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  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 20:57

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Un rapport du MEDDE sur l’exposition aux ondes électromagnétiques

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7 octobre

Le COPIC (ex COMOP/comité opérationnel créé en 2009) vient de rendre son rapport sur l’exposition des populations aux ondes électro magnétiques. 16 villes de typologie différente ont ainsi été testées.
Même si dans 20% des cas, « les antennes relais ne sont pas la source principale d’exposition ». Les bases de téléphone sans fil DECT, les émetteurs radio FM, les téléphones portables des environs, les boîtiers multi-services WiFi constituant autant de facteurs d’exposition aux ondes, le rapport conclut à la nécessité de multiplier par trois le nombre d’antennes pour limiter l’exposition tout en conservant la même qualité de service. D’autant que la 4G (LTE) devrait conduire à une « augmentation moyenne de l’exposition en façade et au sol de *50 % environ » Reste à convaincre les opérateurs ! Chacun ayant en France environ 15 000 stations de base, il faudrait donc qu’ils en ajoutent 30 000. Sur la base de 50 000 euros un coût moyen très approximatif, cela représente 1,5Milliards d’euros.

Pour lire le rapport : developpement-durable.gouv.fr

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 21:06

 

NOUVELOBS

 

par | Publié le 27 Août 2013

Selon les résultats de simulations réalisées dans 7 villes françaises,
le déploiement de la 4G devrait augmenter d’environ 50% l’exposition
du public aux ondes de téléphonie. 
JPDN/SIPA

Alors que deux rapports remis hier au gouvernement par le comité opérationnel sur les ondes de téléphonie mobile (Copic) expliquent que pour réduire l’exposition du public, il faudrait nécessairement baisser leur puissance actuelle et donc multiplier au moins par 3 leur nombre actuel, qu’en est-il de l’impact du déploiement prochain des réseaux de quatrième génération de téléphonie mobile ? Rappelons que la technologie 4G permet d’accéder à des débits 50 fois supérieurs à celui de la 3G, facilitant ainsi les téléchargements de fichiers volumineux et la création de nouveaux services.

 

Justement la dernière étape des expérimentations commanditées par les experts du Copic s’est penchée sur cette question de la généralisation du « très haut débit » sur le territoire. Ces travaux de simulation réalisés en 2012 révèlent donc que l’ajout d’antennes-relais 4G sur l’ensemble des villes étudiées, augmenterait en moyenne de 50%. « Les simulations dans sept villes illustrant les différentes typologies ont permis de confirmer que l’ajout d’émetteurs 4G crée une augmentation de l’exposition. En effet, en considérant des émetteurs 4G théoriques avec des hypothèses de déploiement en principe majorantes, on obtiendrait sur l’ensemble de ces villes, une augmentation moyenne de l’exposition en façade et au sol de 50 % environ. A titre d’exemple, au sol sur la zone d’expérimentation de Paris 14ème, l’exposition moyenne passerait de 0,6 V/m à 0,9 V/m environ » écrivent les experts dans leur rapport. 

 

Tandis que le chantier de la 4G s’accélère sur tout l’Hexagone, les conclusions de ce rapport devraient inquiéter davantage les opposants au dispositif. De toute façon malgré les oppositions, SFR indiquait récemment que sa 4G fonctionne déjà depuis mi-juin, avec 80% de la population couverte et Bouygues télécom lancera son dispositif 4G le 1er Octobre dans une centaine de villes.

 

l'article est ICI

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13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 17:04

inserm.fr

 

Suite à la lecture de l’expertise collective « Pesticides et santé » de l’INSERM (1), Générations Futures exhorte les pouvoirs publics à prendre des mesures fortes et rapides pour réduire l’usage des pesticides et exclure les plus dangereux d’entre eux.

Contexte. L’INSERM rend publique ce jour (une restitution est prévue aussi cet après-midi à l’Assemblée Nationale) une expertise collective (2) menée sur le thème « Pesticides et santé ». Ce document vise à répondre à la demande  de la Direction Générale de la Santé concernant les effets des pesticides sur la santé. Ce travail s’appuie sur les données issues de la littérature scientifique disponible et internationale en date du premier semestre 2012.

