecines-douces.com/impatient/255avr99/laine.htm

http://www.dissident-media.org/infonucleaire/fibre_radioac.html

http://www.bastamag.net/spip.php?article835 

http://www.securiteconso.org/article316.html


Petit commentaire.

Contaminer plus pour gagner plus voilà une idée qui fait son chemin et qui malgré les déconvenues de Saint Gobain est toujours d'actualité. Les produits entrant dans la construction sont nombreux et si chacun d'eux doit voir sa radioactivitée augmentée sous couvert de la loi, alors qu'en sera-t-il de la radioactivité mesurée globalement au final. Nous sommes en 2010 et pour 70% des cancers  la cause n'est pas identifiée mais largement attribuée à l'environnement. Il est peut-être encore temps d'appliquer une véritable politique de santé publique, même si nos industriels verront leurs gains légèrement amputés par le retraitement des déchets radioactifs ou autre. 

 

Repost0
6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 22:02
lefigaro.fr.gif   AFP 06/01/2010 | Mise à jour : 16:19

Bertrand Delanoë a annoncé aujourd'hui, lors de ses voeux au conseil de paris, le lancement d'une étude de faisabilité pour déployer dans la capitale un réseau de micro-antennes relais de proximité, qui pourraient s'avérer moins nocives pour la santé car moins puissantes.

"J'ai demandé à Anne Hidalgo (maire-adjointe à l'urbanisme), Denis Baupin (environnement) et Jean-Louis Missika (recherche et université), d'entreprendre un travail car je veux que nous battissions un projet de micro antennes à très faible intensité", a annoncé le maire PS.

Il a voulu que ce travail soit élaboré "en liaison avec les opérateurs et les associations": "Il y a des inquiétudes, des peurs, des ignorances, en tout cas il faut des précautions. Je veux la modernité et la protection de la santé des parisiens", a ajouté Bertrand Delanoë.

Selon la mairie de Paris, cette initiative consiste à déployer un réseau de micros antennes relais "à très faible puissance d'émission qui pourrait, avec l'accord des opérateurs, se substituer progressivement aux anciennes antennes relais de plus grande taille et de plus forte puissance".

Des risques de nocivité "réduits"

Ces nouvelles antennes mesurent environ 30 cm de haut et ont un volume égal à une bouteille de 2 litres. "La plus forte capillarité rendue possible par ce réseau d'antennes permettrait une forte réduction de la puissance d'émission des téléphones portables vers l'antenne, réduisant les risques de nocivité pour les usagers", a ajouté la mairie.

Actuellement, plus de 2.000 antennes sont installées à Paris. Chaque opérateur dispose de son réseau, soit une moyenne de 700 antennes par opérateur. La ville de Paris gère 200 points sur ses bâtiments municipaux.

Fin août 2009, l'opérateur de téléphonie mobile Orange s'était vu interdire par la justice l'installation d'une antenne-relais sur le toit d'un immeuble du XIIIème arrondissement de Paris, à la grande satisfaction des associations qui luttent contre leur prolifération.

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/06/01011-20100106FILWWW00640-paris-une-etude-sur-les-micro-antennes.php


Repost0
4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 21:52
Académique-mac - Le Canard Enchaîné - 23/12/2009robin-copie-1.jpg

Quand les académiciens montent au créneau, ils aiment chausser leurs gros sabots.

Voilà deux mois, l'Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail) publie un rapport remarqué de 500 pages sur la téléphonie mobile, dans lequel il est dit, entre autres, que onze études montrant que les radiofréquences ont un effet biologique ont beau être minoritaires (86 autres ne montrent rien), elles sont imparables.
A la suite de ce rapport, l'agence publie un avis recommandant de "réduire les expositions" du public.

Et voilà que, ce jeudi 17, des représentants des académie des sciences, des technologies et de médecine convoquent une conférence de presse au cours de laquelle ils passent l'avis de l'Afsset au lance-flammes ; selon eux, le directeur de cet organisme aurait dû insister sur "l'aspect rassurant" du rapport au lieu "d'augmenter l'inquiétude" du populo.
Bref, il aurait mieux fait de passer sous silence les onze études inquiétantes.
Ca, c'est de la vraie science académique !

