Qui Sommes-Nous ?

  • : Association Collectif Antennes 31
  • : L'association Collectif Antennes 31 a pour objectif de fédérer et soutenir les collectifs du département de la Haute-Garonne. Elle demande un abaissement des seuils à 0.6V/m, elle dénonce l'implantation d'antennes relais prés de lieux sensibles tels que écoles, hôpitaux, crèches, stades, elle demande l'application du principe de précaution compte tenu des études scientifiques internationales.
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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 19:34

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ARA    ASSOCIATION ROMANDE ALERTE

 

 

 

Ondes Electromagnétiques - Elles donnent mal à la tête depuis bientôt 100 ans PDF Imprimer Envoyer

Par Pierre Dubochet

dubochet brochureLa brochure « Ondes Electromagnétiques - Elles donnent mal à la tête depuis bientôt 100 ans » tente de repondre à des questions sur l'influence biologique des ondes électromagnétiques d'une manière très succinte (A5, 40 pages en couleur). Existe-t-il une peur irraisonnée des ondes ? Qui décide des normes et sur quelles bases ? Ces normes sont-elles fiables ? A qui faire confiance ?

Aborder ce sujet pose de vrais défis en matière de communication. Plutôt que de tenter une approche critique, l'auteur a choisi de compiler des faits. Les faits exposent mieux que tout la véritable situation et permettent à chacun de se forger une opinion en connaissance de cause.

 

l'article est ICI

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 20:39

 

 

Publié le 10/07/2013 par Aurélie Haroche

 

JIM.fr est réservé aux professionnels de santé. Ces derniers doivent être identifiés comme tels pour accéder à l’ensemble des pages du site. A titre exceptionnel, cette rubrique est accessible sans login et mot de passe. Toutefois, sur ces pages Pro et Société, les lecteurs non logués ne seront pas exposés à des publicités pharmaceutiques et devront s’identifier pour accéder aux autres rubriques médicales du site JIM.fr.

Paris, le mercredi 10 juillet 2013 – En novembre 2011, Lydia Cohen, âgée de 72 ans mourrait à l’hôpital André Mignot (Versailles) victime d’une erreur de prescription fatale : son allergie à l’amoxicilline pourtant dûment signalée dans son dossier n’avait pas été prise en compte par le logiciel d’aide à la prescription (LAP) utilisé par l’établissement.

Ce drame est-il un fait isolé ? Sans doute pas. Le Parisien qui révèle l’affaire a en effet pu se procurer le rapport de la commission régionale de conciliation et d’indemnisation (CRCI) des accidents médicaux d’Ile de France où le cas de Lydia Cohen est abordé : ces travaux évoquent les dysfonctionnements multiples des LAP. « Si ces systèmes ont permis de clarifier les prescriptions, ils n’assurent pas une sécurité fine, en particulier dans le domaine de contre-indications en fonction de la pathologie des patients » peut-on lire dans ce rapport cité par le Parisien qui ajoute : « Il n'y a pas toujours d'alarme activée si un traitement pour lequel le patient a une allergie est prescrit ». De même, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) interrogé par le quotidien indique que « plusieurs de dizaines de signalements de dysfonctionnements sur ces logiciels » lui ont été transmis ces derniers mois.

Quand les éditeurs de logiciels évoquaient le risque d’un « scandale sanitaire »

Interrogé par le Parisien, le directeur de la fédération LESSIS (qui regroupe des éditeurs de logiciels destinés aux professionnels de santé), Yannick Motel paraît vouloir désamorcer la polémique naissante. « L’erreur zéro n’existe pas, même en informatique ! Des bugs, des dysfonctionnements, il y en aura toujours, mais attention à ne pas chercher un bouc émissaire facile ». Soucieux aujourd’hui de ne pas attiser un climat qui pourrait facilement devenir explosif, les responsables de LESSIS ne se sont pas toujours montrés aussi précautionneux. Il y a en réalité longtemps que cette organisation alerte sur les risques que représente le manque de contrôle des logiciels médicaux et notamment des LAP. Ainsi, en janvier 2012, c’est sans ambages que la fédération estimait que le désordre régnant dans le domaine de la certification de l’ensemble des logiciels médicaux était un terrain idéal pour l’émergence de nouveaux "scandales" sanitaires. « Onze dispositifs de certification, homologation ou agrément dans le domaine des logiciels pour la santé, organisés par sept institutions différentes et couvrant onze domaines fonctionnels précis coexistent » déplorait LESSIS qui appelait à la création d’un guichet unique à l’instar de ce qui existe par exemple au Canada.