Présentation des résultats. Générations futures salue ce rapport qui vient confirmer le message que l’association diffuse depuis plus de 10 ans à savoir l’existence de multiples études scientifiques montrant des présomptions réelles de lien entre l’exposition aux pesticides et de nombreuses pathologies graves.

Le rapport de l’Inserm confirme en effet des « présomptions fortes ou moyennes » de lien entre l’exposition à des pesticides et : Lymphome Non Hodgkinien (LNH), cancer de la prostate, myélomes multiples, leucémie, Parkinson, Alzheimer, divers troubles cognitifs et des impacts sur la fertilité et fécondabilité.

Pour d’autres pathologies, même si les liens semblent moins nets pour les scientifiques pour cause de pathologies souvent moins répandues et moins étudiées (comme le SLA (3)), il existe des données françaises très significatives comme dans le cas des tumeurs cérébrales (risque multiplié par 3) ou des méta analyses montrant des excès de risques significatifs de plus de 80% dans le cas de la SLA. Notre conclusion sur ce point est que les scientifiques se sont livrés à une analyse relativement prudente de la littérature scientifique.

«  Après que Générations Futures ait tiré la sonnette d’alarme sur la dangerosité des pesticides notamment en diffusant les résultats de très nombreuses études scientifiques réalisées dans le monde sur ce sujet ou lors de notre congrès de mars 2012 (4), nous nous félicitons aujourd’hui de cette publication qui montre clairement le rôle joué par l’exposition à des pesticides dans la survenue de pathologies chroniques extrêmement graves comme le Lymphome Non Hodgkinien, le cancer de la prostate, les myélomes multiples, la maladie de Parkinson, des troubles de la fertilité  etc. » déclare François Veillerette, porte-parole de Générations Futures.

 

Contact Presse : François Veillerette : 06 81 64 65 58 – Nadine Lauverjat : 06 87 56 27 54

 

Pour voir l'article intégralement c'est lCI

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 20:11

 

www.next-up.org Déontologie et traduction
Source : http://www.genengnews.com/news/bnitem.aspx?name=15755319

Recherche sur la corrélation entre Autisme et téléphones
mobiles, ordinateurs sans fil (WiFi), . . . par Tamara Mariea

16 avril 2007,

Aujourd'hui l'incidence de l'autisme aux Etats-Unis est d’1 pour 150 enfants, selon
l’étude publiée par le CDC, qui rapporte une augmentation terrifiante en comparaison
avec la fin des années 70 quand le rapport de l'autisme dans notre société n’était que
de 1 pour 10.000 enfants, soit avant le développement des radiofréquences micro-
ondes du téléphone portable et des technologies sans fil analogues (WiFi).
Tamara Mariea, fondateur de Internal Balance (TM), Inc., publie les résultats de plus de
cinq années de recherche sur ses patients atteints d’autisme. Cette explosion de cas
d’autisme au cours des deux dernières décennies a pour principale cause potentielle la
prolifération des rayonnements électromagnétiques. L’augmentation dans notre
environnement de ces rayonnements en CEM issus des dernières technologies de
communication telles que les téléphones portables et les ordinateurs sans fil, progresse
et irradie de plus en plus notre organisme.
« Je n’ai appris que récemment l’existence des recherches réalisées par Tamara Mariea
sur le lien potentiel entre l’autisme et l’irradiation par les rayonnements
électromagnétiques, et cela pourrait bien constituer le chaînon manquant. Comme nous
savons que les courants électriques de notre corps de l’ordre du microvolt sont d’une
importance capitale, il est parfaitement légitime de faire des recherches sur la pollution
électromagnétique au niveau de l’étiologie de la maladie. Il n'y a aucun doute que nous
observons une élévation épidémique grave de l'autisme chez les enfants et que
l'utilisation répandue de l'électronique et des dispositifs sans fil pourrait bien constituer
un facteur qui a été ignoré, » a indiqué le Dr Derrick Longsdale.
La clinique de Mariea reçoit chaque semaine des appels de médecins du monde entier
sur les traitements les plus pointus en la matière, au delà de la médecine occidentale
traditionnelle. Sur base de ses connaissances étendues, Mariea a acquis une solide
réputation dans le domaine de la désintoxication physiologique.
« Mon association avec Tamara Mariea, m’a vraiment inspiré. Elle dispose d’une
connaissance et d’une perspicacité impressionnantes dans les contributions
biochimiques et électromagnétiques de la maladie et des traitements. En particulier elle
m’a ouvert les yeux sur le lien potentiel entre la pollution électromagnétique et le
traitement de désintoxication cellulaire. Ceci pourrait jouer un rôle central dans l'autisme
et dans les maladies chroniques dégénératives de tous types et de tous âges »
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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 12:48