Le plus drôle est que sur les six experts qui veulent à tout prix nous rassurer, outre José Alain Sahel, un ophtalmologue, Pierre-Etienne Bost, un chercheur qui a travaillé chez Rhodia et Rhône Poulenc, Alim-Louis Benabid, qui travaille à Clinatec, la clinique expérimentale du CEA à Grenoble (sur le traitement de la maladie de Parkinson par implantation d'électrodes dans le cerveau), Raymond Ardaillou, prof de médecine honoraire, on trouve André Aurengo, ancien membre du conseil scientifique de Bouygues Télécom, et Roland Masse, membre actuel du conseil scientifique du même Bouygues Télécom.
Ca, c'est de l'expertise indépendante ! Impartiale ! Et tellement rassurante...

Repost0
7 décembre 2009 1 07 /12 /décembre /2009 14:45



      07.12.2009, 13h03 | Mise à jour : 14h21

Face aux risques de l'exposition aux radiofréquences des antennes-relais, les réponses divergent. Alors que les ministères de l'Ecologie et de la Santé vont lancer des tests dans plusieurs villes, Bouygues propose de s'engager à ne pas franchir le seuil de 6 volts par mètre dans les lieux de vie.

En France, les valeurs limites d'émission des antennes sont de 41 à 61 volts par mètre selon les fréquences utilisées, soit les seuils suggérés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Commission européenne.

Toutefois, à Paris, le seuil autorisé a été fixé à 2 volts/mètre par un accord entre les opérateurs et la mairie.

Dans un interview publiée lundi dans «Le Figaro», le directeur général de Bouygues Telecom, Olivier Roussat, se déclare «prêt à agir». «Nous proposons un nouveau seuil qui n'existe pas aujourd'hui, souligne-t-il. Nous sommes prêts à nous engager à ne pas dépasser le seuil de 6 volts par mètre dans les lieux de vie, comme la loi l'a fixé en Italie.»

Selon NKM, «il faut encore progresser»

«Six volts c'est encore beaucoup. Il faut progresser», a répondu la secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, sur RMC, soulignant toutefois que «c'est un très bon signal. Ca peut entraîner les autres». NKM a par ailleurs rappelé que des expérimentations en vue de diminuer le seuil d'exposition étaient menées dans 16 villes, dans le cadre du suivi du «grenelle des ondes» organisé au printemps dernier.

Strasbourg, ainsi que deux arrondissements parisiens, les villes de Brest et Grenoble font partie de ces 16 villes sélectionnées parmi 238 communes ou communautés de communes candidates, qui participent entre novembre et avril 2010 à ce test national. Différents seuils d'exposition maximum, compris entre les seuils réglementaires (41 et 61 volts par mètre) et une valeur basse de 0,1 V/m y seront étudiés.

Les associations veulent un seuil inférieur à 1 volt par mètre 

La proposition de Bouygues Télécom est «un engagement virtuel puisque cela va toucher moins de 1% de leurs antennes», estime pour sa part Stéphen Kerckhove, d'Agir pour l'environnement.

Agir pour l'environnement et Priartém demandent un seuil inférieur à 1 volt par mètre. Elles souhaitent voir reprise la proposition de l'Agence de sécurité sanitaire Afsset (environnement et travail) d'appliquer à la téléphonie mobile le principe «Alara» (As low as reasonnably achievable), qui «consiste à imposer aux opérateurs d'émettre et d'exposer au niveau le plus faible techniquement possible, soit en deçà d'un volt par mètre» .

 

Leparisien.fr

Repost0
7 décembre 2009 1 07 /12 /décembre /2009 07:45


    Publié le 07/12/2009 à 08:00 Le Point.fr

Bouygues Telecom propose de s'engager à ne pas franchir le seuil de 6 volts par mètre dans les lieux de vie afin de remédier à une exposition trop forte aux radiofréquences des antennes-relais. Le directeur général de l'opérateur Bouygues Telecom, Olivier Roussat, se déclare "prêt à agir" dans une interview publiée lundi dans les pages économiques du Figaro . "Nous proposons un nouveau seuil qui n'existe pas aujourd'hui", souligne-t-il. "Nous sommes prêts à nous engager à ne pas dépasser le seuil de 6 volts par mètre dans les lieux de vie, comme la loi l'a fixé en Italie", précise-t-il. "Les Italiens sont plutôt rassurés par ce seuil. Bouygues Telecom est prêt à adapter son réseau pour appliquer la même règle en France", ajoute Olivier Roussat.