Mediator électronique

Plus récemment, au mois de main, la revue DSIH (le Magazine des systèmes d’information hospitaliers) donnait la parole à plusieurs acteurs concernés : Bernard D’Oriano, président de la Fédération LESSIS, Dominique Gougerot, éditeur de logiciel, Germain Zimmerlé, responsable des services d’information au CHU de Strasbourg et Jean-François Goglin, membre de la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés à but non lucratif (FEHAP). Leur constat commun était semblable à celui établi par la Fondation LESSIS : les contrôles manquent de rigueur. « Si l’on veut éviter un « Mediator électronique », il faut tester, tester et encore tester, jusqu’à être sûrs d’avoir écarté tout risque d’erreur susceptible de créer un risque pour le patient » observe notamment Jean-François Goglin. Par ailleurs, tous évoquaient si non une multiplication tout au moins un nombre non négligeable de « bugs ». « Il y a quelque temps, nous avons été informés d’un bug susceptible de générer des erreurs dans le suivi des prescriptions dans une spécialité très sensible » note par exemple Germain Zimmerlé.

Posologie, durée de traitements, dénomination des traitements : les grandes erreurs des LAP

 

Pour lire la suite c'est lCI

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 13:49

 

 

Accueil

 

 

Le 27 juin, le collectif des électrohypersensibles aux ondes et l'association Priartem ont été reçus au ministère de la Santé pour affirmer qu'il y a « urgence » à prendre en charge les personnes sensibles aux ondes électromagnétiques émises par les antennes relais et les téléphones portables.

Des appels au secours chaque jour

« L'aggravation de la situation est très nette. Nous recevons chaque jour des appels au secours de personnes qui ne savent pas où se réfugier, comment se soigner, comment faire prendre en compte leur situation par la sécurité sociale, leur employeur... Nous recevons, désormais, des appels de parents d'enfants électrosensibles qui ne peuvent plus aller à l'école, constate le collectif. Que va-t-il se passer avec le déploiement de la 4G, la Wifi qui gagne toujours plus de terrain, les tablettes sans fil dès l'école maternelle ? »

Les associations demandent au ministère de la Santé de ne pas « attendre que la science fournisse des certitudes pour agir » et lui propose de désigner un référent mandaté par lui pour élaborer et engager un plan d'actions concrètes destiné à « mettre à l'abri » les personnes les plus atteintes et à « préserver leur insertion sociale ».

De fait, précise le collectif,« les technologies sans fil étant omniprésentes et se déployant de manière exponentielle, les plus atteints sont contraints de fuir la modernité, voire de vivre dans les rares zones sans brouillard électromagnétique », appelées « zones blanches ».

"Nous avons besoin d'études sérieuses"

Elles souhaitent également que « toute la lumière soit faite sur l'étude Cochin », mise en place l'année dernière et pilotée par l'AP-HP et pour laquelle aucun protocole clairement défini n'a été communiqué.« Nous demandons le protocole complet pour connaître la justification de l'étude avec sa bibliographie, ses objectifs, les méthodes et matériels utilisés, le traitement des données... Le but de l'étude est d'évaluer la prise en charge mais on ne connaît ni la nature de cette prise en charge ni les critères pour évaluer un éventuel bénéfice », pointe le collectif qui a surtout le sentiment que cette étude « sert à enterrer le problème » alors que « nous avons besoin d'études sérieuses ».

Pour Janine Le Calvez, présidente de Priartem, la situation mérite des éclaircissements : « Les électrosensibles mais aussi l'ensemble de la société ont besoin de transparence et de confiance sur cette question. Nous avions fait des propositions au ministre de la Santé dès le lancement de l'étude pour garantir déontologie et concertation aussi bien dans le domaine de la recherche que la prise en charge, sans réponse à ce jour ».

En Allemagne, l'électrosensibilité est reconnue

Le collectif souligne qu'en Allemagne, l'hyperélectrosensibilité aux ondes vient d'être inscrite dans la liste officielle des pathologies. Une étude finlandaise conclut, quant à elle, à l'inefficacité des médicaments et des psychothérapies pour traiter ce trouble. En France, on continue à prendre les victimes des ondes pour des « fous ».

 

 

Voir l'article ICI

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 08:40

Association Robin des Toits

« (...) une personne qui téléphone pendant une demi-heure avec un téléphone 2G et qui se déplace se trouve exposé à un niveau d'ondes équivalent à ce qu'elle aurait reçu en vivant pendant 50 ans sans jamais se déplacer... sans jamais téléphoner au milieu des antennes-relais (...) »

VIDEO : discours de soutien de Fleur Pellerin aux opérateurs de téléphonie mobile, la veille de l'examen d'une loi sur les antennes-relais : « demain, je dirai la vérité au lieu d'agiter des peur irrationnelles » - Fév. 2013

 

Fleur Pellerin est accusée par certains d'être un relais des opérateurs de téléphonie mobile au sein du gouvernement, leur VRP, en quelque sorte. Son agenda accessible ici : http://proxy-pubminefi.diffusion.finances.gouv.fr/pub/document/18/14086.pdf nous apprend que le 30 janvier à 18h30, la veille de l'examen en séance publique de la proposition de loi de Laurence Abeille sur la limitation des seuil d'exposition des antennes-relais de téléphonie mobile, elle avait justement rendez-vous dans le 16ème arrondissement de Paris pour les "Voeux de la Fédération française des Télécoms".
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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 23:50

  

Cancer du cerveau : le téléphone portable en cause ? - Fil actus Santé

Depuis des années, le débat concernant l’impact du téléphone portable sur notre santé, fait rage au sein de la communauté scientifique et des instances sanitaires nationales et internationales. L’agence européenne de l’environnement, qui devrait rendre un rapport sur le sujet dans les jours à venir, semble avoir tranché. L’organisme estime qu’il existe un lien probable entre l’utilisation régulière de téléphones mobiles et l’apparition de cancers du cerveau.