abeille.jpg

 

 

DES ABEILLES, DES OISEAUX ET DES HOMMES
La destruction de la nature par l’« électrosmog »
Ulrich Warnke
Les effets de la téléphonie mobile et des techniques
de communication sans fil
Une publication de Kompetenzinitiative zum Schutz
von Mensch, Umwelt und Demokratie (Initiative Compétence pour la
protection de l’homme, de l’environnement et de la démocratie)

 

40 pages ou tout est expliqué

 

Pour voir la brochure c'est lCI

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26 mai 2013 7 26 /05 /mai /2013 20:47

Il ne faut pas désespérer de la jeunesse, la preuve. C'est peut-être une expérience a reproduire, chez soi ou en cours de science.

Le 23/05/2013 à 18:05

 

Un groupe de 5 jeunes lycéennes Danoises de l’école de Hjallerup ont mené une expérience sur des graines de cresson. Ces étudiantes avaient pour objectif de déterminer si oui ou non, les ondes wifi influençaient le développement de certains végétaux. Les résultats sont effarants.

Pendant 12 jours, les étudiantes Danoises ont étudiés deux semences de cresson. La première exposée aux ondes wifi, la deuxième isolée de toute radiation. Résultat : les graines exposées n’ont presque pas germé et quelques-unes ont même muté, alors que celles situées dans la chambre sans radiation ce sont développées sans problème (comme le montrent les deux photos ci-dessous).

Les jeunes scientifiques avaient sérieusement préparé leur expérience en répartissant leurs graines sur 12 assiettes, pour ensuite les déposer dans deux chambres distinctes, la première a été exposée aux ondes d'un routeur wifi de la norme IEEE 802.11g, la seconde non. Les mêmes conditions d’éclairage et d’arrosage ont été orchestrées sur les différentes semences.

L’idée de cette expérience leur est venue des difficultés rencontrées à se concentrer pendant les cours. L’une d’elles raconte : « nous pensions que les problèmes de concentration à l’école et parfois d’insomnie venaient du fait que nous dormions avec nos téléphones portables à côté de notre tête ». De ce constat, elles ont imaginé une expérience facilement réalisable montrant l’effet des ondes. Elle ajoute : « c’est vraiment effrayant d’observer un effet aussi flagrant et nous avons été vraiment frappées par de tels résultats. »

Cette expérience simple et ingénieuse a tout de suite attiré l’attention des spécialistes en ondes électromagnétiques. De très sérieux chercheurs du Royaume-Uni, de Suède et des Pays-Bas ont montré un intérêt pour le projet. Certains ont décidé de reproduire l’expérience dans leurs laboratoires scientifiques. Le professeur Olle Johansson de l’Institut Karolinska de Stockholm commente : « dans les limites de leurs compétences, les filles ont mis sur pied et documenté un travail d’une grande élégance. La richesse de détails et de précisions est exemplaire, le choix du cresson est très intelligent, et je pourrais continuer mes éloges. »

Au final, les étudiantes ont reçu le prix du concours « Jeunes Chercheurs ». Fort des conclusions tirées de leur expérience, elles ont décidé de poser leurs téléphones à l’extérieur de leurs chambres et d’éteindre leurs ordinateurs systématiquement avant de se coucher.

