Qui Sommes-Nous ?

  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 19:49

UN EXEMPLE A SUIVRE

Certes ce sont les impôts des Aveyronnais qui vont encore servir les intérêts du privé en finançant le déploiement d'un service que les opérateurs s'étaient pourtant engagés a mettre en œuvre, mais la disparition du WiMax reste une bonne nouvelle et l'arrivée de la fibre optique une agréable surprise.
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3 février 2014 1 03 /02 /février /2014 19:54

Dans le quotidien du médecin le très célèbre Pr Aurengo parlant au nom de l'académie de médecine critique la loi Abeille sur les ondes, il faut lire les commentaires des ses collègues, en fin de billet, pour se faire une idée de l'influence du personnage et en fait c'est assez rassurant.

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11 janvier 2014 6 11 /01 /janvier /2014 22:53

Sur Clubic pro.com

Publié par Olivier Robillart le vendredi 10 janvier 2014

Une nouvelle proposition de loi visant à mieux informer le public sur l'exposition aux ondes électromagnétiques est en discussion. Si la première version du texte a été repoussée par le gouvernement l'an dernier, la député écologiste (EELV) Laurence Abeille revient sur les points principaux du nouveau texte. L'ambition de celui-ci n'est ainsi plus d'imposer des seuils d'exposition mais de renforcer la « transparence et l'information auprès du public ».

La première mouture du texte évoquait clairement les seuils d'exposition aux ondes. Pourquoi ce n'est désormais plus le cas dans cette deuxième version ?

Laurence Abeille : Cette version n'aborde en effet plus les seuils d'exposition mais pour contourner cette question des seuils, nous avons préféré travailler sur la question des points atypiques. Suite aux travaux menés par le COPIC (proposant de réduire l'exposition sans dégradation en implantant de nouvelles antennes-relais, ndr), nous avons donc fait le choix de faire le point sur ces zones en particulier en lien avec l'ANFR, l'Agence nationale des fréquences.

L'article en suivant le lien ci-dessous

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 21:23

La mairie de Toulouse offre, depuis hier, la Wifi en accès libre sur la place du Capitole, aux Toulousains et aussi aux touristes. Vous pouvez, ainsi, vous connecter gratuitement à internet.

Qu’on se le dise, la place du Capitole est une zone libre ! Du point de vue des ondes, en tout cas, puisque la mairie de Toulouse a décidé d’offrir l’accès à internet (et au monde) gratuitement sur la place emblématique de la ville. Pour vous connecter, il vous suffit d’un simple mot de passe, en l’occurrence «MairieToulousePublic», et le tour est joué. Vous pourrez surfer à votre guise où bon vous semble.

«Offrir ce service public à l’heure de la 3G voire même de la 4G, peut surprendre, confie Erwane Monthubert, conseillère municipale déléguée en charge du numérique, mais cette initiative s’adresse à deux types de populations intéressées. D’une part les touristes qui n’ont pas nécessairement les abonnements téléphoniques idoines, d’autre part les Toulousains qui passent en centre-ville avec tablettes ou ordinateurs, pourquoi pas smartphones, pour leur permettre entre autres d’accéder aux services que nous proposons».

Si vous avez du temps a perdre l'article intégral est est dans le lien ci-dessous

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 20:17
Et si la vérité était têtue ?

Après avoir émis de virulentes critiques à l’égard d’une etude très controversée, l’EFSA (European Food and Safety Authority) a fait volte-face. En effet, cette institution de sécurité sanitaire a, le 31 Juillet 2013, indirectement validé les travaux du Pr. Gilles-Eric Seralini portant sur l’évaluation du risque toxique potentiel associé à la lignée de maïs NK603, tolérante à l’herbicide RoundUp ainsi qu’au RoundUp lui-même, seul, ou associé à cette même lignée de maïs.

A quant la même chose pour les Champs Électromagnétiques ?

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 10:29

Un long article écrit par Xavier Bonnehorgne qui aborde le sujet de la sous traitance mais qui nous concerne tous, car même si les intervenants sur les antennes sont très exposés que se passera-t-il pour les riverains ?

Vous y trouverez un lien vers L’institut national de la recherche et de la sécurité (INRS) qui a publié en janvier 2013 une note intitulée, « Exposition des travailleurs aux risques dus aux champs électromagnétiques. Guide d’évaluation des risques »

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10 novembre 2013 7 10 /11 /novembre /2013 21:35

Le Conseil d'Etat fait une application toujours plus stricte du principe de précaution en matière d'antennes relais. Nouvelle illustration à travers une décision rendue en faveur d'Orange contre la ville d'Issy-les-Moulineaux.

Juridique  |  08 novembre 2013  | 
Actu-Environnement.com


Par une nouvelle décision sur les antennes relais en date du 21 octobre 2013, le Conseil d'Etat précise que le principe de précaution ne permet pas au maire d'exiger de la part de l'opérateur de téléphonie des documents non prévus par les textes en vigueur.