D’après le rapport à venir de l’agence européenne de l’environnement, téléphoner trop souvent avec un portable aurait un impact sur notre santé, et notamment lorsque les appels ont lieu lors d’un trajet en voiture. En effet, à chaque passage d’une antenne relais à une autre, notre cerveau capterait des ondes particulièrement nocives. Si d’autres travaux de recherche ont déjà montré qu’il existait un lien certain entre téléphone mobile et cancer du cerveau, c’est la première fois qu’un rapport d’une agence internationale pointe l’effet pervers du changement de relais.

Afin de réduire les risques liés à l'exposition aux ondes nocives pour le corps humain, il est conseillé de limiter les appels en voiture et, en règle générale, de changer d’oreille toutes les deux minutes. C’est en effet, selon les experts européens, l’exposition prolongée d’un seul côté de la tête qui serait à l’origine du développement de tumeur cérébrale…

Source : http://www.informationhospitaliere.com/actualite-21466-cancer-cerveau-telephone-portable-en-cause.html

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 21:50

  Article par Yannis Youlountas

PUBLIÉ LE JEUDI 25 OCTOBRE 2012, 00:00 - MODIFIÉ LE 25/10/12 - DÉMOCRATIE RÉELLE - LIEN PERMANENT

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De plus en plus de maires, pour la plupart UMP, interdisent les tracts et pétitions sur les marchés. Ce phénomène s’est accru cette année, à la suite d’une décision étonnante du Conseil d’État considérant que ce genre d’arrêté « ne porte pas atteinte aux libertés d’expression et de communication » [1]. Depuis le début de l’automne, on ne compte plus les maires qui s’engouffrent dans la brèche au grand dam des associations, syndicats ou partis d’opposition. Dès lors, quand faire signer des pétitions ou diffuser un tract appelant à manifester, si ce n’est quand on peut croiser un peu de monde sur la place publique ? Quand inviter à participer à un débat ou proposer un petit journal contredisant les orientations du premier magistrat de la ville dans son clinquant magazine municipal ? Au carrefour désert de la zone industrielle, à côté du panneau d’entrée de la ville ? Sur le parking du supermarché voisin, entre deux rondes de vigiles ?

« Avant l’avènement des médias, le marché était le lieu 
où l’on venait aux nouvelles, où l’on échangeait les informations, 
où l’on confrontait les points de vue. »

De tout temps, le débat public s’est tenu là où les citoyens avaient l’occasion de se rencontrer. En premier lieu : au marché, moment d’échange qui ne se réduisait pas à la seule consommation. Avant l’avènement des médias, le marché était le lieu où l’on venait aux nouvelles, où l’on échangeait les informations, où l’on confrontait les points de vue. L’agora signifie d’ailleurs, encore aujourd’hui, à la fois le lieu de débat et le cœur du marché. Si Socrate avait choisi d’écrire, aurait-il pu tracter sur l’agora athénienne ? Se serait-il heurté à un brave notable lui interdisant de le faire ? « Vous comprenez, mon bon monsieur, nous sommes ici dans un espace commun, tranquille et paisible, où l’opinion de chacun ne doit pas heurter celle d’autrui ni gêner d’aucune manière le sacro-saint commerce ». Gageons que ce notable aurait également éloigné Diogène au moyen d’un arrêté anti-mendicité ! Nos maires auraient-ils oublié qu’ils ne sont en rien mandatés pour imposer ce qui doit se dire, où, quand et comment ? Il n’y a que quatre règles qui s’appliquent à un tract ou à une pétition : ne pas diffamer, ne pas troubler « l’ordre public », être signé (auteur et imprimeur) et ne pas être jeté sur la voie publique. C’est pourquoi, ce que le Conseil d’État a légitimé n’est rien d’autre qu’un abus de pouvoir de quelques maires qui, sans une rapide remise en question, deviendront bientôt des dizaines et des centaines à travers la France. La démocratie, quand bien même représentative, ne peut se déléguer au point de confisquer le « pouvoir du peuple » d’échanger des opinions et des documents là où il se rencontre librement dans l’espace public.