Pendant ce temps-là, un peu partout dans le monde le wifi se démocratise en devenant de plus en plus commun, puissant et rapide. Dernièrement, le Coréen Samsung vient de battre un record de vitesse pour un réseau wifi en obtenant une liaison avec un débit de 40 Go/s. Une telle vitesse équivaut à une bande passante capable de transférer 10 films HD en une seconde. De tels débits pourraient arriver dans quelques années avec la norme 5G.

Rédaction : Mathieu Doutreligne

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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 09:19
robin-copie-1.jpg  

Des rats ont été exposés au rayonnement du téléphone mobile 6 heures par jour pendant 18 semaines.

Les branches vestibulaires et mandibulaires des nerfs faciaux ont été évaluées pour cette étude.
Les niveaux d'ARN messagers (ARNm) de quatre protéines qui y sont habituellement régulées ont été contrôlées et étudiées jusqu'à la constatation de l’apparition d’un dommage : celles-ci étaient le calcium ATP-ase, Endothelin, Neural Cell Adhesion Molecule, et Neural Growth Factor (facteur de croissance).

Ces quatre ARNm ont été isolées et soumises à un RT-PCR. [ndlr : protocole mélangeant la RT (Reverse Transcriptase) une technique qui associe une transcription inverse suivie d’un PCR qui est l'abréviation anglaise de Polymerase Chain Reaction - réaction en chaîne par polymérase qui est une méthode de biologie moléculaire d'amplification génique in vitro, qui permet de copier en grand nombre (avec un facteur de multiplication de l'ordre du milliard), une séquence d'ADN ou d'ARN connue, à partir d'une faible quantité (de l'ordre de quelques picogrammes) d'acide nucléique.]

Les nerfs mandibulaires ont montré un niveau plus élevé et plus large de plages de régulation que les nerfs vestibulaires.

Chacune des quatre régulations des ARN messagers pour les nerfs mandibulaires et deux pour les nerfs vestibulaires ont également été significativement endommagées. Ces lésions spécifiques et connexes sont légèrement liées.

Conclusions : Au cas où l’exposition aux rayonnements du téléphone mobile aurait été poursuivie, il y aurait très probablement des dommages permanents à ces tissus au cours des années et la probabilité de tumeurs, de cancers et potentiellement une augmentation des défaillances des systèmes.


Auteurs : Yan JG, Agresti M, Zhang LL, Yan Y, Matloub HS.
Department of Plastic and Reconstructive Surgery, Medical College of Wisconsin, Milwaukee, Wisconsin, USA-2009.
jyan@mcw.edu

Lire l'article sur le site de Robin des Toits

Source : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20017629?dopt=Abstract

Traduction : Next-Up
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19 juin 2009 5 19 /06 /juin /2009 06:29
SOURCE NEXT-UP

Si vous souhaitez accéder au document PDF NEXT-UP cliquer ici.

Next-up organisation 18 06 2009.