Cette décision vient à la suite de plusieurs autres rendues en faveur des opérateurs. En octobre 2011, le Conseil d'Etat avait jugé que les maires n'étaient pas compétents pour réglementer de manière générale l'implantation des antennes relais sur leur commune et que l'invocation du principe de précaution ne pouvait leur permettre d'excéder leur champ de compétence. En janvier 2012, il avait encadré encore un peu plus le principe de précaution, ce qui avait fait douter l'association Robin des Toits de son impartialité. Aujourd'hui, il enfonce le clou.

Une école et deux crèches dans un rayon de 100 mètres

Quels étaient les faits de l'espèce ? Le maire d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) avait fait opposition par arrêté à la déclaration préalable de travaux déposée par la société Orange en vue de la réalisation d'un relais de téléphonie mobile sur le toit d'un immeuble. L'élu s'opposait au projet pour trois raisons : une école et deux crèches se situaient dans un rayon de 100 mètres autour du relais, l'estimation du niveau maximal d'exposition par rapport à la valeur de référence européenne était absente du dossier, et les deux mâts destinés à porter les antennes ne s'inséraient pas dans l'environnement urbain.

Orange avait demandé sans succès l'annulation de l'arrêté du maire devant le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise. La société s'est ensuite pourvue en cassation contre ce jugement devant le Conseil d'Etat, qui lui donne aujourd'hui raison.

Le maire ne peut exiger un document non prévu par les textes

Faisant application de sa jurisprudence de janvier 2012, la Haute juridiction administrative réaffirme que le principe de précaution ne permet pas "de refuser légalement la délivrance d'une autorisation d'urbanisme en l'absence d'éléments circonstanciés sur l'existence, en l'état des connaissances scientifiques, de risques, même incertains, de nature à justifier un tel refus d'autorisation". Or, en l'espèce, aucun risque pouvant résulter de l'exposition aux champs électromagnétiques du public n'était établi, estime le Conseil d'Etat.

En second lieu, et il s'agit de l'apport jurisprudentiel de cette décision, le Conseil précise que "le principe de précaution ne permet pas, par lui-même, au maire d'exiger à l'appui d'une déclaration préalable de travaux la production de documents non prévus par les textes législatifs et réglementaires en vigueur". Le maire d'Issy-les-Moulineaux ne pouvait dès lors s'opposer aux travaux déclarés du fait de l'absence dans le dossier "d'une estimation du niveau maximal de champ électromagnétique reçu sous forme d'un pourcentage par rapport à la valeur de référence de la recommandation européenne". Aucun texte n'exige en effet une telle estimation.

Des pouvoirs peau de chagrin pour le maire

Enfin, le Conseil d'Etat estime que le premier édile de la commune ne pouvait refuser les travaux en se basant sur l'article R. 111-21 du code de l'urbanisme qui permet de s'opposer à un projet si les constructions sont "de nature à porter atteinte au caractère ou à l'intérêt des lieux avoisinants, aux sites, aux paysages naturels ou urbains ainsi qu'à la conservation des perspectives monumentales". Le projet, "qui a fait l'objet d'un traitement particulier, qui s'inscrit dans un environnement urbain et qui n'est pas situé dans le champ de visibilité de "la tour aux figures" de Dubuffet ou de l'église Notre-Dame-Des-Pauvres", n'était en effet pas de nature à porter une atteinte aux lieux avoisinants selon la Haute juridiction.

"Au final, que reste-t-il des pouvoirs du maire ?, interroge  l'avocat David Deharbe, Son pouvoir de police générale est neutralisé par la police spéciale des antennes relais alors que ses attributions en urbanisme buttent sur l'affirmation pas si rassurante du Conseil d'Etat qui voudrait que l'exposition aux ondes des antennes relais ne constituerait qu'un risque hypothétique et non incertain".

         

 

l'article est ICI

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 20:48

Actualités

 

 

Publié le 26/10/2013 à 03:55, Mis à jour le 26/10/2013 à 08:46 | 1

télécommunications

Le test devrait durer 6 mois./ Photo DDM archives.

Le test devrait durer 6 mois./ Photo DDM archives.  

Pendant 6 mois, 80 testeurs répartis dans 19 communes du canton de Nogaro vont recevoir à domicile la 4G. Un test à valeur nationale mené par Orange jusqu’en 2014.

L’opérateur historique Orange va démarrer un test dans 19 communes du canton de Nogaro, pour vérifier la faisabilité et la rentabilité d’un internet très haut débit pour des connexions fixes, dans des zones rurales ou mal desservies par l’ADSL. L’expérience démarre début 2014, et doit durer 6 mois. C’est la seule étude lancée en Midi-Pyrénées, les deux autres tests se déroulent dans le Roussillon et dans les Ardennes.

Baptisée «Villages numériques», l’opération passe concrètement par le recrutement de testeurs, déjà abonnés chez Orange, via des réunions en mairie. 80 testeurs seront ainsi choisis par les services de la société, selon des critères de réception, de proximité des antennes, etc. Selon le cas, les «cobayes numériques «recevront des boîtiers de réception classiques, ou des antennes extérieures. Tout cela bien entendu gratuitement.