« Faudra-t-il se résoudre à ne plus se rendre sur l’agora
que pour y consommer ? »

Après les maires UMP de Valenciennes, Nogent-sur-Marne, Colmar, Léguevin, Saint-Cyr-l’École, Orléans et Vic-sur-Aisne, Alain Chatillon, sénateur-maire UMP de Revel, vient de franchir le pas, lui aussi, tout en se réclamant de l’amour de la démocratie et de la culture humaniste. A-t-il bien lu Voltaire et sa défense de l’opinion d’autrui ? Dans cette petite ville de la Haute-Garonne, l’ensemble de l’opposition a cosigné un appel au maintien de cet usage traditionnel de l’expression démocratique, soutenu par une intervention de la Ligue des Droits de l’Homme. Faudra-t-il se résoudre à ne plus se rendre sur l’agora que pour y consommer ? Irons-nous jusqu’à interdire tout signe visuel d’opinion politique [2et, pourquoi pas, toute parole déplacée dans une conversation avec le tripier ou la fromagère ? Comme il fera bon, dès lors, savourer le bonheur d’être tous d’accord avec Monsieur le Maire, plus que jamais officier vigilant de la police municipale.

Yannis Youlountas, Libération, 25 octobre 2012, en page Rebonds (texte intégral)

Sur le même sujet : MENACE SUR L'AGORA (pétition)

Notes :

[1] Req. n°358495 du 17 avril 2012.

[2] écharpe rouge, chapeau mitterrandien, pull-over fleuri ou tee-shirt « ni dieu ni maître » (signes ostentatoires de prosélytisme sur la voie publique).

 

Les commentaires pour cet article sont modérés. Soyons constructifs dans nos échanges, témoignages, informations, analyses ou recherches de solutions. 

Pour tout problème technique concernant la signature de la pétition, merci de le signaler précisément à menacesurlagora(AT)netoyens.info 

Vous pouvez aussi nous envoyez votre signature ou vos listes de signataires par courriel pour que nous les enregistrions, par exemple d'après la récolte d'une pétition papier (prénom NOM qualité et/ou lieu). Merci à toutes celles et ceux qui font signer sur leur lieu de travail, dans leurs associations, organisations... et, bien sûr, sur les marchés !


 

Répondre à ce commentaire par Revel bastide uniquement commerciale ?Revel bastide uniquement commerciale ? ·  28 OCTOBRE 2012, 21:39 Répondre à ce commentaire par Revel bastide uniquement commerciale ? 

Revel est une petite ville de Haute-Garonne et son marché a lieu tous les samedis matins.

La commission paritaire du Marché de Revel est composée à 50% d’élus (6 dont 5 de la majorité de droite et 1 seul de l’opposition, en l’occurrence socialiste) et 50% de commerçants (6, manifestement proches de la majorité de droite).

En novembre 2011, la commission préparait déjà le terrain pour une modification du règlement du marché, avec des prétextes complètement fallacieux et injustes.

Un peu moins d’un an plus tard, il y a quelques jours, le règlement du marché a donc été modifié en interdisant totalement la distribution de tracts et de tous documents : journaux gratuits, pétitions, et même tracts pour des lotos ou des cours de guitares ! Parmi les élus, seule la représentante de l’opposition a voté contre. Il est à relever que, comme dans d’autres villes de France, les représentants des commerçants se sont permis, sans la moindre gêne, de priver brutalement leurs consommateurs-citoyens engagés dans la vie associative, syndicale ou politique, de toute expression et diffusion d’informations le seul jour efficace et donc essentiel. Commerce contre citoyenneté ? Réduction forcée des citoyens à des consommateurs au coeur de l’espace public ? N’est-ce pas le signe inquitétant d’une époque vouée à la marchandisation totale de l’humain et de son environnement ?

Depuis quelques jours, dans l’article 13 du règlement du Marché de Revel, il est précisé désormais :

“Il est interdit sur le marché :
de distribuer de la publicité commerciale ou des tracts et imprimés de toute nature à l’intérieur du périmètre du marché et le long des voies piétonnes comme défini sur le plan joint en annexe.”

Ne reste plus que l’arrêté imminent du Maire qui l’a déjà annoncé lors du Conseil municipal du premier octobre dernier. Alors, doit-on se laisser faire, et continuer à laisser grignoter toutes nos libertés, ou doit-on réagir et comment ? Qu’en pensez-vous ?

Parmi d’autres organisations, sachez que la Ligue des Droits de l’Homme a pris position contre cet abus de pouvoir et a écrit plusieurs fois au Maire, mais celui-ci n’a rien voulu entendre !

En tout cas, merci à tous de votre soutien qui fait chaud au coeur à Revel comme ailleurs, puisque nous sommes de plus en plus nombreux à subir cela en France ! Et bravo pour cette pétition nationale qui défend nos libertés fondamentales et dénonce une lente déchéance de la citoyenneté ! Nous ne nous laisserons pas faire !

Source de l'article :  http://www.netoyens.info/index.php/contrib/26/10/2012/ces-maires-qui-veulent-faire-taire-lagora


Commentaire :

Une question tout de même auquel je n'ai pas encore de réponse : comment va faire Monsieur le MAIRE aux prochaines élections pour distribuer ces propres tracts, ira-t-il sur le marché enfreindre sa propre loi ?