Il est toujours possible de disserter indéfiniment sur les analyses des résultats d’une étude scientifique afin de créer la confusion et le doute pour la discréditer.
L’interprétation suivie de la publication des résultats de la grande étude internationale Interphone liée à l’utilisation du téléphone mobile ont engendré dans un premier temps d’importantes tensions entre certains scientifiques, puis ouvertement des réticences d’où un report chronique de publication des résultats, néanmoins ceux-ci ont été publiés officiellement en catimini et presque en totalité sur le site web du CIRC le 08 octobre 2008. Sauf erreur de notre part, cette publication a été ensuite supprimée, mais méfiant par expérience nous en avions immédiatement réalisé une sauvegarde [PDF intégral] Le 28 mai 2009 dans un communiqué laconique le Dr Christopher Wild, directeur du CIRC, évoque curieusement la prochaine publication partielle (sans préciser le nom de revue scientifique) des résultats de l’étude sur les seules tumeurs cérébrales de types gliomes et méningiomes liées à l’utilisation du téléphone mobile. Il fait l’impasse notamment sur le neurinome de l’acoustique et la tumeur de la glande parotide, et rajoute que des manuscrits supplémentaires seront publiés ultérieurement. En finalité l’analyse de "la saga Interphone" démontre des profondes scissions au sein des scientifiques des pays participants qui se traduisent par des réticences des autorités sur l’extériorisation des résultats définitifs globaux qui sont paradoxalement déjà connus dans leurs grandes lignes, à savoir : Globalement les résultats confirment l’augmentation significative et avérée des tumeurs, en conséquence "l’utilisation du Téléphone Mobile est cancérogène"
Pour ajouter à cette confusion (savamment entretenue ?), le 10 juin 2009, lors d’une audition publique à l’Assemblée Nationale organisée par le député UMP de la Somme Alain Gest, le Dr Martine Hours coordinatrice de l’étude Interphone pour la France a présenté dans les grandes lignes l’interprétation des résultats . . . que nous connaissons, sans oublier selon elle les imperfections envisageables, telles que les biais. Elle a rappelé que globalement pour une utilisation de moins de 10 ans il n’a pas été trouvé d’effet probant suite à l’exposition aux irradiations des champs proches artificiels HF micro-ondes (soyons précis dans la terminologie) mais qu’au-delà "il pourrait y avoir quelque chose au niveau neurinome (tumeur du nerf), gliome (tumeur du système nerveux central) et dans une moindre mesure la glande parotide (la plus importante des glandes salivaires)".
"Nous sommes "dans l'incertitude", "sans élément probant pour conclure", selon elle, l'étude est "un peu trop précoce", du fait de la faible durée d'usage du téléphone portable, alors même qu'un cancer peut mettre dix à vingt ans à se développer. Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé a conclu cette audition en affirmant que "les conséquences de la téléphonie mobile sur la santé sont incertaines", et rappelé la nécessité de l’application du principe de précaution (bémol # d’attention).
Donc rien de nouveau, sauf l’arrivé comme "un cheveu dans la soupe" du très controversé et négationniste notoire en conflit d’intérêt Dr Bernard Veyret qui a déclaré lors de cette audition qu’ "aucun risque sanitaire n’est prévisible au niveau de puissance de la téléphonie sans fil". Décidemment nous pensions à juste titre que ce personnage (lieutenant du prévaricateur M. Repacholi de l’OMS) avait disparu de la scène parce que devenu peu fréquentable. Force est de constater qu’une fois de plus il n’a pas dérogé à son sempiternel discours négationniste en balayant en une phrase les résultats des dizaines de scientifiques internationaux de l’étude Interphone. Il est inutile de perdre son temps pour savoir le comment de l’intrusion de B . Veyret dans Interphone, mais il faut qu’il sache « que par beau temps ou par mauvais temps, le temps change » ou en d’autres termes que des millions de personnes et moi le premier, n’oublions pas quel est son rôle dans la catastrophe sanitaire qui est en cours. Serge Sargentini, directeur de la publication de Next-up organisation.
Ndlr : Chacun pourra se faire une opinion sur la valeur de l’étude Interphone simplement par ce biais que se garde bien d’évoquer Le Dr Martine Hours : La définition des "gros consommateurs" utilisée par l'étude Interphone concerne les utilisateurs de téléphone mobile depuis plus de 46 mois, ceux qui parlent plus de 5 minutes par appel et les personnes qui cumulent en un an plus de 260 heures de conversation, soit 11 minutes 30 par jour. . . [l’EXPRESS : "Le téléphone portable augmente les risques de cancers"]

Accéder à la publication du 8 octobre 2008 sur les résultats de l'étude Interphone.

Accéder au dossier complet NEXT-UP.





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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 18:37

JT France 2 de 13h - Téléphone portable et risque de cancer : l'étude Interphone - 15/10/2008

  L'étude Interphone révèle un risque de cancer qui serait vraiment accru pour les utilisateurs depuis plus de 10 ans. Les enfants ne devraient pas l'utiliser. »




Pour plus d'information cliquer ici :
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