Dans le cadre de cette expérimentation, l’antenne existante sera remplacée par un émetteur 4G : les personnes disposant de mobiles 4G et d’un abonnement à cette fréquence, pourront profiter de l’internet très haut débit sur leur smartphone.

Pour Orange, le but est de contrôler la capacité du réseau LTE - la technologie de la 4G, mais aussi de faire vérifier par les clients la rapidité de cette nouvelle technologie, et de valider la rentabilité économique de ce modèle. Modèle particulier car il ne s’agit pas de connexion en mobile, mais en fixe. Ce choix est dicté par la zone couverte en utilisant cette technique. Elle serait supérieure, selon Pierre Clément, directeur de la branche Sud de l’opérateur, à celle qu’obtiendrait un réseau destiné aux téléphones mobiles.

Pierre clément a souligné «la collaboration de qualité avec le Gers», et précisé que l’expérience menée autour de Nogaro avait sa place dans la réflexion engagée sur le SDAN (schéma départemental d’aménagement numérique). «Il s’agit d’une solution qui vient s’ajouter à un éventail existant». Les travaux menés par le conseil général du Gers sur la couverture numérique du territoire ont influé sur le choix du site.

Concernant le retard d’Orange sur son concurrent Bouygues, qui propose déjà la 4G, Pierre Clément a souligné qu’Auch serait couverte par la 4G en 2014 et le Grand Auch en 2015.

La Dépêche du Midi

 

Le lien est  lCI

 

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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 17:30

 

 

 

 

15-10-2013
Mots clés
Environnement
Santé
France

4G : les études d’impact en retard

4G : les études d'impact en retard
(Crédit photo : Mystery People - flickr)
 
Le déploiement de cette nouvelle technologie s'est fait sans études préalables évaluant ses effets sur la santé. Sans être alarmiste, l'Anses estime qu'il est temps d'évaluer et de limiter le niveau d'exposition du public.
Le Baromètre de cet article
ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
SUR LE MÊME SUJET

La 4G est encore balbutiante. Mais, déjà, les radiofréquences qu’elle émet posent question. Dans son avis Radiofréquences et santé rendu ce mardi 15 octobre, l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) s’interroge sur les conséquences de cette nouvelle technologie qui déferle actuellement sur les grandes villes françaises.

Les experts constatent que ce « déploiement en cours ou à venir de nouvelles technologies de communications mobiles (LTE [1], 4G, etc.) se juxtapose à des services déjà existants », tels que la 2G et la 3G. « Il existe peu de publications relatives à l’exposition en LTE mais on peut s’attendre à une contribution supplémentaire à l’exposition du public », notent-ils en s’appuyant sur une étude allemande qui évalue que l’arrivée de la 4G va entraîner une hausse de 50% du niveau d’exposition du public aux ondes électromagnétiques.

Des effets à long terme toujours « incertains »

Faut-il craindre pour sa santé ? Après avoir passé à la loupe un millier d’études scientifiques – certaines indépendantes, d’autres moins – réalisées entre avril 2009 (date du précédent rapport de l’Anses, à l’époque encore baptisée Afsset, sur le sujet) et décembre 2012, le groupe d’experts constate que les effets à long terme de cette exposition sont « incertains ». Actuellement, en France, 90% des niveaux d’exposition du public sont inférieurs à 0,7 V/m, alors que la réglementation fixe à 41 V/m le maximum autorisé pour la 2G, et 61 V/m pour la 3G.

Donc même avec une augmentation de 50% de l’exposition due à la 4G, on resterait loin des niveaux maximum autorisés. C’est ce que met en avant la Fédération française des télécoms en indiquant qu’« avec l’ajout de la 4G, l’exposition continuera d’être inférieure à 1/10ème des seuils OMS (Organisation mondiale de la santé, ndlr) dans plus de 99% des points, même si elle pourra augmenter un peu. Sur la base d’hypothèses hautes (émetteurs 2G, 3G et 4G fonctionnant, tous, à puissance maximale en même temps), l’ajout de la 4G conduirait à une exposition inférieure à 0,2 V/m dans plus de 50% des points et à une exposition inférieure à 1 V/m dans plus de 90% des points ».

L’Anses opte pour le statu quo

 

La suite de l'article est lCI

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 20:42

Une petite commune des Hautes-Alpes, soutenue par la députée européenne d'Europe Ecologie-Les Verts Michèle Rivasi, a annoncé, mercredi 30 octobre, son souhait de créer la première zone blanche de France, afin d'accueillir des personnes se disant hypersensibles aux ondes électromagnétiques.

Située à Saint-Julien-en-Beauchêne, la zone à "très faible rayonnement électromagnétique", selon une étude de la Commission de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem), pourrait accueillir une trentaine de personnes pour une durée limitée. Installé au pied d'une montagne et entouré de champs, ce centre ferait l'objet d'un suivi médical et permettrait à "des personnes exclues, victimes de discriminations, de se ressourcer", a expliqué Michèle Rivasi.

Lire notre reportage : Les électrosensibles à la recherche d’une terre vierge de toute onde

 

L'article est lCI

 

 

 

 

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