 

 

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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 01:21

Les Echos    Par Les Echos | 19/06 | 07:00

 

Utiliser l'induction pour recharger une brosse à dents électrique ou un smartphone, c'est déjà possible... De là à faire avancer des trains ou des voitures, il y a un pas que les spécialistes n'avaient jusqu'à présent pas franchi, invoquant le faible rendement de cette technique et la difficulté à obtenir des puissances suffisantes. Le canadien Bombardier a pourtant relevé le défi avec sa technologie Primove. A Augsburg, en Bavière (Allemagne), une rame de tramway complète parcourt ainsi les 600 mètres d'un tronçon pilote, sans contact avec le sol et sans le moindre fil à l'horizon.

A l'origine, en 2008, Bombardier cherchait un moyen de concurrencer Alstom et son système d'alimentation par le sol (APS). Celui-ci permet de supprimer les caténaires, mais reste toutefois sensible aux intempéries. Avec l'induction, ce problème disparaît. « Le système Primove est compatible avec toutes les conditions météo, qu'il s'agisse de pluie, de neige, de sable ou de poussière », insiste Eran Gartner, président de la division systèmes au sein de Bombardier Transport.

Champ magnétique

La transmission d'énergie par induction est connue depuis le XIX siècle : en plaçant 2 bobines conductrices suffisamment près l'une de l'autre, il est possible de transmettre un courant électrique sans qu'il y ait contact. En effet, le courant qui traverse le premier élément conducteur, dit « primaire », génère un champ magnétique qui produit alors du courant dans le récepteur secondaire.

Partant de ce principe, les ingénieurs de Bombardier ont d'abord imaginé d'alimenter la rame de façon continue en enfouissant des bobines sur toute la longueur du parcours. Une option techniquement envisageable, mais qui s'est révélée trop coûteuse. Le groupe a alors imaginé d'associer la transmission d'électricité sans contact et le stockage de cette énergie. Les segments inductifs « primaires » constitués d'un enroulement de câbles sont enfouis dans le sol, entre les rails. Mesurant 8 mètres de long, ils peuvent ainsi alimenter le tramway même lorsqu'il est en mouvement, à l'occasion de l'entrée en gare.

Pour capter ce courant inductif, le tramway dispose de capteurs placés dans le plancher et doté d'une puissance de 200 kW. Ceux-ci rechargent les batteries installées à bord, lorsque le tramway est arrêté en station, mais également lors des phases d'accélération fortement consommatrices d'énergie. Ensuite, le véhicule se déplace en utilisant l'énergie stockée, jusqu'à ce qu'il parvienne à la station suivante où il recharge ses batteries.

La principale difficulté a été de contenir les émissions d'ondes électromagnétiques à un niveau raisonnable surtout au démarrage, lorsque le tramway « a besoin d'une puissance maximale », insiste Harry Seiffert, l'un des pères du système Primove. De fait, à bord du tramway et à côté, les appareils de mesure ne cillent pas. « Il y a eu un très gros travail sur le confinement des émissions électromagnétiques », insiste Jérémie Desjardins, à la tête de Primove Transportation, l'équipe d'une cinquantaine de personnes qui fournit la technologie.

Bombardier, qui a protégé son système par des dizaines de brevets, n'a pas l'intention de se limiter au tramway. « Le système peut s'adapter aux véhicules sur pneus », résume Jérémie Desjardins. En rechargeant régulièrement ses batteries tout au long de son parcours, un bus verrait ainsi leur poids divisé par 6 ou 7. Dès ce mois-ci, la ville allemande de Braunschweig va tester Primove sur 2 bus effectuant un parcours de 12 kilomètres.

A terme, cette technologie vise un marché bien plus large : celui de l'automobile. La transmission d'électricité par induction permettrait de recharger les véhicules électriques automatiquement, dès qu'ils reviennent se garer. La fin des bornes et des câbles électriques. « Ainsi pas d'oubli de la part du conducteur, pas de problème de manipulation et aucun risque de vandalisme », résume David Gualino, de Schneider Electric, qui travaille sur le sujet avec Renault.

Plusieurs scénarios imaginés

Le constructeur français lance ces jours-ci un projet européen appelé WIC2IT (« Wireless inductive charging to interoperation testing »), financé par l'Agence nationale de la recherche et auquel participera notamment Daimler. Jérôme Perrin, directeur des projets avancés CO2, énergie, environnement de Renault, imagine déjà des scénarios : « Des gestionnaires de flottes de véhicules électriques pourraient équiper leurs parkings afin que les voitures soient rechargées automatiquement dès qu'elles se garent. On pourrait ensuite imaginer que des parkings semi-publics soient équipés de bornes au sol. » Le constructeur allemand Audi a pour sa part annoncé début mars qu'il travaillait avec Witricity, une start-up américaine issue du MIT spécialisée dans la transmission d'énergie sans fil.