Par ailleurs, Strasbourg a été choisie pour être l'une des 16 villes qui vont tester, à partir de janvier prochain, l'abaissement de l'exposition aux radiofréquences des antennes-relais, une expérimentation nationale mise en place suite au "Grenelle des ondes" du printemps dernier. Strasbourg, ainsi que deux arrondissements parisiens, les villes de Brest et Grenoble font partie des 16 villes sélectionnées parmi 238 communes ou communautés de communes candidates, qui participent entre novembre et avril 2010 à ce test national associant les ministères de l'Ecologie et de la Santé. Différents seuils d'exposition maximum, compris entre les seuils réglementaires (41 et 61 volts par mètre) et une valeur basse de 0,1 V/m seront étudiés.


Repost0
29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 18:08

   jeudi 26.11.2009, 05:02 - La Voix du Nord

 Le technicien s'est rendu hier rue Ferry pour prendre des mesures dans l'enceinte de l'école primaire et chez des particuliers.
Le technicien s'est rendu hier rue Ferry pour prendre des mesures dans l'enceinte de l'école primaire et chez des particuliers.

Une dizaine d'antennes-relais existent aujourd'hui à Béthune, implantées pour la plupart sous l'ex-municipalité. Est-ce la raison qui a poussé l'adjoint au maire Yvon Bultel, en charge du dossier, à entamer de nouvelles études sanitaires ? Toujours est-il que, cette semaine, un technicien est mis à la disposition de la population...

 

PAR CÉLINE WLODARSKI

bethune@info-artois.fr

André habite l'avenue du Maréchal-Juin depuis 1977. On l'aperçoit de son jardin. Elle est plantée à une dizaine de mètres plus loin. Au début, il pensait que cette antenne servait à la SNCF. Mais depuis qu'il connaît la véritable raison de son existence, il ne la voit plus d'un bon oeil. Alors quand la municipalité lui a proposé la visite d'un expert, il n'a pas hésité. « Nous avons contacté des Béthunois, au hasard, via l'annuaire, indique Yvon Bultel. Six à huit visites ont ainsi été programmées. Sur les douze personnes que j'ai personnellement contactées, la moitié ont accepté. » Le technicien de mesure a pris la température de la chambre, située à l'étage de l'habitation. Le nombre de volts par mètre carré est « plus que raisonnable », tranche l'expert. ll avoisine même les 0,6 V/m, seuil de précaution sanitaire défendu par les scientifiques internationaux indépendants. Les seuils actuels maximaux sont compris entre 41 et 61 V/m. La ville de Béthune s'est portée candidate à la mise en place d'une expérimentation de ce seuil de précaution.

 

Alors, à Béthune, tout va bien ? Si Yvon Bultel a décidé que la municipalité financerait elle-même l'étude en cours, c'est qu'il a des doutes. « Nous avons appris récemment par Bouygues, qui déplore nos démarches au passage, l'existence d'une charte signée en 2004 entre la municipalité de l'époque et les trois opérateurs, explique l'adjoint. Une charte qui, selon Bouygues, autorise un "développement concerté et harmonieux" des antennes-relais, "dans le respect de la transparence". J'ai cherché la charte à la mairie. Elle est introuvable ! » Mais ce qui compte au-delà de la polémique, insiste-t-il, c'est le bien-être des concitoyens.


Alors s'il a contacté le CRIIREM, c'est parce qu'il s'agit du seul organisme d'experts indépendants dont les rapports ne sont pas opposables en justice. Et qu'Yvon Bultel ne voulait surtout pas de l'APAVE, société sollicitée en 2004 et dont le rapport de mesures ne serait pas crédible. « L'APAVE "travaille" avec les opérateurs. » Alors les Béthunois ont droit à de vraies mesures. Après le boulevard des États-Unis et, hier, la rue Ferry (et notamment l'école primaire), ce sont les rues du 11-Novembre, Dunant et de Madrid qui vont être passées au crible en cette fin de semaine.

 

Alexis Marchand, le technicien en charge de ce travail, était hier rassurant. « Je n'ai encore rien relevé d'anormal. Et les mesures relevées sont en général plus près des 0,6V/m que des 41/61 », indiquait-il hier. L'expert précisant aussi que les champs électromagnétiques peuvent fluctuer selon les heures de la journée, et mettant en garde sur les nuisances apportées par la téléphonie sans fil ou la Wifi. « Elles peuvent être supérieures à celles engendrées par la téléphonie mobile. » •

Repost0

Pour Adherer