De multiples aspects techniques doivent cependant encore être étudiés. Par exemple le positionnement du véhicule. « L'induction fonctionne bien si les bobines primaire et secondaire sont proches et bien en face. Il faut pourtant une tolérance suffisante pour que cela fonctionne avec n'importe quel conducteur », insiste David Gualino. Chez Bombardier, Jérémie Desjardins affirme ne pas avoir d'inquiétude : « Avec Primove, la tolérance est d'une quinzaine de centimètres de chaque côté du véhicule et de 1,5 mètre dans le sens de la longueur. » Il faudra également rendre un tel système interopérable et aboutir à une standardisation, afin que n'importe quel véhicule se recharge quel que soit le système installé sous le sol. En attendant, plusieurs villes vont lancer des expérimentations. A commencer par Londres, avec Renault et l'américain Qualcomm qui a acquis en fin d'année dernière une autre start-up du secteur, Halo IPT.

Il faudra également trouver des solutions pour contenir les émissions électromagnétiques. C'est sans doute le talon d'Achille de cette technologie. Quelle sera la réaction des consommateurs, déjà méfiants vis-à-vis des ondes émises par les antennes-relais de téléphonie mobile ? « Il est évident que le développement à grande échelle de ces techniques pourrait susciter des inquiétudes sur les risques d'interférences avec les appareils électriques et de télécommunications. Les fréquences utilisées sont toutefois très éloignées des fréquences radio ou TV. Par ailleurs, on peut craindre une réaction du public vis-à-vis des éventuels risques associés aux champs électromagnétiques. Mais, là encore, on est très loin des fréquences absorbées par le corps humain », précise Jacques Lewiner, professeur d'électromagnétisme et directeur scientifique honoraire de l'Ecole supérieure de physique et de chimie industrielles.

FRANK NIEDERCORN

source :  http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/innovation-competences/technologies/0202118151799-l-electricite-sans-fil-arrive-dans-les-transports-335211.php


Plusieurs initiatives dans la téléphonie mobile

Il existe un secteur où la transmission d'électricité par induction est déjà une réalité commerciale : les petits appareils électroniques, et en particulier les téléphones mobiles. Le Wireless Power Consortium, qui réunit une centaine d'opérateurs et de fabricants, a défini le standard Qi, qui fonctionne avec une puissance de 5 watts et repose sur deux accessoires : une coque pour recevoir le téléphone et une plaque, de la taille d'un tapis de souris, connectée au secteur, pour poser l'appareil qui va se recharger sans contact. Chacun contient une boucle magnétique afin de permettre la transmission d'électricité sans fil. En France, Energizer propose depuis quelques mois une plaque de recharge à la norme Qi vendue 99,90 euros, auquel il faut rajouter une coque iPhone 29,90 euros.

Le système Qi est efficace : aussitôt posé, l'appareil est reconnu et se met en mode recharge. Mais son intérêt reste limité, parce qu'une prise électrique est toujours indispensable, et que le poids de la coque vient alourdir le téléphone.

Selon l'institut IHS iSupply, 3,6 millions de systèmes de recharge ont été vendus dans le monde en 2010. Le système rencontre un certain succès au Japon, où l'opérateur NTT Docomo a lancé l'an dernier un téléphone Sharp intégrant la technologie Qi.

L'induction pourrait se développer pour d'autres usages. Par exemple pour la recharge en libre-service, comme cela existe dans plusieurs restaurants de Tokyo. « Demain, un peu comme vous disposez du Wi-Fi quand vous vous asseyez dans un bar, vous pourrez recharger votre téléphone en posant votre téléphone sur le comptoir ou la table du bistrot », prédit Thierry Barba. Orange réfléchit d'ailleurs à offrir ce service dans ses boutiques.

F. N., Les Echos

Source : http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/innovation-competences/technologies/0202117692237-plusieurs-initiatives-dans-la-telephonie-mobile-335182.php

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 08:20

Banderole.JPG

 

Rassemblement samedi 9 juin 2012 à 10H30
place du Capitole à Toulouse.

Les antennes relais de téléphonie mobile poussent comme des champignons.


Il est temps de réagir et de sensibiliser les citoyens, interpeller les
pouvoirs publics autour de la question de la réglementation de notre
exposition aux champs électromagnétiques et de ses conséquences sanitaires et
sociales.

Nous avons besoin de votre présence, de celle de vos voisins, cousins,
parents, enfants, belle mère, collègues, amis, chiens et chats, et de toutes
les bonnes volontés pour venir grossir nos rangs et faire entendre nos voix
!!!!!

Retrouvons-nous devant l'entrée de la Mairie côté Capitole à 10H30. Amenez vos appareils de mesure et des panneaux, pancartes, banderoles, identifiant votre collectif afin que sa localisation soit bien visible.

Le rassemblement sera suivi d'une marche jusqu'à la place du Parlement .

 

L'association ANTENNES 31.

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 22:47

Accueil   Par Sophie Verney-Caillat | Rue89 | 27/06/2011 | 19H05

Où sont les études qui ont autorisé l'aspartame ? Trente ans après sa mise sur le marché, leur absence embarrasse l'Europe.

Une cannette de Coca light écrasé (Goupil/Flickr/CC).

Lorsque la Food and Drug Administration (FDA) américaine a homologué l'aspartame (E951), elle a fixé une dose journalière admissible (la DJA) de 40 mg par kilo de poids corporel par jour. Comprendre que jusqu'à cette dose, correspondant à une trentaine de cannettes (33 cl) de Coca light pour un adulte de 60 kilos, le produit est inoffensif.

L'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a emboîté le pas à son homologue américaine, et la France a logiquement suivi. Problème : « Cette dose a été fixée au petit bonheur la chance », conclut le député Gérard Bapt, qui a déjà obtenu l'interdiction des biberons au bisphénol A en Europe.

L'enquête de Marie-Monique Robin « Notre poison quotidien » avait commencé à lever le voile sur cette affaire troublante. L'édulcorant le plus utilisé au monde, inventé par la firme Searle dont le patron était alors Donald Rumsfeld [que l'on retrouvera par la suite à diriger la guerre en Irak au côté de George Bush…], a été homologué peu après l'arrivée au pouvoir de son ami Ronald Reagan.

« Une décision purement politique », tranche la journaliste. Marie-Monique Robin a retrouvé la littérature scientifique juste avant l'autorisation :

« Tous les toxicologues de la FDA concluaient que ce produit était potentiellement cancérigène. Et par enchantement, après l'élection de Reagan, l'aspartame a été autorisé. Mais les études étaient toujours aussi contestables. »

Le dossier est introuvable

De nombreuses études publiées depuis tendent à prouver que la dose journalière admissible ne protège pas la santé des consommateurs, et fait courir aux femmes enceintes des risques d'accouchement prématuré. A chaque fois, leurs conclusions sont jugées pas assez scientifiques aux yeux des autorités sanitaires françaises et européennes.

Malin, le Réseau environnement santé a du coup décidé de demander à celles-ci de prouver, a contrario, que les études initiales étaient bien scientifiques. C'est là que le bât blesse. Laurent Chevallier, médecin et lanceur d'alerte, a demandé à Hugues Kenigswald, le chef de l'unité additifs alimentaires de l'Efsa, sur quoi se basait son autorisation. La réponse vaut son pesant de cacahuètes :

« L'Efsa ne dispose pas du dossier de demande d'autorisation de l'aspartame qui devait contenir ces études. Par ailleurs, les contacts que nous avons eus avec nos collègues de la Commission européenne semblent indiquer que la Commission ne dispose plus de ce dossier. Vous pouvez toutefois contacter monsieur Michael Flüh, chef de l'unité en charge des additifs alimentaires. »

Après plusieurs semaines, ce dernier n'a toujours pas retrouvé les études. L'eurodéputée Corinne Lepage, chantre du principe de précaution, s'insurge :

« L'Efsa n'a jamais eu les études sur lesquelles sont fondées son autorisation ou en tout cas ne les a jamais lues. Dès lors, comment oser rejeter les nouvelles études ? S'il faut avoir toutes les preuves que ce produit est nocif pour l'interdire, ce n'est plus de la précaution ! »

« Ils ne sont pas très à l'aise »

L'élue a réussi à faire voter en commission au Parlement de Strasbourg une disposition mettant en garde les femmes enceintes. Las, la mesure qui doit être adoptée définitivement dans le cadre de la directive sur l'étiquetage « sera retoquée en plénière », assure Corinne Lepage. Lobbies obligent…

En effet, quand on cherche à comprendre pourquoi l'agence européenne est si frileuse sur ce dossier, on découvre les liens douteux qu'entretiennent ses experts avec l'industrie.

Sur les vingt experts de la commission additifs alimentaires de l'Efsa, ils sont onze à avoir des conflits d'intérêts, dont un Français travaillant pour l'ANSES, révèle une enquête du Corporate Europe Observatory, une ONG spécialisée dans la lutte contre les lobbies. Certains experts ont ainsi « oublié » de déclarer qu'ils étaient aussi consultants pour Coca Cola… Corinne Lepage remarque :

« Ils ne sont pas très à l'aise à l'Efsa et à la direction générale santé et consommateurs de la Commission. Ils sentent que les mailles du filet se resserrent. »

Pour éviter qu'un scandale à la Mediator ne la frappe, l'agence européenne a décidé d'avancer à 2012 (au lieu de 2020) la réévaluation scientifique des données sur l'aspartame. Et l'agence française vient de lancer la réévaluation des bénéfices et des risques nutritionnels des édulcorants intenses, dont l'aspartame.

Quelle chance y a-t-il que cette fois, leur analyse soit objective ? Pour Marie-Monique Robin :

« Les autorités cherchent à gagner du temps. Quand la stévia aura remplacé l'aspartame, la question gênera moins les industriels. »

Avec Colette Roos, dont vous pouvez réécouter la chronique jusqu'au 1er juillet sur le site de l'émission Service Public de France Inter.

Photo : une cannette de Coca light écrasé (Goupil/Flickr/CC).

SOURCE : http://www.rue89.com/dessous-assiette/2011/06/27/etudes-bidon-conflits-dinterets-laspartame-dans-de-sales-draps-211122

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 22:51

Le Point   Le Point.fr - Publié le 01/06/2011 à 17:55 - Modifié le 01/06/2011 à 18:44

Dans cette localité de quelque 4 000 habitants, il y a trois cas avérés de cancer à l'école primaire, selon la présidente d'une association.

De mystérieux cas de cancer dans une école près d'antennes-relais

Les antennes-relais sont soupçonnées de favoriser l'apparition de cancers. © Jean-Pierre Muller / AFP


Cancérogène ou non, le portable ? L'existence de trois cas de cancer dans une école primaire des Pyrénées-Orientales conduit une association à réclamer le démontage des 25 antennes-relais qui la surplombent.

Les antennes ont été installées il y a une dizaine d'années pour le compte de Bouygues, d'Orange et de SFR au sommet du château d'eau de Villeneuve-de-la-Raho, au milieu des habitations et à 200 mètres de l'école primaire Alfred-Sauvy. Sont-elles responsables d'un taux apparemment hors norme de cancers et de maladies graves dans les parages ? Personne ne va jusque-là, mais la question est posée.

"Il y a une pollution électromagnétique. Provoque-t-elle des cancers ? Nous ne sommes pas en mesure de le prouver", répond Maryse Batlle, présidente de l'association Un mât pour les ondes (UMPLO). Mais dans cette localité d'environ 4 000 habitants, "on a trois cas avérés de cancer à l'école primaire et un nombre anormal, au moins une trentaine, de cas de cancer, d'accidents cardiovasculaires ou de maladies d'Alzheimer dans les environs immédiats".

L'agence régionale de santé pas au courant

Mardi, des experts internationaux, réunis à l'initiative de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ont statué que l'usage des téléphones portables pouvait être cancérogène. Mais, selon Maryse Batlle, il règne à Villeneuve une "omerta épouvantable", car "les enjeux financiers sont énormes". Au nom du principe de précaution, les antennes doivent être démontées et réimplantées à l'extérieur de cette commune proche de Perpignan, qui, en vingt ans, a vu sa population quadrupler, dit l'UMPLO. Ou bien les contrats avec les opérateurs de téléphonie mobile ne doivent pas être renouvelés quand ils expireront dans les semaines à venir.

"On va étudier le pour et le contre, démantèlement ou maintien des antennes, tous les cas de figure sont possibles", dit, au nom de la mairie, le conseiller municipal Yves Renard. Il souligne qu'un des écoliers atteints de cancer était déjà malade quand il a été scolarisé dans la commune. L'inspection académique reconnaît trois cas de cancer chez les 220 écoliers d'Alfred-Sauvy et "un problème au niveau d'une antenne-relais", sans établir de lien de cause à effet. L'agence régionale de santé (ARS) dit, elle, ne pas être au courant.

L'emplacement choisi est "une aberration" (président du Centre de recherche et d'information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques)

L'emplacement choisi pour les 25 antennes est une "aberration" et ne respecte pas la législation de la Direction générale de la santé, dit Pierre Le Ruz, président du Centre de recherche et d'information indépendant sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem). "Les gens qui sont proches de ces antennes se plaignant de troubles neuro-endocrino-immunitaires, ils présentent les symptômes habituels des hyperfréquences. On voit bien qu'il y a un problème", estime Pierre Le Ruz, également expert en rayonnement au Conseil de l'Europe. "Si j'étais le maire, je ne prendrais pas le risque d'une recrudescence de pathologies cancéreuses. (...) Il ne faut pas attendre qu'on établisse une relation de cause à effet, il faut démonter par précaution", prône-t-il.

Il cite en exemple le démontage en 2003 des antennes-relais installées sur le toit d'une école de Saint-Cyr-L'École (Yvelines) au nom du principe de précaution. "Malheureusement, ce n'est pas une nouveauté. On a relevé un certain nombre de cas où on a référencé un nombre important de cas de leucémie. Seul le ministère de la Santé est en capacité d'établir un lien de cause à effet, mais il refuse de lancer des études. On tourne en rond", regrette le président de l'association Agir pour l'environnement, Stephen Kerchkave.

 

SOURCE : http://www.lepoint.fr/sante/de-mysterieux-cas-de-cancer-dans-une-ecole-pres-d-antennes-relais-01-06-2011-1337541_40.php

 


Voir aussi : http://www.midilibre.fr/2011/06/01/mysterieux-cas-de-cancer-dans-une-ecole-pres-d-antenne-relais,328193.php

 

http://www.lindependant.fr/2011/06/02/villeneuve-de-la-raho-trois-enfants-malades-les-antennes-en-cause-contrats-valse-a-deux-temps-entre-mairie-et-agglo,25214.php

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